Les blagues sur les Militaires et L'armée, Blague sur l'armée
C'est un navire de guerre américain qui vogue vers la Thaïlande, où il doit effectuer des manoeuvres. Bien entendu, tous les hommes à bord ne pensent qu'à l'escale qu'ils vont faire dans le port de Bangkok. Malheureusement, à quelques miles du port de Bangkok, le Capitaine reçoit un câble :
- Très grave épidémie dans les bordels. Interdire à vos hommes tout rapport sexuel avec les prostituées.
Arrivé à quai, ce sont des hommes abattus par cette nouvelle qui descendent du bateau. 48 heures plus таrd, tout le monde est remonté et le navire repart.
Direction : le port de Marseille où une dernière escale les attends avant le retour au pays. Sur le chemin, les hommes commentent leur séjour en Thaïlande :
- Moi, j'ai joué aux dés. Qu'est-ce que je me suis emmerdé...
- Ben moi, je me suis saoulé tout le temps. Qu'est-ce que je me suis emmerdé.
- Ben moi, j'ai baisé comme un sаlаud 24h/24...
Tout le monde regarde l'auteur de cette phrase.
- Mais t'es fou...
- Et la maladie ?
Le G. I. répond :
- Rien à cirer, au moins je me suis éclaté. Les thaïlandaises, les gars, elles font de ces trucs...
Tout le monde le regarde d'un air envieux. Le voyage continue. Quelques jours avant l'arrivée à Marseille, notre G. I. prend sa dоuсhе. Il s'aperçoit alors qu'il a... Le sexe tout bleu. Il panique, et va voir le médecin du bord. Celui-ci ne lui cache pas son inquiétude :
- Qu'est-ce qui vous est arrivé ?
- Ben c'est à dire, à Bangkok, j'ai pas pu m'empêcher de...
- Malheureux ! Vous avez attrapé la Coïtus Bleuïtitis. Il faut vous amputer du sexe, ou vous serez mort dans une semaine. Le G. I. est désespéré. Le navire à quai à Marseille, il part se saouler dans un bar louche. Là, un de ses potes le trouve. Ils discutent :
- Qu'est-ce qui t'arrive ?
- J'ai attrapé une saloperie à Bangkok. Ils veulent me couper la bite.
- Écoute, si ça peut t'aider, je connais un vieux Chinois ici. Il m'avait soigné pour une chaude рissе en 45, peut-être qu'il peut quelque chose pour toi...
Ils vont voir le vieux. Celui-ci examine le G. I., marmonne, puis se précipite sur une armoire. Il en sort 3 pots d'herbe, des gélules, des onguents, des sirops. Il débite :
- Voilà, vous prenez çà 3 fois le matin, avec çà. Après vous massez avec ça. A midi, vous avalez ça sans respirer, et après vous prenez ça. Le soir, vous prenez ça en infusion. Tout va bien se passer. Le G. I., radieux, lui demande :
- Alors, on ne va pas me la couper ?
Le vieux lui réponds :
- Non, non, rassurez-vous. Ça va tomber tout seul...
1 ) Tout ordre qui peut être mal compris a été mal compris.
2 ) Ne partagez jamais un trou d’obus avec quelqu’un de plus brave que vous.
3 ) Aucun plan de bataille ne survit au contact de l’ennemi.
4 ) Les tirs amis ne le sont jamais.
5 ) La chose la plus dangereuse sur un champ de bataille est un officier avec une carte. 6 ) Le problème, quand on veut prendre la voie la plus simple, est que l’ennemi l’a déjà minée.
7 ) Le système qui vous attribue un sergent est essentiel à votre survie : Il donne à l’ennemi une autre cible.
8 ) Plus vous serez en avancé sur vos positions, et plus l’artillerie alliée tirera mal.
9 ) Le feu ennemi a toujours la priorité.
10 ) Si votre avance se passe bien, c’est que vous êtes dans une ambulance.
11 ) Le Q. G. n’a que deux dimensions : trop large et trop étroit.
12 ) Si vous avez besoin d’un officier tout de suite, piquez un bon somme.
13 ) La seule fois que les armes défensives marchent, c’est quand elles sont utilisées depuis des positions abandonnées.
14 ) A la guerre, il n y a rien de plus agréable que quelqu’un qui vous tire dessus … Après qu’il vous ait manqué.
