Blague Métier, Blague au travail
Une dame et un bébé attendent patiemment le docteur pour le premier examen du bébé. Le docteur arrive, examine le bébé, vérifie son poids et d'un air un peu préoccupé demande à la dame si l'enfant est nourri au sein ou au biberon.
- Au sein, répond-t-elle.
- Eh bien déshabillez-vous jusqu'à la taille, lui dit-il .
Elle s'empresse de le faire. Puis il lui pince les mamelons, presse un sein après l'autre, palpe et frotte les seins dans tous les sens dans le cadre d'un examen très minutieux. En lui demandant de se rhabiller, il lui dit :
- Pas surprenant que le bébé ait un poids si faible, vous n'avez pas de lait !
- Je sais, dit elle , je suis la grand-mère, mais je suis contente d'être venue !
Devant sa banque, un trader gare sa Porsche flambant neuve, histoire de frimer devant ses collègues Au moment où il commence à sortir de sa voiture, un camion arrive à toute allure et passe si près qu'il arrache la portière de la Porsche puis disparaît aussi vite.
Le trader se rue sur son portable et appelle la police. Cinq minutes après les flics sont là. Avant même qu'un des policiers n'ait pu poser la moindre question, le trader commence à hurler :
- Ma superbe Porsche turbo est foutue. Quoi que fassent les
Carrossiers, ce ne sera plus jamais la même ! Elle est foutue, elle est foutue !
Quand il semble avoir enfin fini sa crise, le policier hoche la tête avec dégoût et dit :
- C'est absolument incroyable à quel point, vous autres banquiers, vous êtes matérialistes ! Vous êtes si concentrés sur vos biens que vous ne pensez à rien d'autre dans la vie.
- Comment pouvez-vous dire une chose pareille à un moment pareil, sanglote alors le propriétaire de la Porsche ?
Le policier répond :
- Vous n'avez même pas conscience que votre avant-bras gauche a été arraché quand le camion vous a heurté...
Le banquier regarde son bras avec horreur et hurle :
- Рuтаin, ma Rolex !
Je suis allé au restaurant avec quelques amis il y a quelques jours, et j'ai remarqué une petite cuillère dépassant de la poche de notre serveur lorsqu'il nous a tendu les menus.
Cela m'a paru un petit peu bizarre, mais je n'y ai plus prêté attention, jusqu'à ce que le sommelier arrive, et lui aussi avait une petite cuillère qui dépassait de la poche de sa chemise.
J'ai regardé autour de moi, et tous les employés étaient équipés de la sorte. Quand le serveur est revenu pour prendre la commande, je lui ai demandé :
- A quoi sert la petite cuillère ?
- Et bien, notre patron a récemment fait appel aux experts en productivité d'Arthur Andersen afin de passer en rеvuе toutes nos procédures de travail et après des mois d'analyses statistiques, ils en ont conclu que nos clients font tomber par terre leur petite cuillère 73% plus souvent que les autres couverts, selon une fréquence de 3 cuillères par heure et par poste de travail. En préparant tous nos employés à cette éventualité à l'avance, nous pouvons diminuer le nombre de trajets vers la cuisine et gagner du temps... presque une heure et demi de travail par personne et par service.
Au moment où il finissait, un chhhling parvint de la table située derrière nous, et il remplaça prestement la petite cuillère tombée à terre.
- Je prendrai une nouvelle petite cuillère à la cuisine la prochaine fois que j'irai y chercher un plat, plutôt que de faire un voyage spécial.
Je fus très impressionné, et lui très fier de son explication.
Après quoi, il continua son service.
Pendant que mes amis commandaient, je ne pus m'empêcher de remarquer une petite corde noire qui dépassait de toutes les braguettes du personnel. Ma curiosité l'emporta et je ne pus m'empêcher de poser la question :
- Excusez-moi, mais pouvez vous m'expliquer la raison de cette cordelette qui pend ?
- Oh oui, reprit-il plus bas, peu de gens ont votre sens de l'observation. Le même consultant s'est rendu compte qu'on pouvait gagner du temps dans les to… >> Cliquez pour lire la suite
Un président de société reçoit en cadeau un billet d'entrée pour une représentation de la Symphonie Inachevée de Schubert. Ne pouvant s'y rendre, il passe l'invitation au responsable des Ressources Humaines de sa société. Le lendemain, le président se voit remettre le rapport suivant :
1. Les quatre joueurs de hautbois demeurent inactifs pendant des périodes considérables. Il convient donc de réduire leur nombre et de répartir leur travail sur l'ensemble de la symphonie, de manière à réduire les pointes d'inactivité.
2. Les douze violons jouent tous des notes identiques. Cette duplication excessive semblant inutile, il serait bon de réduire de manière drastique l'effectif de cette section de l'orchestre. Si l'on doit produire un son de volume élevé, il serait possible de l'obtenir par le biais d'un amplificateur électronique.
3. L'orchestre consacre un effort considérable à la production de triples croches. Il semble que cela constitue un raffinement excessif, et il est recommandé d'arrondir toutes les notes à la double croche la plus proche. En procédant de la sorte, il devrait être possible d'utiliser des stagiaires et des opérateurs peu qualifiés.
4. La répétition par les cors du passage déjà exécuté par les cordes ne présente aucune nécessité. Si tous les passages redondants de ce type étaient éliminés, il serait possible de réduire la durée du concert de deux heures à vingt minutes.
Nous pouvons conclure, Monsieur le Président, que si Schubert avait prêté attention à ces remarques, il aurait été en mesure d'achever sa symphonie.