Blagues de Sex - +18 ans, Blagues de sexe
C'est une femme qui va voir une médecin :
- Docteur, j'ai un grave problème avec mon mari, il ne bande plus.
- Donnez lui 2 de ses pilules avant de vous coucher mais attention pas plus de 2 !
Le soir, elle rentre chez elle, doutant quelques peu de l'efficacité de ces pilules décident de donner toute la boite à son mari. Le gars devient fou saute sur sa femme et lui fait l'amour toute la nuit.
Le lendemain matin, un des copains du mari arrive chez eux, frappe à la porte mais personne ne vient lui ouvrir. Inquiet, il entre. Et c'est l'horreur, il voit la femme de son copain les cuisses ouvertes mais morte, le chat idem, le chien a eu droit à la même fin, le poisson idem….
C'est à ce moment la qu'il entend un petit bruit qui semble venir de la cave :
- « Zim... Zim... Zim... Zim... »
Intrigué, il descend dans la cave et voie son copain en pleine forme en train de se la limer, les yeux fixés au plafond sur une araignée :
- T'as un petit cul, toi, mais je t'aurai !
L'histoire se passe dans une tribu en Afrique. Dans cette tribu, il y un Caïd, le meilleur baiseur du groupe, frimeur et tout. Cette bête sexuelle a un jeune fils a qui il veut apprendre les meilleures techniques. Il lui dit :
- « Mon fils, je suis le meilleur baiseur de tous les temps. Je vais t'apprendre à faire jouir les nanas. Alors on va dans une cahute avec une meuf, je te montre comment on baise et toi pendant ce temps, tu éventes avec une grande feuille. Après tu essaieras. »
Alors voilà le Caïd qui commence à s'escrimer pendant une demi-heure sans aucun résultat. Il abandonne et dit à son fils de prendre sa place pendant que lui évente. En moins d'une minute, c'est le panard total pour la gonzesse, le pied géant avec les cris et tout. Le Caïd dit alors à son fils, d'un ton supérieur :
- « Alors fiston, tu vois comment on évente ? »
C'est 3 gars attablés dans un café autour de 2 pastis et 1 perroquet (d'après les couleurs dans les verres).
Un des trois gars dit à celui à sa gauche qui est tout triste :
- Ça a pas l'air d'aller fort, toi ?
- M'en parle pas… c'est ma grosse… si je la pioche pas 10 fois par jour même le dimanche, elle fait la gueule… c'est une vraie essoreuse… j'en peux plus, j'en peux plus.
Le premier reprend :
- Dis-toi bien que tu as du bol, parce qu'avec la mienne, c'est une fois tous les 2 mois, et encore en la prévenant 15 jours à l'avance.
À ce moment là ils se retournent vers le troisième gars :
- Toi, vu ta tronche d'ahuri (la gars porte sur sa figure un sourire béat), y a pas l'air d'avoir de problèmes sexuels dans ton ménage, c'est quoi votre rythme ?
- Une fois par an ! répond le gars au sourire benêt.
- Hein ?! Ça a pas l'air de te déprimer pourtant ?
Et là le gars répond :
- Justement non, c'est ce soir…
C’est l’histoire du père Mathieu, un fermier de Normandie.
Un jour qu’il était tranquillement en train de traire la Marguerite, y’a sa fille, Marie qu’est belle comme le jour (et blonde comme les blés), qui arrive :
- Dis moi, p’pa ...
- Qu’est-ce-qu’y a donc, la Marie ?
- Ben voilà ... Tu sais, ce soir, y’a une fête chez Jean-Louis.
- Ben plutôt, que je’l’sais ! C’est-y pas moi qu’ai refilé à Jean-Louis queques bonnes bouteilles de calvados de 20 ans d’âge ?
- Chais bin, p’pa. Bah voilà... j’vroudrais te d’mander : tu me laisserais-t-y pas y’aller, à la fête de Jean-Louis, ce soir ?
- Ah non ! Pas question, la Marie ! Tu es bin trop jeune...
- Mais j’ai quand même mes vingt-quatre ans passés...
- Non, la Marie ! Pas question ! Hé pis on sait bin ce qu’y s’y passe, dans ce genre de soirées. Comme tu vas y aller toute seule, et que tu es timide, tu pourras donc pas refuser l’invitation d’un garçon à danser. Et pis après, y va te payer un verre, pis deux, pis trois. Et pis ensuite tu vas avoir chaud, très chaud, tellement que quand le garçon te proposera d’aller dehors, tu pourras pas refuser. Et moi, ces gars là, je les connais... Le garçon va t’emmener dans la grange de Jean-Louis, tout en t’embrassant dans le cou. Toi, tu pourras pas réagir, vu que tu seras ronde. Ouais, je vois ça d’ici ! il va t’allonger dans la paille, et pis il va se déshabiller, et toi aussi. Et après il va te sauter dessus, et dans neuf mois, on sera déshonoré !
- Allez, s’il te plaît, ‘pa ! je te promets de faire très attention.
- Bon allez, vas-y-donc, après tout !
Le lendemain, au même endroit, y’a le Mathieu qui trait la Marguerite, et sa fille approche.