15 ) Ne vous faites jamais remarquer: Sur le champ de bataille, cela attire le feu de l’ennemi, hors du champ de bataille, cela attire le sergent.
16 ) Si votre sergent peut vous voir, alors l’ennemi aussi.
17 ) Le meilleur système pour survivre: donnez à l’ennemi une cible… autre que la votre !
18 ) Quoi que ce soit que vous fassiez pourra aider l’ennemi à vous tuer…y compris si vous ne faites rien.
19 ) Si vous vous protégez trop bien contre une invasion, vous ne pouvez plus sortir.
20 ) Les balles traçantes sont efficaces dans les deux sens.
21 ) La seule chose qui vous arrive plus précisément qu’un tir ennemi est un tir allié.
22 ) La radio tombe en panne au moment même où vus en avez le besoin le plus crucial.
23 ) Quand dans les deux camps on est convaincu d’être proche de la défaite, personne ne se trompe.
24 ) A l’armée, être en équipe c’est essentiel, ça donne à l’ennemi quelqu’un d’autre sur qui tirer.
25 ) Essayez de paraître insignifiant : ils sont peut-être à cours de munitions en face.
26 ) Le chemin le plus facile est toujours miné.
27 ) L’ennemi attaque invariablement en deux occasions : (a) Quand vous êtes prêts à le recevoir, (b) Quand vous n’êtes pas prêt à le recevoir.
28 ) La diversion de l’ennemi que vous avez ignorée sera l’attaque principale.
29 ) N’attirez jamais le feu de l’ennemi : ça irritera tout le monde autour de vous.
30 ) Une blessure très douloureuse à la poitrine est la façon la plus naturelle de vous dire que vous avez été trop lоin.
31 ) Si votre attaque se passe comme vous l’espérez, alors vous êtes tombés dans une embuscade.
32 ) Quoi que ce soit que vous fassiez risque de vous faire tirer dessus. Y compris rien.
33 ) Si vous manquez de tout sauf d’ennemis, alors vous êtes dans la zone des combats.
34 ) Si vous avez sécurisé un territoire, ne manquez pas de le dire à l’ennemi.
35 ) N’oubliez jamais que vos armes sont fabriquées par la boîte qui a proposé les prix les moins chers.
36 ) Les professionnels sont prévisibles. Ce sont les amateurs qui sont dangereux.
37 ) Il y a toujours un moyen.
38 ) Ne vous faîtes jamais remarquer, ça attire les balles.
39 ) Le feu qui vous arrive dessus à priorité.
C’est un gars se trouve pris en Stop par un car rempli de vétérans de la deuxième guerre mondiale, en route pour une visite au Mémorial de Caen. Le gars remercie tout le monde pour l’avoir fait monter, et il s’installe à la première place libre. Là, il se retrouve à côté d’un vieux monsieur qui toutes les dix secondes balance brutalement sa tête sur la gauche, juste du côté de l’auto-stoppeur.
Rapidement, l’auto-stoppeur s’énerve :
- Je vous prie de m’excuser, mais j’aimerai savoir pourquoi vous donnez régulièrement de grands coups de tête, comme ça ?
- Ah ça… C’est un souvenir de la bataille de Dunkerque !
Alors l’auto-stoppeur essaie une autre place libre. Mais rapidement, il s’aperçoit que là encore, le vieux monsieur n’a pas un comportement normal car sa jambe droite est prise de contractions à intervalles réguliers, ce qui fait que soit c’est l’auto-stoppeur qui se prend des coups de pieds, soit c’est le fauteuil d’en face.
Au bout d’un moment, le voyageur en a marre et pose la même question :
- Je vous prie de m’excuser, mais j’aimerais savoir pourquoi vous donnez régulièrement de grands coups de pieds, comme ça ?
- Ah ça… C’est un souvenir de la bataille d’Amiens !
Une fois de plus, l’auto-stoppeur essaie une autre place libre… Mais là encore, peu de temps après qu’il ait posé son derrière sur le siège, il se rend compte que son voisin est lui aussi victime de spasmes : il frotte sa main gauche sur sa manche droite sans s’arrêter !
Immédiatement, le voyageur lui dit :
- Je parie que vous avez attrapé ça à la guerre !
