Un Belge rentre dans un bar à Paris. Il s’assied au comptoir.
Le garçon s’approche :
- Qu’est-ce que vous prenez, Monsieur ?
Le Belge :
- Un whisky avec deux glaçons, une fois. Il boit son verre et se dirige vers la sortie.
Le garçon l’appelle :
- Monsieur, vous n’avez pas payé votre consommation…
Le Belge répond :
- Vous m’avez proposé de prendre quelque chose. Je n’ai rien demandé, donc je ne dois pas payer !
Et il sort, laissant le garçon complètement éberlué…. Le garçon raconte l’affaire à ses patrons le soir:
- J’ai deviné à son accent que c’était un Belge. Il est parti sans payer sous prétexte que c’est moi qui lui a demandé à boire !
- Ce n’est pas grave, dit le patron, Demain je tiendrai le bar. S’il revient, il verra à qui il a affaire !
Le lendemain, le patron est au bar. Le belge entre, s’assied au bar et attend. Le patron lui demande ce qu’il désire boire :
- Un whisky avec deux glaçons, une fois, répond le Belge.
Le patron reconnaît l’accent et lui sert son verre. Après avoir bu, le Belge s’en va sans payer. Le patron lui dit :
- Eh, vous, vous n’avez pas payé votre verre !
Le Belge répond :
- Non, c’est vous qui me l’avez proposé. Quand on offre un verre, on ne réclame pas d’argent !
Et il sort, trop rapidement pour que le patron réagisse. Le soir, le patron raconte son infortune à sa femme :
- Ça ne fait rien, dit-elle, Demain, je m’en occupe et je ne me laisserai pas faire…
Le lendemain, la dame est au bar, le belge entre dans l’établissement.
- BONJOUR, fait la dame.
- BONJOUR, une fois, répond le Belge.
La patronne reconnaît le belge en question et décide de se méfier. Elle attend un bon moment, le Belge ne réagit pas. Au bout d’une demi-heure, la patronne n’y tient plus mais fait preuve de finesse :
- Monsieur, désirez-vous passer commande ?, demande-t-elle.
Le Belge répond :
- Un oeuf cuit dur, s’il vous plaît une fois.
Intriguée, la patronne lui donne son oeuf. Le Belge enlève la coquille, prend un couteau et commence à découper l’oeuf en petits cubes, devant les yeux médusés de la patronne.
- Que faites-vous, Monsieur ?, dit-elle très curieuse.
- Eh bien, je suis un fana de pêche, et j’ai mes recettes secrètes… Je mets ces cubes sur l’hameçon à la place d’asticots ou de mouches, répond d’un air entendu le Belge.
- Ah bon, dit la patronne perplexe, Et qu’est-ce que vous prenez avec ça ?
- Un whisky avec deux glaçons, s’il vous plaît !, répond le Belge avec un sourire aux lèvres…

Comme tous les mille ans, Dieu demande à Sаinт-Pierre de réaliser une enquête sur le comportement humain sur terre. Quelque temps après, Sаinт-Pierre a terminé son enquête et vient présenter son rapport au patron :
- Alors Pierre, quelles nouvelles d’en bas ?
- Bah, ça me fait de la peine d’avoir à vous dire ça patron, mais c’est toujours la même chose : les humains se comportent toujours comme s’ils suivaient le côté obscur de la Force. Ils se droguent, ils boivent, ils fument, ils tuent. Mais non contents de cela, ce sont aussi des obsédés sexuels. L’enquête a même montré qu’ils délaissaient de plus en plus souvent les relations sexuelles classiques pour la sodomie ! En fait, 37% de la population affirme pratiquer cela couramment… On peut dire que ça devient presque une épidémie.
- Hum… Qu’est-ce que tu proposes pour mettre fin à cette pratique sexuelle désastreuse ?
- Eh bien, je pense qu’on pourrait déjà envoyer un message dans chaque foyer terrestre où cette реrvеrsiоn sexuelle est pratiquée. Le contenu du message leur révélerait EXACTEMENT ce qu’il adviendra d’eux au jour du Jugement Dernier s’ils persistent dans cette activité.
Dieu approuva l’idée de Sаinт-Pierre :
- Excellente idée, mais je pense qu’à la place de punir ceux qui pratiquent la sodomie, on devrait récompenser ceux qui ne la pratiquent pas. Aussi, plutôt que d’envoyer une lettre aux sodomites, nous enverrons une lettre à tous les humains qui ont des relations normales. Je signerai personnellement chacune de ces lettres !
Et savez-vous ce que la lettre disait ?
?
?
?
Non ?
C’est que vous ne l’avez pas reçue vous non plus, hein ?
C’est un gars qui vend des brosses à dents en porte-à-porte depuis quelques années déjà, et il en a marre : il décide de se mettre à son compte. Il passe donc une annonce pour recruter des jeunes vendeurs qui vendront les brosses à dents à sa place. Un candidat bègue se présente :
Le bègue :
- J-j-j-j-je v-v-v-voud-d-d-drais v-v-vend-d-d-dre d-d-des br-brosses à dents p-p-pour v-v-vous !
Le boss :
- Ah ça , pas question mon gars, tu as un sérieux problème d’élocution tu sais…
Le bègue :
- Allez p-p-p-patron l-l-l-laiss-ssez moi ess-ss-ssayer…
Le patron :
- Ok essaie si tu veux. Voilà le matériel.
Le lendemain :
- J-j-j-j’ai v-v-v-vendu t-t-tout le c-c-carton ! D-d-d-donnez moi d-d-d-dix c-c-c-cartons !
Le surlendemain :
- J-j-j-j’ai v-v-v-vendu t-t-tout les c-c-cartons ! D-d-d-donnez moi cinq-qu-qu-quante c-c-c-cartons !
Le surlendemain :
- J-j-j-j’ai v-v-v-vendu t-t-tout les c-c-cartons ! D-d-d-donnez moi cent c-c-c-cartons !
Le boss :
- Dis-moi un peu, quel est la raison de ton succès ? Quelle est la méthode que tu emploies pour vendre autant de brosses à dents ?
Le bègue :
- C-c-c-c’est s-s-s-simple. J-j-j-j’installe m-m-m-mon m-m-mat-t-tériel au coin de d-d-d-deux rues t-t-très fr-fr-fréquentées… J-j-je met une p-p-p-pancarte « D-d-dégus-s-station d-de cr-cr-crevettes sauce p-p-piquante gr-gr-gratuite ». J-j-j-je m-m-m-mets à la d-d-d-disposition du p-p-p-public un bol de sauce et d-d-des cr-cr-crevettes. Les gens pr-pr-prennent une cr-cr-crevette, la trempent d-d-dans la sauce et goûtent… « Beuarh ! Cette sauce a le goût de меrdе ». qu-qu-qu’ils d-d-disent et j-j-j-je rép-p-p-pond :
- « C-c-c’en est. J-j-j-je v-v-vous v-v-vend une br-br-brosse à d-d-dents ? »