Chez un marchand de vin, l'ancien testeur de vin est décédé et le directeur cherche à le remplacer. Un ivrogne, à l'allure très sale est venu pour le poste. Le directeur du magasin cherche à s'en débarasser. Il lui donne un verre de vin . L'ivrogne boit et dit :
- C'est un muscat, trois ans d'âge, provient du nord et à été mûri dans un conteneur en métal. Bas de gamme, mais acceptable.
- D'accord dit le patron. Un autre verre, lui demande-t-il ?
L'ivrogne le boit et dit :
- C'est un cabernet, huit ans d'âge, provient du sud ouest, mûri dans un baril en chêne à huit degrès. Demanderait trois autres années pour de meilleurs résultats.
- Exact dit le patron.
Un troisième verre ...
- C'est un pinot blanc champagne, très côté et exclusif, dit l'ivrogne calmement.
Le directeur est épaté.
Ce dernier fait un signe à sa secrétaire de suggérer quelque chose d'autre.
Elle sort du bureau et revient avec un verre rempli d'urinе.
L'ivrogne goûte et dit :
- Elle est blonde, 26 ans, enceinte de trois mois et si vous ne me donnez pas le job, je vais donner le nom du père.
Les directeurs des trois brasseries Maes, Heineken et Jupiler prennent chaque jour le même train pour aller au travail. Un jour un incident provoque un rетаrd assez sérieux et au lieu d'attendre sur le quai sous la pluie, ils décident de commun accord d'aller voir au bar ce qu'il s'y passe et d'y prendre leur mal en patience.
Ils s'accoudent au bar et le directeur de Maes lance en premier :
- Patron, trois Maes s'il vous plaît !
Chacun vide son verre en discutant de la pluie et du bon temps ...
Afin de ne pas être en reste, le directeur de Heineken appelle le barman :
- Garçon, trois Heineken s'il vous plaît !
Ils continuent leur discussion jusqu'au moment où, à son tour, le directeur de Jupiler commande une tournée de bière :
- Aubergiste, trois Heineken s'il vous plaît !
Les directeurs de Maes et Heineken restent perplexes et remarquent à leur confrère :
- Attends, étant directeur de Jupiler, tu ne devrais pas plutôt commander des Jupilers !?
Sur ce le directeur de Jupiler répond :
- Et bien oui, dit-il en regardant sa montre, mais je trouve qu'il est encore un peu tôt pour boire de la bière !
Un type vient de passer 10 ans en prison. Il va boire un coup dans un bar, et demande au patron :
- Dites, ça fait 10 ans que j'ai pas vu une femme, vous savez pas où je pourrais passer un peu de bon temps ?
- Vous avez de l'argent ?
- Ben pas beaucoup, j'ai 50 balles.
- Alors j'ai ce que vous cherchez, filez moi les 50 balles et montez au premier, deuxième chambre à gauche!
Le mec paye, monte, et effectivement passe un bon moment, dans toutes les positions connues, terrible. Il redescend au bar, et le barman lui demande :
- Alors, c'était bien ?
- Génial, mais il faut la surveiller votre gagneuse, elle doit être malade, elle avait le nez qui coulait, plein de morve, pendant toute l'action.
Alors le barman se tourne vers sa femme et lance :
- Germaine ! va changer la morte, elle est pleine !
C’est un chef de service de la fonction publique qui convoque trois employés dans son bureau :
- Si je vous ai réunis aujourd’hui, c’est que j’ai l’intention de prendre l’un de vous comme chef de service adjoint. Il me faut un homme qui ait de l’étoffe pour me seconder ! Voyons voir… S’adressant au premier de ces messieurs :
- Vous Gérard, ça n’est pas possible ! Vous m’êtes trop utile à votre poste actuel. Si vous l’abandonniez, la boite coulerait !
S’adressant au deuxième :
- C’est pareil avec vous Michel ! Si je vous retire de votre poste actuel, c’en est fini de notre entreprise !
Alors il se retourne vers le troisième :
- Ah mais vous , par contre, je peux vous prendre avec moi.
- Quoi ! s’écrient les deux autres. Pas lui ! Il est si bête qu’il ne sait même pas quel jour on est !
- Mais si, il sait. Hein, mon petit François, que vous savez qu’on est Jeudi ?
- Mais Chef ! Dirent les deux autres en choeur, on est Mardi aujourd’hui…
Trois explorateurs s’enfoncent de plus en plus profondément dans la jungle encore inviolée, terrae incognitae.
Pas de chance, car après le troisième jour, ils sont capturés par la redoutable tribu, non pas des réducteurs de têtes, ni des cannibales, mais des faiseurs de canoës en peau d’explorateurs.