Et le vieux monsieur lui répond :
- Non mon gars, j’ai attrapé ça dans mon nez et je n’arrive plus à le décoller de mon doigt !
C'est un jeune engagé volontaire, un jeune « qui n'en veut ». Il vient d'obtenir son départ pour la Bosnie dans la Force Internationale pour le maintien de la paix.
Comme les autres candidats au départ, il se fait briefer par le capitaine, en particulier, on leur explique bien le risque qu'ils encourent avec les mines…
Après son exposé, le capitaine demande si il y a des question. Alors le jeune caporal « qui n'en veut » lève la main :
- Mon Capitaine, si par mégarde on pose le pied sur une mine, qu'est-ce que l'on doit faire ?
Le capitaine, tout à fait sérieux :
- La procédure normale, caporal, est de sauter à 10 mètres dans les airs et de s'éparpiller sur un rayon d'autant de mètres.
Un bistrot en zone occupée, en 1943. Le propriétaire a un perroquet qui crie tout le temps :
- À mort les Boches ! A mort, sales Boches !
Au début, les Allemands du coin s'amusent :
- Ach, das ist ein lustiger Papagai !
Mais à la fin cela les énerve et le feldwebel dit au gargotier :
- Si demain le perroquet recommence à nous traiter de sales Boches, tu seras fusillé avec lui !
Le cafetier prend son perroquet et va chez le curé, qui lui propose de faire un échange avec le sien, de la même espèce.
Le lendemain soir, les Allemands sont là et le perroquet reste silencieux. C'est comme cela tous les jours mais au bout de quelques semaines les Allemands regrettent les injures du perroquet. Ils commencent à lui parler et à lui demander de parler :
- Dis-nous encore à mort les Boches ! Papagai ! Sales Boches ! Sales Boches !
Finalement, le perroquet les regarde calmement et leur crie :
- Que Dieu vous entende, mes fils !
Un colonel de l'Armée des Indes passe ses troupes en rеvuе dans une garnison du Penjab. Lors de son passage, un des hommes montre une énoooorme érection.
- « Sergent-Major ! » hurle le colonel, « Donnez à cet homme une permission d'un mois pour qu'il puisse retrouver ce qui visiblement lui manque. »
- « Yessir ! » Répond le sergent major.
Quelques mois plus таrd, le colonel est de retour dans la même garnison du Penjab et repasse la troupe en inspection. Comme la fois précédente, le même soldat fait montre d'un splendide « gourdin » au passage du colonel.
- « Sergent-Major, vous donnerez à cet homme deux mois de repos parmi les siens. Il semble qu'il ait encore besoin de retrouver celle qu'il aime. »
Un an plus таrd, le colonel refait une nouvelle tournée d'inspection, et cette fois encore, le même soldat fait montre d'un braquemart gigantesque au passage pendant la rеvuе. Le colonel est en colère :
- « Sergent-Major, n'ai-je pas renvoyé cet homme chez lui par deux reprises déjà ? Alors comment se fait-il qu'il semble toujours travaillé par le désir ? »
Le sergent-major salue et répond :
- « Sir, c'est de vous qu'il est amoureux, sir ! »
C'est un général de l'armée de terre qui, après avoir passé 35 ans dans l'armée vient de prendre sa retraite en achetant pour l'occasion une propriété en Sologne dans laquelle il s'adonne sans compter à sa passion : la chasse.
Le général invite un ami à chasser le faisan. L'ami tombe en admiration devant le chien du général, un labrador appelé « Chef » qui est capable d'aller débusquer les faisans, qui marque l'arrêt et qui va retrouver tout le gibier mort ou blessé quelque soit l'endroit où il se trouve.
L'ami est impressionné par les qualités du chien. Aussi, l'année d'après, lorsque le général l'invite à nouveau à la chasse, l'ami s'inquiète de ne plus voir le chien. Le général lui répond en grommelant :
- J'ai du m'en séparer et en prendre un autre.
- Et pourquoi donc ?
- Il y a quelques mois, un ami est venu chasser à la hutte avec moi. Il ne se souvenait plus du nom du chien, et pendant une journée, il n'a fait que l'appeler « Colonel ». À la fin de la journée, le chien ne savait plus rien faire d'autre que de rester assis sur son cul à aboyer…