Sortant d’une banque, un quidam tombe par hasard sur un ami de toujours :
- Tiens, ce vieux Georges ! Alors, quoi de neuf ?
Et l’autre, désabusé :
- Tu sais ce que c’est, la vie, toujours la vie…
- Eh bien, mon vieux, c’est pas la grande forme ! Tu as cinq minutes ? Je te paie un verre…
- Pfff… L’alcool, toujours l’alcool…
- Allons, ressaisis-toi. Heu… Ça te dirait d’aller te refaire au poker ?
- Oh, tu sais, le jeu, toujours le jeu…
- Dans ce cas, viens dîner à la maison, ma femme sera ravie de te revoir !
- Oh, les femmes, toujours les femmes…
Un homme lit dans un magazine qu’il est possible de faire durer l’acte sexuel si on se masturbe avant.
Il décide de faire un petit essai le soir même. Problème : ou le faire ?
- Il pense aux W-C. Non, trop fréquentés.
- Derrière son bureau ? Non, trop risqué.
- Dans le jardin public ? Non, trop d'enfants autour.
Et puis, en rentrant chez lui, il trouve la réponse : il va s'arrêter, se garer sur le bas côté, se glisser sur le dos sous sa bagnole (un 4x4) et faire semblant de vérifier en dessous. Il y va, baisse son froc, ferme les yeux et pense très fort à sa copine.
Juste au moment crucial, il sent quelqu'un tirer sur le bas de son pantalon.
Ne voulant pas perdre son rythme si près du but, il garde les yeux fermés et continue.
On tire encore sur le bas du pantalon.
Toujours les yeux fermés et s'activant, il crie : Qui c'est ?
- Gendarmerie, lui répond-on. Qu'est-ce que vous faites ?
- Je vérifie l'essieu arrière ! Je pense qu'il est foutu.
- Bon, ok, dit le gendarme. Et puisque vous y êtes, vérifiez aussi le frein à main : Votre voiture est à 200 mètres d'ici.
C’est un type qui arrive dans un bar en courant et qui demande au serveur :
- J'aimerais un whisky, non deux, enfin dix whiskies.
Le serveur, un peu étonné, lui sert les dix verres sur un plateau et le mec, les boit cul-sec les uns derrière les autres. Le serveur lui demande :
- Mais excusez-moi, pourquoi vous vouliez dix whiskies, d'un coup ?
- Aujourd'hui, c'est un jour spécial. Je fête ma premiere pipe.
- Ben alors là, si je peux me permettre de vous offrir le onzième ?
- Oh, vous savez si le goût n'est pas passé avec dix, c'est pas un de plus qui changera quelque chose !
Un gars de la ville, sans travail et sans argent, va à la campagne chercher refuge et nourriture le temps que la dèche le lâche un peu.
En arrivant à une ferme, où bien sûr il demande abri et de quoi se remplir la panse, un fermier lui prête воnnе oreille.
- Je te loge et te nourris, mais tu travailleras pour ta pitance. Autre chose de très important, j'ai deux filles, et si tu touches l'une d'entre elles, tu est mort!
Le gars de la ville accepte. Bien repu, il va dormir à la grange afin d'être frais et dispos pour le lendemain. À la première heure le fermier va le chercher et l'amène aux champs afin qu'il gagne sa pitance.
Voyant les chaussures de notre citadin, le fermier n'en revient pas.
- Tu ne pourras jamais travailler avec ce genre de godasses! Va donc dans la chambre des filles, dans la garde-robe tu trouveras des bottes: mets les et reviens vite.
En arrivant dans la chambre, et voyant les belles à demi vêtues et encore endormies, il ne peut résister et entreprends de bien servir la première des filles. N'ayant recu pour ainsi dire pas de résistance avec la première, il ose entreprendre la deuxième. Malheur, il y a résistance, elle se met à crier :
- Tu ne peux pas faire cela mon père va te tuer.
- Mais non, dit-il, c'est lui qui m'envoie, tu vas voir...
Il va à la fenêtre, l'ouvre et crie :
- Hé le père, je les mets toutes les deux?
Et le père répond:
- Bien sûr, innocent!