C’est l’histoire d’un petit garçon, très admiratif de son grand frère. Il ne peut s’empêcher de l’espionner. Un soir, il voit donc son frère se diriger vers sa voiture. Il se dépêche d’aller se cacher sous la banquette arrière. Le frérot va chercher sa petite amie et part en rase campagne. Au bout d’un moment, celui-ci s’arrête et demande à la fille :
Lui :
- « Tu veux ou tu veux pas ? »
Elle :
- « Je ne veux pas ! »
Lui :
- « Bon puisque c’est comme ça, tu descends et tu rentres à pied. »
Et elle rentre à pied.
Le mercredi après-midi suivant, le petit garçon, très inspiré, prend son vélo et va voir sa petite copine. Ils vont, tous les 2 sur le vélo, se promener à la campagne.
Et bout d’un moment, le petit garçon demande :
Lui :
- « Tu veux ou tu veux pas ? »
Elle :
- « Ben, je veux bien. »
Lui :
- « Bon puisque c’est comme ça, je descends et je rentre à pied ! »
- Je regrette, dit le releveur des compteurs à la belle locataire d’un pavillon de banlieue, mais, étant donné que vous n’avez pas payé vos trois dernières factures, je suis obligé de vous couper l’eau. Toutefois, si vous m’autorisez, chaque matin, à venir vous frotter, partout, partout, partout quand vous prenez votre dоuсhе, je suis prêt à régler pour vous non seulement vos factures d’eau en rетаrd mais aussi celles d’EDF-GDF. Et, en prime, je vous apporterai des croissants pour le petit déjeuner.
- Salut, poupée ! dit un lycéen à une adolescente. Je voudrais t’offrir un verre.
- D’accord, dit la jeune fille qui le suit dans un bar.
Quand ils ont bu un coca, le garçon s’écrie :
- Je voudrais que tu m’accompagnes dans ma chambre.
- D’accord, répond la fille, qui lui emboîte le pas.
Une fois arrivé chez lui, le lycéen lui dit :
- Je voudrais que tu te couches dans mon lit.
- D’accord, répond la jeune fille qui jette tous ses vêtements à terre et va se glisser sous les draps.
Le lycéen l’imite. Cinq minutes passent. Dix minutes passent…
- Et maintenant, demande la fille, étonnée et impatiente, qu’est-ce que tu attends ?
- Je ne sais pas, avoue le garçon. Je n’ai jamais pu aller plus lоin que le Coca-Cola sans recevoir une paire de claques.