Pour être loyal, le chef de la tribu demande aux trois condamnés leurs dernières volontés.
Le premier, essayant de gagner un maximum de temps, leurs dit qu’il aimerait envoyer un e-mail à sa compagne. Le chef sourit, l’invite dans sa hutte et l’installe devant sa toute nouvelle dual-pentium pro workstation, dial isdn et 5 min. plus таrd, le gars est éventré, sa peau lui est délicatement retirée pour en faire un canoë tout neuf.
Le deuxième, se creusant les méninges, leur dit qu’il aimerait toucher la lune. Le chef appelle ses deux meilleurs pagayeurs et les envoie dans le plus proche musée. Ils montent dans leurs canoës et deux jours plus таrd, les voilà qui débarquent avec un échantillon volé de roche lunaire. Le type croyant avoir pu échapper à une mort certaine est écorché et sa peau est mise à sécher pour la fabrication d’un autre canoë.
Le troisième, grand sourire, demande au chef une fourchette :
- Quoi ?!? répondit-il.
- Vous pouvez me demander tout ce que vous pouvez imaginer et à la place vous voulez une fourchette !
Il s’en alla lui-même en chercher une à la cantine du coin. Il revint et tendit la fourchette au troisième mec.
- Voilà votre fourchette. Et maintenant vous allez mourir !
- Pas sûr !? dit le mec en levant très haut sa main qui tenait la fourchette.
- Regardez c’que j’en fais d’votre canoë !
Et il commence à se planter la fourchette partout sur le corps.
Dans un magasin de chaussures, un client dit au vendeur :
- Je voudrais le modèle qui est là en vitrine. Pointure 40…
Le vendeur regarde ses pieds et lui dit :
- Monsieur, je crois que vous faites erreur. J’ai l’habitude, et je puis vous dire que vous faites du 42. C’est bien pour vous ?
- Oui, mais donnez-moi du 40 !
- Je vous assure qu’il vous faut du 42…
- Ecoutez, jeune homme, n’insistez pas. J’ai un patron qui me traite comme un chien, un fils drogué, une fille enceinte sans que l’on sache de qui. Ma femme me trompe avec mon meilleur ami, ma mère est à l ‘hôpital, et mon banquier me harcèle. Mon seul bonheur dans la vie c’est, quand je rentre chez moi le soir, d’ôter mes chaussures…
Nous sommes samedi. Un jeune garçon vient d’être embauché comme vendeur dans une grande surface.
Le patron se déplace personnellement pour lui montrer comment bien vendre :
- « Regarde-moi faire » dit le patron en s’approchant d’un client qui venait à peine d’entrer.
- Puis-je vous aider Monsieur ? dit le patron.
Le client lui répond :
- Je viens juste d’emménager dans ma nouvelle maison et je voulais de l’engrais pour mon gazon.
Le patron répond :
- Très bien monsieur. Nous avons des sacs de 10 et de 25 kg. Je vous suggère de prendre le sac de 25 kg.
- Pourquoi cela. Ne serait-ce pas un peu trop ?
- Eh bien, le sac de 25 kg vous permettra de tenir une année complète, alors qu’avec le sac de 10 kg, vous serez à cours pendant l’été ! répond le patron.
- Très bien, je prends le sac de 25 kg. répond le client.
- Parfait Monsieur. Et quelle sorte de râteau allez vous utiliser ?
- Un râteau ? Pourquoi devrai-je utiliser un râteau ?
- Monsieur, si vous ne passez pas votre gazon au râteau avant de mettre de l’engrais, les granulés d’engrais n’iront pas au contact du sol et n’auront aucun effet… répond le patron.
- Dans ce cas, mettez-moi un râteau en plus.
- Très bien Monsieur. Et avec cela, je vous met un arroseur fixe ou un arroseur oscillant ?
Le client commence à être agacé et répond sèchement :
- Un arroseur ? Hé, je suis juste venu acheter de l’engrais. Pourquoi devrais-je en plus prendre un arroseur ?
Le patron répond toujours calme :
- Eh bien monsieur, par ici, le climat est assez sec, alors, si vous arrosez juste après avoir fertilisé votre gazon, l’engrais aura un effet maximal et vous aurez certainement le plus beau gazon parmi tous vos voisins.
Encore une fois, le client se laisse faire.
Et le patron continue :
- Je parie que vous n’avez pas de tondeuse ? Gagné. Voulez-vous plutôt une tondeuse à essence ou une tondeuse électrique ?
