Chère Maman et Papa,
Nous passons un super séjour ici au Lac Typhoïde. Norbert, notre chef Scout nous a tous obligés à écrire à nos parents pour le cas où vous auriez vu l'inondation à la télé et que vous vous seriez inquiétés. Tout va TRÈS BIEN pour nous. Seule une de nos tentes et deux sacs de couchage sont partis dans le torrent qui nous a inondés. Aucun de nous n'a été noyé parce que, heureusement, nous étions tous partis sur la colline à la recherche de Kévin quand le déluge est arrivé.
Ah oui, pendant que j'y pense, appelez la mère de Kévin et dites-lui qu'il va bien. Il ne peut pas écrire à cause de son plâtre. J'ai fait un tour dans le 4x4 des pompiers pour les aider à chercher Kévin, c'était cool. On ne l'aurait jamais retrouvé dans l'obscurité s'il n'y avait pas eu les éclairs pour nous aider. Norbert s'est fâché tout rouge contre Kévin parce qu'il était parti faire une excursion à pied dans la forêt sans rien dire à personne. Kévin lui a répondu qu'il lui avait dit, mais que le chef n'avait probablement pas entendu parce que ça se passait pendant l'incendie. Vous saviez que si on met des bouteilles de gaz dans un feu de camp, les bouteilles explosent ? Une de nos tentes a brûlé, ainsi que quelques-uns uns de nos vêtements. Brandon va avoir l'air bizarre avant que ses cheveux ne lui repoussent sur la tête.
Nous serons à la maison samedi si notre chef parvient à réparer la voiture à temps. L'accident n'était pas de sa faute. Les freins marchaient bien lorsque nous sommes partis. Norbert dit qu'avec une voiture aussi vieille, il faut toujours s'attendre à ce que quelque chose nous tombe dessus; c'est probablement pourquoi il n'a pas réussi à la faire assurer. Norbert est un gars bien. Il nous emmenait en balade à dix dans la voiture. En fait, il faisait tellement chaud à l'intérieur qu'il en laissait deux ou trois parmi nous monter sur la galerie de toit de la voiture... jusqu'au moment où on a été arrêté par un motard de la Gendarmerie Nationale. Là, Norbert nous a dit que désormais, il… >> Cliquez pour lire la suite
Les 21 raisons qui font qu'un film américain est un film américain :
1- Dans une maison hantée, les femmes recherchent toujours l'origine des bruits étranges en portant leurs plus beaux sous-vêtements.
2- Pourchassé dans une ville, vous aurez toujours la chance de pouvoir vous dissimuler au milieu d'un défilé de la Sаinт Patrick (fête Irlandaise où l'on se démonte! Une воnnе raison aussi pour faire la fête, mais on s'éloigne du sujet).
3- Tous les lits ont des draps spéciaux qui s'arrêtent au niveau des aisselles pour la femme, mais seulement au niveau de la taille de l'homme allongé à ces côtés.
4- N'importe qui peut facilement faire décoller un avion, pourvu qu'il y ait quelqu'un dans la tour contrôle pour lui donner l'autorisation de partir.
5- Le système de ventilation de n'importe quel bâtiment est le parfait endroit pour se cacher. La personne ne pensera pas à vous trouver et en plus, vous pourrez accéder à toutes les pièces de l'édifice sans aucun problème.
6- Vous survivrez très probablement à toutes les guerres, à moins que vous ne commettiez la fatale erreur de montrer à quelqu'un la photo de votre bien-aimée qui vous attend sagement à la maison.
7- Un homme se prendra les plus terribles coups sans broncher, mais sursautera quand une femme tentera de nettoyer ses blessures.
8- Le chef de la police est toujours Noir. Le premier mort est toujours un noir dans les films datant d'avant 1990. Depuis, il ne meurt plus grâce à son copain blanc le héros du film, auquel il aura également sauvé la vie, mais c'est toujours pas lui qui emballe ni la meuf, ni le cachet.
9- Au moment de payer le taxi, ne regardez jamais dans votre portefeuille pour sortir un billet, prenez un billet au hasard et tendez-le. C'est toujours le prix exact !
