C'est jour de marché dans Kensington et Sherlock Holmes et le docteur Watson se promènent parmi la foule. Tout près d'un marchand de fruits et légumes qui fait goûter sa marchandise aux clients, Sherlock remarque trois jeunes femmes qui ont jeté leur dévolu sur les bananes.
- Bonjour madame, bonjour mademoiselle, bonjour ma sœur, leur dit Holmes.
- Vous les connaissez, Demande Watson ?
- Non, je ne les connais pas. Mais je peux tout de même vous dire que l'une était une religieuse, une autre était prostituée, et la troisième était une jeune mariée!
- Pas possible ?! Comment avez-vous pu deviner ça?
- Élémentaire, mon cher Watson: la nonne mangeait sa banane en la coupant par petits morceaux au préalable. La prostituée mangeait sa banane en la prenant à deux mains et en l'introduisant complètement dans la bouche. Et enfin, la jeune mariée tenait le fruit d'une main pendant qu'elle poussait sa tête vers la banane avec son autre main !
Une vieille dame, de plus de 90 ans mais fringante, rentre dans une pharmacie.
- Bonjour Monsieur, avez vous de l'aspirine?
- Oui, sans aucun doute.
- Avez vous des anti-douleurs?
- Oui, aucun problème.
- Avez vous des anti-rhumatismaux?
- C'est certain que nous en avons.
- Avez vous du Viаgrа?
- Oui, bien sûr.
- Avez vous des pilules antirides?
- Oui, nous en avons.
- Avez vous du gel pour les hémorroïdes?
- Évidemment.
- Avez vous du bicarbonate?
- Certainement..
- Avez vous des médicaments pour le foie?
- Bien sûr.
- Avez vous des antidépresseurs?
- Oui, sans aucun doute.
- Avez vous des somnifères?
- Oui, oui, nous en avons.
- Avez vous des produits pour la mémoire?
- Oui... quelques-uns !
- Avez vous des béquilles?
- Évidemment.
- Avez vous des couches pour adultes?
- Mais certainement.
- Avez vous ...
- Enfin, Madame... nous sommes une pharmacie professionnelle. Nous avons tous les produits. Quel est votre problème ?
- Je dois épouser mon Léon, 95 ans, à la fin du mois.
Nous aimerions savoir si nous pouvons laisser notre liste de mariage chez vous...
C’est une maman qui a trois filles (une brune, une rousse et évidement une blonde). Ces trois filles travaillent dans la pub, et le hasard fait qu’elle trouvent chacune un mari et décident de se marier au même moment.
Par jeu, la mère demande à ses filles de lui écrire pour décrire comment se passe la lune de miel, mais en utilisant des slogans publicitaires (pourquoi pas !).
Quelques jours après le mariage, la maman reçoit une lettre de l’aînée. Dans cette lettre, il n’y a que deux mots :
- « Petit pimousse ».
La mère se dit en elle-même :
- « PETIT PIMOUSSE, PETIT MAIS COSTAUD », et elle sourit.
Le jour suivant, c’est un message de la puînée qui arrive par la poste. Dans la lettre, là encore deux mots :
- « Renault clio ».
Le mère se dit en elle-même :
- « CLIO, ELLE A TOUT D’UNE GRANDE », et elle sourit.
Enfin, un jour plus таrd arrive un message de la cadette (la blonde, vous l’avez deviné). La encore (c’est de famille) elle lit deux mots :
- « British airways ».
La maman ne connaît pas le slogan de cette compagnie aérienne, alors elle recherche dans ses périodiques.
Elle finit par trouver :
- « British airways, deux fois par jour, quatre fois par semaine, dans les deux sens ».
Ce sont deux jeunes mariés un peu benêts, qui n’ont jamais connu aucune relation, ni sexuelle, ni même sentimentale. C’est le soir de la nuit de noces et ils se retrouvent dans leur chambre d’hôtel sans savoir ni l’un ni l’autre ce qu’il doivent faire. Le marié se décide quand même à prendre une initiative, et il appelle sa mère au téléphone…
La mère lui répond :
- « Vous n’avez qu’à vous coucher nus, tous les deux sur le lit, et vous verrez bien, tout va venir tout seul ! »
Mais les jeunes mariés ont besoin d’être vraiment aidés car ni l’un ni l’autre ne savent quoi faire à ce moment.
Appelée une deuxième fois au téléphone, la mère du marié lui suggère qu’ils se glissent tous les deux sous les couvertures et qu’ils se collent l’un à l’autre. A ce moment la nature devrait leur montrer le chemin !
Mais, que dalle… Nada, rien. Libido zéro.
Alors le fils appelle sa mère une troisième fois et elle lui dit :
- « Ecoute bien mon garçon : tu vas mettre ce que tu as de plus gros comme organe à l’endroit où ta femme est la plus poilue ! »
Et la mère raccroche, furibarde.
Quelques minutes plus таrd, à contrecoeur, le fils appelle sa mère pour la quatrième fois et il l’implore au téléphone :
- « Maman, maintenant que j’ai mon nez sous son aisselle, qu’est-ce que je fais après ? »
C’est l’anniversaire de mariage de René, ils ont 50 ans de vie commune, sa femme Simone et lui, on passé toute leur vie à la ferme et René décide de fêter leur anniversaire d’une manière un peu spéciale… – Dis donc Simone, qu’est ce tu dirais si je te prenais là sur la clôture ?
- Mais René enfin tu n’y penses pas sérieusement aujourd’hui nous ne sommes pas le dernier Samedi du mois…
- Je sais Simone mais ça compte pas, aujourd’hui, c’est notre anniversaire.
- Oh ben non quand même, que vont dire les vaches ?
- Et ben elles diront que l’taureau leur manque et pis c’est tout !
- Bon puisqu’y a pas moyen de t’raisonner on y va…
Alors René entreprend la Simone et il y va gaiement, contre la barrière, comme lorsqu’ils étaient jeunes. Et au bout de quoi disons 10 minutes l’affaire est faite. Mais René demande à Simone :
- Dis donc tu bougeais pas comme ça avant… que se passe-t-il ?
- Et ben je sais mais dans le temps, mon René, les barrières n’étaient point électrifiées…