Blagues de Sex - +18 ans, Blagues de sexe
Une parturiente enceinte jusqu’aux dents et ce depuis 13 mois dit à son chéri de mari, surtout ne parle pas de mon rетаrd.
Pendant ce temps les services de l’EDF dépêche un gazier pour relancer le couple dont il est question, car la facture EDF n’est pas encore réglée. Le gazier sonne et madame répond :
- Madame je viens parce que vous avez un rетаrd et maintenant il faut faire au plus vite.
- Ok comptez sur moi, je vais faire le nécessaire.
A l’heure du repas, le mari rentre et se fait engueuler par sa femme au sujet du rетаrd de sa grossesse : Je t’avais dit de ne rien dire…
Chemin faisant le mari, en allant à son boulot, rencontre le gazier.
- Monsieur, comment savez-vous que ma femme à un rетаrd ?
- C’est mon métier, et il faut faire le nécessaire très rapidement !
- Que faut-il que je fasse.
- Il faut l’acquitter.
- Mais je ne veux pas la quitter. Que va-t-il se passer si je ne la quitte pas.
- Si vous ne l’acquittez pas, je vous la coupe.
- Si vous me la coupez, comment va faire ma femme ?
- Elle fera comme les autres elle prendra une bougie !
Deux matelots font escale après trois mois de mer. A peine ont-ils posé le pied sur la terre ferme qu’ils décident de partir en chasse afin de compenser leurs longs mois d’abstinence. Ils décident donc de se séparer en se promettant de se retrouver le lendemain matin à la taverne dite « Du vieux goéland ».
Ainsi, d’un pas décidé ils partent chacun à la conquête du plaisir… Le soleil est levé depuis peu quand ils se retrouvent autour d’un verre. Ils commencent alors à se raconter leurs exploits de la nuit passée. Le premier que nous nommerons Paulo par la suite semble vermoulu et décrit sa nuit.
Paulo :
- Oh ben moi c’est simple, je suis allé a l’auberge « Au maquereau sympathique » et là j’ai trouvé une charmante compagnie immédiatement. Ma paie y est passée mais j’ai baisé comme un fou toute la nuit… Et toi Pierrot comment c’était ?
Sur ce Pierrot (qui est, vous l’aviez compris le deuxième comparse) commence son récit :
Pierrot :
- Oh moi tu sais que je suis plus romantique que toi donc je suis allé à la taverne « A la rose effeuillée », j’ai fait la rencontre d’une charmante personne. Je lui ai payé un ou deux verres et finalement je me disais que ce n’était pas très sympa de faire ça pour la sauter. Donc j’allais abandonner cette idée et je me suis préparé à passer une nuit à discuter tranquillement, simplement entre amis quand elle me propose de venir boire un verre chez elle.
Bon j’accepte évidemment et à peine a-t’elle refermé la porte qu’elle se déshabille se jette sur le lit nue et me dit :
- « Fais-moi l’amour tempête ! Fais-moi l’amour tempête ! »
Alors là je la regarde et je lui dis :
- « mais je ne connais pas l’amour tempête… ».
Elle me dit :
- « C’est très simple tu secoues le lit pour faire croire que je suis sur un bateau au milieu d’une tempête. »
Alors là je me mets à secouer le lit de toutes mes forces. Après elle me dit :
- « Crache-moi dessus comme ça je penserai qu’il y a de la pluie ».
Alors je crache, je secoue le lit…
- « Maintenant allume et éteint la lumière pour faire les éclairs » me dit-elle.
Alors j’allume, j’éteins, je crache je secoue le lit, j’allume, j’éteins je crache, je secoue le lit
Là dessus Paulo s’impatiente :
- Et alors ?
Pierrot lui dit :
- Attends… Après elle me dit :
- « Fais moi le bruit du vent… »
Alors je fais le bruit du vent, j’allume, j’éteins, je crache, je secoue le lit, je fais le bruit du vent, j’allume, j’éteins, je crache, je secoue le lit.
Et là elle me dit :
- « Oh oui prends-moi maintenant. »
Paulo :
- Et alors tu l’as baisée ?
Pierrot :
- T’es pas un peu frappadingue ? Avec le temps qu’il faisait !
C’est un gars qui se balade à la campagne et qui tout à coup se rend compte qu’il meurt de soif. Il n’y a qu’un seul bar à des dizaines de kilomètres à la ronde, et il s’appelle « Aux deux folles ».