10- Les cuisines ne sont pas équipées de lumières. Quand vous pénétrez dans une cuisine en pleine nuit, ouvrez le frigo et utilisez sa lumière… >> Cliquez pour lire la suite
Un gros routier costaud entre dans un bar avec fracas. Au bar, il voit un petit bonhomme tout triste devant un verre. Le routier s'avance vers lui, le bouscule, attrape son verre et le vide d'un trait.
Le petit bonhomme se met à pleurer. Le routier se moque de lui :
- Bwahaha, regardez-moi cette lopette, on lui vide son verre et lui, il pleure ! Mouaaarrffff !
- Nan, c'est pas ça... Vous voyez, ce matin en me levant je vois un mot de ma femme qui me quitte. Peu après, je prends ma voiture pour m'apercevoir qu'on m'a crevé les 4 pneus. J'arrive en rетаrd au boulot et mon patron me vire. Mes enfants m'ont quitté. Il pleut. Et pour couronner cette journée de меrdе, vous arrivez, et vous me buvez mon poison !
C'est un vieux couple de professeurs à la fin du 19e siècle qui partent en expédition dans des contrées reculées d'Afrique noire après maintes aventures, ils arrivent chez les Kiniktous, et ils demandent à leur interprète de les conduire jusqu'au chef de la tribu.
Arrivés dans la hutte de ce dernier, ils sont stupéfaits de le trouver en train sodomiser à même le sol une magnifique jeune femme blanche, blonde comme les blés, mais avec une jambe de bois et un crochet.
Le chef les remarque, leur fait signe de patienter... tandis qu'il achève de limer la nana comme un sаlаud à grands coups de bite noueuse et veineuse, un monstre que l'аnus de la jeune femme ingurgite sans problème, comme une promesse politique
Puis il lui donne une воnnе ration de protéines masculines en se finissant à gros jets dans sa bouche après qu'elle ait dégusté son gland odorant, telle une grand-mère machinant un "mon chéri" le soir de Noël pour faire éclore la cerise.
Puis, repus, il fait sortir la sublime déesse à la jambe de bois et au crochet, et devant la stupeur du couple de professeurs, il s'explique :
- On l'a trouvé, adolescente, errant dans la forêt, amnésique et muette. une bande de gorilles avaient massacré ses parents avant d'abuser d'elle pendant des jours. comme mes guerriers étaient curieux de savoir si leurs gros membres pouvaient entrer dans sa petite moulasse qui avait l'air très serrée, on l'a ramenée au village où, depuis, elle nous donne bien du plaisir
Et pour illustrer son propos, il la désigne en train de faire un 69 en équilibre sur une énorme mama sur la place du village.
- C'est un scandale, s'écrient les deux vieux explorateurs. abuser ainsi de cette jeune fille !
- Ne dites pas ça avant de l'avoir essayée, les coupe le chef de la tribu et il appelle la déesse blonde qui les rejoint dans la case en boitant sur sa jambe de bois.
Le vieux couple d'explorateurs hésite un moment mais la nana sait y faire : de sa main valide, elle fait très v… >> Cliquez pour lire la suite
C'est un missionnaire du fin fond de l'Afrique noire qui se fait appeler dans la case du chef.
- Que se passe-t-il, lui dit le chef, ma 43ème femme vient d'accoucher d'un enfant blanc. Qu'est-ce que cela veut dire ?
Hum, le missionnaire, gêné, cherche ses mots et bredouille:
- Ben euh, c'est la nature, tout ça, regarde tes chèvres par exemple, y en a des blanches et puis y en a des noires aussi, non?
Le chef réfléchie et dit:
- Bon, ok, tu dis rien pour les chèvres et je dis rien pour ma femme.
Un banquier anglais a invité un de ses proches collaborateurs, jeune cadre brillant et plein d'avenir à son club. Assis dans son fauteuil et quelque peu intimidé, le garçon sort son étui à cigarettes et le tend à son patron.
- Vous fumez sir ?
- Jeune homme, j'ai fumé une seule fois dans ma vie. Je n'ai jamais recommencé.