- Alors, la Marie, comment ça s’est-y passé, ta soirée ?
- Bin dis donc, p’pa, on dirait que tu y étais, tellement ça s’est passé comme t’as dit : un garçon m’a invité à danser. Et pis après, il’ma payé un verre, pis deux, pis trois, de ton bon calva de 20 ans d’âge. Et pis ensuite j’ai eu très chaud, tellement qu’on est allé dehors, lui et moi. Pis le garçon m’a emmené dans la grange de Jean-Louis, tout en m’embrassant dans le cou. Exactement ce que t’avais dit ! Pis il m’a allongé dans la paille, et pis il s’est déshabillé, et moi aussi. Mais là, c’est MOI qui lui ai sauté dessus, et dans neuf mois, c’est LUI qui sera déshonoré !
Hubert et Marie passent leur première nuit de noces
Marie se déshabille, s’couche, Hubert ar’tire l’patalon, l’pose sur le rebord du lit, r’tire sa k’mise met sa k’mise de nuit pi y s’couche.
Il s’endort aussitôt.
La Marie s’dit :
- « la mé m’avions point dit kchétait comme cha la nit d’noces. ».
Elle secoue Hubert :
Marie :
- « Hubert, Hubert ! »
Hubert :
- « m’ouai »
Marie :
- « ai frais du côté drait »
Hubert s’lève, fait l’tour du lit et s’couche à draite de Marie pis y s’endort.
Marie est inquiète et 5 min plus таrd :
Marie :
- « Hubert »
Hubert :
- « mhum »
Marie :
- « ai frais du côté gauche »
Hubert s’lève, fait l’tour du lit et s’couche à gauche de Marie pis y s’endort.
Marie est de plus en plus inquiète :
Marie : (d’une voix ferme) « ai frais du côté drait »
Hubert :
- « Marie, j’veux ben enco’ fair’ un effort, mais est l’dernier »
Hubert s’lève, fait l’tour du lit et s’couche à draite de Marie pis y s’endort.
Marie, 10 minutes plus таrd :
- « Hubert, Hubert, ai frais du côté gauche ! »
Hubert :
- « Non, Marie, j’t’ai dit qu’c’était la dernière fois ! »
Marie :
- « T’as pas besoin d’te l’ver, t’as qu’à passer pa’d’sus mé. »
Hubert :
- « Ah bah cha, est pas bête, y’avait point pensé. »
Hubert entreprend de passer par dessus Marie, et lorsqu’il est sur elle, elle le coince entre ses cuisses et lui dit :
Marie :
- « Hubert, comment qui fait l’taureau ? »
Hubert :
- « Meuh ! »
Le vieux curé d’un petit village au fin fond de la Corrèze vient de mourir subitement.
L’évêché envoie un jeune prêtre pour le remplacer. À l’approche du village, le jeune curé dans sa Renault 4 a l’oeil attiré par une scène incroyable qui se passe dans un pré jouxtant la route.
Dans ce pré, deux hommes sont en train de baiser chacun une brebis frénétiquement !
Mais ce n’est pas tout : à quelques pas de ces deux hommes, sous un arbre, un autre est en train de les regarder en se masturbant...
Effaré, le jeune curé poursuit sa route, non sans avoir fait quelques prières et autres signes de croix, et en se promettant de dénoncer cette zoophilie dès son premier sermon.
Le dimanche arrive. Le jeune curé commence son sermon :
- « Alors que j’arrivais tantôt pour la première fois aux abords de ce village, je fus le témoin d’une scène contre-nature... d’une véritable abomination. En effet, à quelques centaines de mètres d’ici, deux hommes étaient en train de copuler avec des moutons ! OUI ! Vous avez bien entendu : des MOUTONS ! (j’ose espérer que c’étaient des brebis !)... Et chose encore plus incroyable, un autre homme, témoin de cette scène de fornication était en train de se masturber, comme si cette vision pouvait provoquer une quelconque excitation sexuelle ! »
À ce moment du sermon, une voix masculine rigolarde résonne du fond de l’église :
- « Ça d’vait être l’Mathieu !... L’est bin trop fainéant pour attraper un mouton ! »
C'est un gars qui va voir son médecin et qui lui dit :
- Docteur, j'ai un problème : je n'arrive plus à bander quand on se retrouve avec ma femme dans le lit. Dites-moi ce qui ne va pas avec moi docteur !
Le médecin lui répond :
- Eh bien, commencez déjà par revenir avec votre femme dès demain et nous discuterons de votre situation.
Le lendemain, le gars revient avec sa femme. Le médecin demande à l'épouse de se déshabiller. Puis il lui dit :
- Alors maintenant, couchez vous sur le dos, là, sur la table d'examen... Voilà... Maintenant écartez bien large... décontractez-vous... Allez-y, introduisez un doigt dans votre vagin... un autre doigt... un troisième doigt... Bon d'accord, je vois...
Le mari se tourne alors vers le médecin, pour essayer de comprendre. Il demande :
- Alors Docteur, qu'est-ce que j'ai comme problème ? Pourquoi je n'ai pas d'érection ?
Et le médecin lui répond :
- Oh mais vous allez très bien : je n'ai pas eu d'érection non plus...