Le gars se dit :
- Qu’est-ce que j’ai soif, mais vais-je m’aventurer dans un bar avec un nom pareil ?
Finalement, il se décide. Arrivé dans le bar, il commande une chope et demande ensuite au barman pourquoi ce bar s’appelle « Aux deux folles ».
Le barman lui répond :
- Ben, je sais pas, ça s’est toujours appelé comme ça, c’est tout.
Mais le gars insiste et le barman lui dit alors :
- Ecoutez, je vais un peu demander à ma femme, peut-être qu’elle sait… Georges, viens un peu voir par ici !
Un hippie monte dans un bus et va s’asseoir à côté d’une religieuse sur le siège situé juste derrière le chauffeur. Le hippie la regarde et lui demande si elle aimerait faire l’amour avec lui.
La nonne est surprise (forcément), décline l’offre poliment et descend dès le premier arrêt. Quand le bus redémarre, le chauffeur du bus se tourne vers le hippie et lui dit :
- « Si tu veux, je sais comment tu dois t’y prendre pour que cette nonne consente à faire l’amour avec toi. »
Le hippie ne demande pas mieux. Alors le chauffeur lui explique que tous les mardis soirs, la nonne va au cimetière pour prier pour le repos de l’âme des défunts et il ajoute :
- « Tu n’as qu’à t’y rendre vêtu d’une toge blanche, avec tes longs cheveux, tu pourras te faire passer pour Dieu et lui commander de faire l’amour avec toi. »
Le mardi soir arrive, le hippie déguisé attend la religieuse dans le cimetière. Comme prévu, elle arrive. Alors le hippie s’approche d’elle sans se faire voir et dans la demi-obscurité lui dit :
- « Je suis Dieu, j’ai entendu tes prières et je les exaucerait, mais d’abord il faudra que tu fasses l’amour avec moi. »
La religieuse est embêtée car elle veut garder sa virginité. Alors elle propose à Dieu qu’il la prenne par derrière. Le hippie est d’accord et va tout de suite s’affairer sur la nonne. Une fois son affaire faite, le hippie dit à la religieuse :
- « Hé hé, je ne suis pas Dieu, je suis le gars qui s’est assis à côté de vous dans le bus ! »
Et la nonne répond en enlevant son costume :
- « Hé hé, et moi je suis le chauffeur du bus ! »
C’est l’histoire d’un gars pas très franchement évolué sexuellement. Par contre, il est très doué intellectuellement. Il habite à la campagne, dans une ferme. Il vient d’avoir son BAC. Son père, pour le récompenser de sa réussite décide de lui faire un cadeau. Le fils rentre à la maison.
Le père :
- « Mon fils, va voir dans ta chambre, je t’ai fait un cadeau que tu ne regretteras pas… »
Le fils monte alors dans sa chambre ou il y découvre une femme (en fait, une prostituée). La femme s’approche de lui, ferme la porte de la chambre et lance la clef hors de portée du jeune homme et lui dit :
- « Laisse-toi faire mon garçon, je serai très gentille avec toi. »
Pendant ce temps, le père a l’oreille rivé à la porte de la chambre car il veut connaître l’évolution de l’affaire… La femme commence donc à le déshabiller. Mais le jeune homme choqué commence à se rebiffer :
- « Madame, je ne veux pas perdre ma vertu de cette façon. »
Il s’approche donc de la fenêtre de sa chambre et dit :
- « Si vous approchez d’un pas de plus, je saute. »
Croyant au bluff, la femme s’approche, et cela provoque le saut du jeune homme. Celui-ci tombe alors dans le tas de fumier qui se trouve au pied de sa chambre et le jeune homme crie alors :
- « Papa, je suis dans la меrdе ! »
Le père, toujours l’oreille rivée à la porte :
- « Sасré fiston, je le savais doué, mais à ce point ! »
Après avoir fait pour la première fois l’amour avec sa cousine, de trois ans plus âgée que lui, un jeune garçon semble soucieux :
- Tu n’es donc pas content ? lui demande, un peu étonnée, son initiatrice.
- Si, si, bien sûr, répond-il, mais, pour faire cela, j’ai séché le collège. Et je me dis que, si ça se trouve, les autres ont appris des choses intéressantes, au cours d’éducation sexuelle.