- UNE TONDEUSE ? Vous m’avez déjà vendu un râteau et un arroseur en plus de l’engrais. Vous ne trouvez pas que ça suffit ?
Le patron, toujours calme lui répond :
- Un gazon fraîchement semé doit être tondu dès que possible. C’est ce qui permet de le rendre le plus dru, et donc le plus beau. En le tondant au plus tôt, votre gazon sera aussi beau que celui d’un green de golf ! D’autre part, notre promotion sur les tondeuses se termine ce samedi.
Le client lui répond :
- C’est d’accord, je cède, mettez-moi une tondeuse électrique en plus…
Après que l’homme soit sorti du magasin avec tous ses achats, le patron va voir le nouvel employé et lui dit :
- Alors, tu penses que tu arriveras à faire ça ?
L’employé répond que ça devrait aller. Du coup, le patron le laisse aborder un nouveau client. Le nouvel employé s’approche du client :
- Puis-je vous aider Monsieur ?
L’homme répond :
- Oui. J’ai besoin de tampons pour ma femme.
Le nouvel employé est estomaqué par la demande du client. Il ne s’attendait pas à un truc comme ça. Comme il veut malgré tout impressionner le patron favorablement, il réfléchit et soudain, il trouve la solution :
- Très bien Monsieur. Et voulez-vous une tondeuse à essence ou une tondeuse électrique avec ça ?
- Une tondeuse ? Ça ne va pas dans votre tête ? Je suis venu pour des tampons pour ma femme. Pourquoi aurai-je besoin d’une tondeuse à gazon en plus ?
L’employé répond :
- Et bien Monsieur, si je puis me permettre, comme vous êtes venu acheter des tampons pour votre femme, je pense que ferez une croix sur les galipettes ce week-end. Alors autant tondre la pelouse…
Un Belge rentre dans un bar à Paris. Il s’assied au comptoir.
Le garçon s’approche :
- Qu’est-ce que vous prenez, Monsieur ?
Le Belge :
- Un whisky avec deux glaçons, une fois. Il boit son verre et se dirige vers la sortie.
Le garçon l’appelle :
- Monsieur, vous n’avez pas payé votre consommation…
Le Belge répond :
- Vous m’avez proposé de prendre quelque chose. Je n’ai rien demandé, donc je ne dois pas payer !
Et il sort, laissant le garçon complètement éberlué…. Le garçon raconte l’affaire à ses patrons le soir:
- J’ai deviné à son accent que c’était un Belge. Il est parti sans payer sous prétexte que c’est moi qui lui a demandé à boire !
- Ce n’est pas grave, dit le patron, Demain je tiendrai le bar. S’il revient, il verra à qui il a affaire !
Le lendemain, le patron est au bar. Le belge entre, s’assied au bar et attend. Le patron lui demande ce qu’il désire boire :
- Un whisky avec deux glaçons, une fois, répond le Belge.
Le patron reconnaît l’accent et lui sert son verre. Après avoir bu, le Belge s’en va sans payer. Le patron lui dit :
- Eh, vous, vous n’avez pas payé votre verre !
Le Belge répond :
- Non, c’est vous qui me l’avez proposé. Quand on offre un verre, on ne réclame pas d’argent !
Et il sort, trop rapidement pour que le patron réagisse. Le soir, le patron raconte son infortune à sa femme :
- Ça ne fait rien, dit-elle, Demain, je m’en occupe et je ne me laisserai pas faire…
Le lendemain, la dame est au bar, le belge entre dans l’établissement.
- BONJOUR, fait la dame.
- BONJOUR, une fois, répond le Belge.
La patronne reconnaît le belge en question et décide de se méfier. Elle attend un bon moment, le Belge ne réagit pas. Au bout d’une demi-heure, la patronne n’y tient plus mais fait preuve de finesse :
- Monsieur, désirez-vous passer commande ?, demande-t-elle.
Le Belge répond :
- Un oeuf cuit dur, s’il vous plaît une fois.
Intriguée, la patronne lui donne son oeuf. Le Belge enlève la coquille, prend un couteau et commence à découper l’oeuf en petits cubes, devant les yeux médusés de la patronne.
- Que faites-vous, Monsieur ?, dit-elle très curieuse.
- Eh bien, je suis un fana de pêche, et j’ai mes recettes secrètes… Je mets ces cubes sur l’hameçon à la place d’asticots ou de mouches, répond d’un air entendu le Belge.
- Ah bon, dit la patronne perplexe, Et qu’est-ce que vous prenez avec ça ?
- Un whisky avec deux glaçons, s’il vous plaît !, répond le Belge avec un sourire aux lèvres…