Blagues de Sex - +18 ans, Blagues de sexe
C'est l'histoire d'un gars qui, après plusieurs années de mariage, n'arrive plus à avoir aucune érection. Il va voir le médecin qui lui prescrit plusieurs traitements dont aucun ne fonctionne.
Après six mois de ces différents essais, le médecin lui dit :
- Tout est dans votre tête, il vous faut consulter un psychiatre.
Mais après 6 mois de psychanalyse, aucune amélioration ne semble s'annoncer et le pauvre monsieur reste tout ce qu'il y a de mou. Du coup, le psy lui conseille :
- J'y perd mon latin. franchement, je ne vois pas ce qui cloche avec votre libido… En désespoir de cause, je vais vous donner l'adresse d'une rebouteuse. Peut-être pourra-t-elle quelque chose pour vous.
La rebouteuse, une fois que le gars lui a expliqué sa maladie, lui dit :
- J'ai ce qu'il vous faut !
Et pour appuyer ses dires, elle va chercher dans un bocal de son arrière boutique une poudre qu'elle place dans un petit sachet.
Puis elle ajoute :
- Il vous suffit d'ingérer cette poudre et de prononcer les mots « Un-deux-trois ». Alors, dans les secondes qui suivront, vous aurez un sexe turgescent aussi beau et aussi dur qu'un concombre… Mais attention, cela ne marchera qu'une fois par an. je suis désolé, mais je n'ai que ça à vous proposer.
Le gars espérait mieux, mais comme ça fait déjà plus d'un an qu'il fait ceinture, il est quand même satisfait. Il demande alors :
- Comment est-ce que ça s'arrête ?
La rebouteuse lui répond :
- Pour arrêter de faire « bite en bois », il faut prononcer à nouveau « 1-2-3 » et le charme se rompt, pour une année…
Alors le gars rentre chez lui, et le soir, il ingère la poudre. Et une fois dans le lit à côté de sa femme il dit « 1-2-3 » et aussi sec, le voilà avec un braquemart gigantesque. le gars sourit jusqu'à ses oreilles, se tourne vers sa femme… et au même moment sa femme dit :
- Pourquoi viens-tu de dire « 1-2-3 » ?
Un jeune couple vient de se marier et passe sa première nuit ensemble chez les parents du marié. Le lendemain matin, la mère du marié, se réveille et prépare une belle table pour le petit déjeuner.
Elle va sous l’escalier et appelle chacun pour venir déjeuner. Tout le monde descend, excepté le jeune couple. Après une longue attente, ils décident de manger sans eux.
La mère dit :
- « Je me demande bien pourquoi ils ne descendent pas manger ? »
Le plus jeune des fils dit :
- « Maman, je pense... »
- « Oh, ne dis rien, je ne veux pas entendre ce que tu penses ! » dit la mère imaginant les commentaires inappropriés sortant de la bouche de son enfant de 8 ans.
A midi, la mère prépare à nouveau un bon et savoureux repas et appelle le jeune couple pour manger. 5 minutes plus таrd, ils n’étaient toujours pas là, donc la famille mangea sans eux.
Pendant qu’elle débarrassait la table, la mère dit à nouveau :
- « Je me demande bien pourquoi ils ne sont pas descendus manger ? »
Et à nouveau, le jeune fils commença à parler, mais la mère l’arrêta immédiatement.
Au dîner, cela recommença. Après le repas, la mère, se demanda pourquoi ils n’avaient pas mangé de la journée.
Le jeune fils, recommença :
- « Maman, je pense... »
- « Bien, dis-moi à quoi tu penses ? » demanda la mère furieuse.
- « Je pense que quand mon grand frère est descendu cette nuit pour prendre de la vaseline, il a pris la colle pour faire mes maquettes d’avion. »
Un mari et sa femme, désespérés par la nullité des programmes télé, se couchent de воnnе heure. Le mari s’endort aussitôt, mais sa femme se sent l’âme rêveuse… Et comme elle n’a pas sommeil, elle ne sait pas quoi faire pour s’occuper. Alors elle se tourne vers son mari et lui dit :
- Chéri, tu n’as pas envie ?
Mais le mari continue de dormir et la femme de s’ennuyer. Et quand elle s’ennuie, elle a du vague à l’âme. Alors comme ça, d’un coup sec, elle lui arrache un poil pubien en murmurant d’un air rêveur :
- Chéri ; je t’aime !
Et puis elle en tire un autre en ajoutant :
- Un peu…
Et puis un troisième :
- Passionnément…
Un quatrième :
- À la folie…
Mais son mari ne bouge toujours pas... Alors la femme s’énerve, arrache une grosse poignée de poils et s’écrie :
- Pas du tout !
Là, le mari ouvre quand même les yeux et lui dit :
- Bon, quand t’en auras fini avec les marguerites, on pourra peut-être s’occuper du poireau !
C’est un blanc et un noir qui sont au tribunal, et qui attendent la sentence. Le verdict tombe : ils prennent 20 ans de trou... les boules... !
Comme ils se retrouvent dans la même cellule, une fois dans les murs, ils s’entendent pour se satisfaire mutuellement, sexuellement parlant. Et voilà le deal : chaque soir, ils tireront à pile ou face, et le perdant fera la femme.
Bon. Le premier soir arrive : La pièce est jetée, c’est le blanc qui gagne. Le black tombe donc son ben, se penche en avant, et attend.
Comme il ne se passe rien, il se retourne et voit le blanc qui s’astique le sexe avec un liquide blanc, gélatineux... bizarre !
Il demande des explications, et le blanc lui répond :
- C’est de la vaseline, c’est pour que t’aies moins mal au cul.
Bon, bref, il se fait emmancher sévère. Les 3 jours suivants, le même scénario se reproduit : le blanc a vraiment du рот, et le black commence à choper les boules.
Enfin, le cinquième jour, c’est le black qui gagne. La mort dans l’âme, le blanc dégrafe son fut’, se penche en avant et attend.
Au bout de trente secondes, il se retourne et voit le black qui s’enduit le sexe d’un liquide vert fluo.
Il lui demande ce que c’est et le black lui répond :
- C’est du Vicks, c’est pour que t’aies pas mal à la gorge.
M. Durand passe dans une gare et aperçoit une drôle de machine.
Comme une terrasse de café est juste en face, il s'assoit et observe le manège des gens. Tout d'abord, seuls des hommes se servent de cette machine.
Ensuite, après avoir glissé une pièce dans la fente, il dégrafent leur braguette et postent leur bas ventre devant une ouverture et attendent. Après quelques minutes, ils se reboutonnent et s'en vont.
N'y tenant plus, M. Durand va voir sur place, et lorsqu'il voit de près ce qui est noté sur la machine « FAITE LE FAIRE MIEUX QUE PAR VOTRE FEMME ! », il veut expérimenter la chose.
Alors il attend que personne ne le regarde, met une pièce où vous savez, dégrafe sa braguette et introduit son sexe dans l'orifice.
- « HURLEMENT DE DOULEUR »... Et il ressort avec un bouton de braguette cousu au bout du gland.