Blagues de Sex - +18 ans, Blagues de sexe
C’est deux mecs qui sont à la piscine, bien musclés, très sportifs, ils s’entraînent, ils font un peu la course en se disant « меrdе, j’vais pas m’faire doubler quoi » enfin vous connaissez ça les velus du torse. Ils sont vraiment de force égale, et à la compétition suit une sorte de fascination pour cet autre moi.
Un peu exténués par la course, ils décident chacun au même moment que ça suffit comme si, et ils se retrouvent fortuitement dans les douches sans l’avoir vraiment voulu. Ils se douchent tout nus comme ils ont toujours fait, et ils sont tous les deux très beaux, et bien membrés.
A se regarder l’un l’autre du coin de l’oeil, ils commencent à fantasmer tant et si bien qu’ils ont tous les deux une trique d’enfer.
Un peu gêné, l’un demande à l’autre :
- T’es pédé ?
L’autre :
- Non !
Tous les deux, en soupirant :
- « Dommage… »
Ce soir, Blanche Neige est très fatiguée et elle annonce aux sept nains qu’elle va se coucher. Après avoir dit « воnnе nuit » et fait la bise à chacun d’eux, elle monte à l’étage pour rejoindre son lit.
Immédiatement, les sept nains courent dehors pour aller l’espionner par la fenêtre pendant qu’elle se déshabille. Pour cela, ils se montent sur les épaules; ce soir, c’est au tour de Grincheux d’être tout en haut. Comme il est le seul à voir, il informe les autres nains de ce qu’il voit :
- Elle enlève son tablier…
(et dans la pile de nains se transmet de proche en proche le « elle enlève son tablier »)
- Elle enlève sa robe…
(et dans la pile de nains se transmet de proche en proche le « elle enlève sa robe »)
- Elle enlève son soutien-gorge.
(et dans la pile de nains se transmet de proche en proche le « elle enlève son soutien-gorge »)
- Maintenant elle enlève sa culotte.
(et dans la pile de nains se transmet de proche en proche le « elle enlève sa culotte »)
Et à ce moment, Grincheux entend un bruit, alors il se retourne et de sa position surélevée, il aperçoit quelqu’un qui sortant des bois s’approche de la maison alors il dit aux autres :
- Quelqu’un vient !
(et dans la pile de nains on entend « moi aussi », « moi aussi », « moi aussi », « moi aussi », « moi aussi », « moi aussi »)
Ayant cédé aux supplications d’un artiste peintre, une dame a accepté de faire l’amour avec lui. Elle s’installe sur le lit et attend, pendant que son amoureux se dévêt. Et, lorsque, tout nu, il vient la rejoindre, elle est prise d’une folle hilarité. Entre deux hoquets de rire, elle parvient à articuler :
- Quand vous.., m’avez dit… que vous étiez… miniaturiste.., j’avais imaginé.., toutes les raisons., à votre vocation.., sauf la véritable.
C’est un monsieur très bien, très chic, qui a plutôt bien réussi dans la vie. Mais il est désespéré, parce qu’il a un fils d’une trentaine d’années qui est resté un vrai benêt. Il est tellement niais sur le plan sexuel qu’il n’y connaît rien, il n’a même jamais vu une femme déshabillée. Alors un jour, ce monsieur très chic se dit :
- Je ne peux vraiment pas laisser mon fils dans cet état-là ! Bon, je prends la Bentley et je l’emmène au claque. Allez viens, mon fils !
- Hum, où c’est qu’on va, papa ?
- Ecoute, suis-moi et ne pose pas de questions !
Cinq minutes après ils arrivent rue Sаinт-Denis, et le monsieur très chic aborde une prostituée:
- Bonjour, mademoiselle ! Vous me reconnaissez ?
- Ouais, c’est pourquoi ?
- Je vous ai amené mon fils parce qu’il a trente ans et qu’il serait temps de faire son initiation. Vous ne pourriez pas vous en charger ? Mais alors soyez gentille avec lui, parce que vous allez voir, il ne sait vraiment pas comment ça se passe…
- On a l’habitude ! Allez suis-moi, toi !
Le fils monte avec elle dans la chambre et elle lui fait :
- Bon, tu as déjà vu une femme de près ? Déshabillée, tout ça ?
- Hum ! Oh oui, à la télé ! Chez Dorothée !
- Bon alors écoute, on va commencer par le tout début: je me déshabille, tu te déshabilles, et on s’allonge sur le lit.
- D’accord !
Le temps de plier ses vêtements, le garçon vient se coucher à côté de la prostituée qui lui demande :
- Alors bon, qu’est-ce que tu en penses ?
- Ben, hum, il fait froid ! On ne pourrait pas se rhabiller ?
- Non, on va rester comme ça ! Comment tu me trouves ? Quel effet ça te fait, une femme à poil, tu trouves ça bien ?
- Hum, bah je sais pas…
- Bon, on va commencer par la bouche… C’est bien, la bouche, parce qu’on peut faire des tas de trucs avec, on peut s’embrasser… Et puis tout, je t’expliquerai. Bon alors maintenant, tu vois, ça c’est mes seins !
- Hum…
- C’est bien, les seins d’une femme, parce que tu vois, c’est chaud, c’est doux. Et on peut faire des tas de choses avec.
- Hum, oui madame !
- Et alors ça, c’est mon nombril…
- Hum, moi aussi j’en ai un !
- Oui, tu en as un aussi. On a tous des nombrils. On peut pas faire grand-chose avec, mais enfin c’est mon nombril. Alors là, c’est le principal, c’est l’essentiel… Là, on peut tout faire, tout ! Alors vas-y, tu peux toucher !
- Je peux ?
- Oui, vas-y ! Tu peux y mettre un doigt, par exemple !
- Hum !
- Bon alors, ça va ? Tu vois, ça ne fait pas mal ! Maintenant, tu peux mettre deux doigts…
- Ah pourquoi, ça siffle ?
Un soir le mari demande à sa femme :
- Chérie, nous n’avons jamais fait ça, mais j’aimerai te sodomiser.
La femme, s’offusque :
- Pas question. Tu peux courir. Pas de ça avec moi.
Le mari n’insiste pas. Mais recommence le lendemain soir :
- Chérie, s’il te plaît, laisse-moi faire…
La femme :
- Non, il n’en est pas question. Je veux bien faire l’amour mais ce sera comme tout les gens normaux.
Le troisième soir le mari revient à la charge :
- Mon coeur, je t’en prie, laisse-toi faire, je te promets de ne pas te faire de mal.
Finalement, la femme excédée accepte. Son mari commence donc son affaire et la sodomise jusqu’à l’orgasme. A la fin, la femme, qui n’a finalement pas détesté ça se retourne vers son mari et lui dit :
- Alors, tu es content maintenant ?
Le mari ne répond pas.
La femme insiste.
Le mari, le nez dans son oreiller, lui répond alors :
- Je parle pas aux enculées !
Deux jeunes gens, qui ne se sont pas vus depuis longtemps, se rencontrent :
- Tiens, s’étonne le premier, comment se fait-il que tu n’amènes plus ta nana au cinéma, le samedi soir ? – Je vais te le dire, explique l’autre. Un jour, au moment où on allait partir pour le cinéma, il pleuvait. Alors, on est resté dans mon studio en cherchant ce qu’on pourrait bien faire, à la place. Et, finalement, on a trouvé.
Ça se passe dans un piano-bar assez chic. Le barman est sûrement un peu… bref, il a des manières, il faut le voir agiter son petit shaker, rajuster son petit noeud… Un soir, il y a plein de clients, et tout à coup il y a une espèce d’énorme truand qui arrive et qui tape du poing sur le comptoir en criant :
- Un whisky vite, vite, vite, vite !
- Oui oui, tout de suite, voilà, ça vient !
Mais le truand s’énerve, sort son revolver et tue un premier client, en abat un deuxième et dit au barman :
- Tu vas voir, moi aussi je suis homosexuel, et je vais te faire ta fête !
Alors le barman lui dit :
- Oui, mais enfin quand même ! D’abord je vois pas le rapport, et ensuite ce n’était pas la peine de tuer deux personnes pour ça !
Et le truand lui répond :
- Si, si ! Maintenant tu as un trou de ваllе plus serré !