- Puis-je vous offrir un scotch, sir ?
- Jeune homme, j'ai bu de l'alcool une seule fois dans ma vie. Je n'ai jamais recommencé.
- Voulez-vous que nous passions dans la salle de jeux, sir ?
- Jeune homme, j'ai joué une fois dans ma vie, je n'ai jamais recommencé. Si je vous ai fait venir ici, ce n'est pas pour cela, mais pour vous dire que je vous trouve très sympathique et que j'aimerais que vous veniez un soir à la maison. Je vous présenterai ma fille Pamela.
Et le jeune collaborateur dit avec un grand sourire :
- Fille unique, je suppose ?
C'est un gars qui obtient un poste de vigile de nuit dans une usine. Il a été embauché car il y a déjà eu pas mal de vols réalisés pour la plupart par les ouvriers travaillant la nuit.
Dès son entrée en fonction, à la sortie de l'usine le matin, le vigile passe les employés à la fouille et s'assure que ni leurs sacs ni leurs poches ne contiennent d'objet volé. Tout se passe bien jusqu'à ce qu'un ouvrier poussant une brouette remplie de papiers et de cartons se présente à la sortie.
Pensant en son for intérieur qu'il tient là un suspect, le vigile arrête l'ouvrier et vide la brouette de tous ses papiers. Ne trouvant rien d'autre, il demande :
- À quoi ça va servir tout ce papier ?
- Je me fais un peu d'argent de poche en portant ce papier au recyclage. Et ces papiers sont récupérés dans les poubelles de l'usine, donc pas de problème.
Le vigile laisse passer l'employé, mais décide de garder un oeil sur lui. À chaque sortie d'usine les autres matins, le vigile ne trouve rien chez les ouvriers qu'il fouille, ni chez le récupérateur de papier.
Les jours se suivent comme ça pendant une année lorsqu'un beau jour, le vigile est convoqué par le directeur de l'usine. Sans prendre de gants, le directeur lui dit :
"Vous êtes viré !"
Abasourdi, le vigile répond :
- Mais pourquoi ? Qu'est-ce que j'ai fait ?
- Votre travail consistait à vous assurer que personne ne vole quelque chose dans cette usine, et vous n'avez pas réussi. Donc vous êtes viré.
- Eh une minute... Qu'est-ce que vous entendez par pas réussi à faire mon boulot ? Personne n'a jamais volé quoi que ce soit pendant que j'étais vigile.
- Ah vraiment ? répond le patron. Et alors comment tu expliques les 365 brouettes manquantes ?
Un homme veut acheter un perroquet, il se présente chez un oiseleur ; 3 ou 4 perroquets sont exposés à la vente sur un perchoir. S'adressant au vendeur il demande le prix du plus beau des perroquets...
- Combien coûte ce perroquet ?
- 5 000 € Monsieur.
- Et que fait-il pour 5 000 € ?
- Il répond au téléphone.
- Et celui-ci (un peu moins beau) combien coûte-t-il ?
- 9 000 € Monsieur.
- Mais il est moins beau, et coûte plus, cher, pourquoi ?
- Il répond au téléphone, et en plus tape à la machine.
- Et celui-ci (3ème perroquet, encore moins beau)
- Celui-ci coûte 15 000 €
- Mais enfin, il est moins beau que les autres.
- Oui mais, il répond au téléphone, tape à la machine, et prend en sténo.
Enfin, il aperçoit le dernier perroquet, qui est le plus moche de l'équipe, tout rabougri, vieillot, l'air triste :
- Et ce petit perroquet, combien coûte-t-il ?
- Ah celui-ci monsieur.... 28 000 €.
- Quoi, mais il est affreux, que fait-il ?
- Lui, c'est le patron des 3 autres.
Il était une fois un village, dans lequel un homme apparut un beau matin et annonça aux villageois qu'il achèterait des ânes pour 10 dollars pièce.
Les villageois, sachant qu'il y avait des ânes sauvages dans la région, partirent dans la savane et commencèrent à en capturer. L'homme en acheta des centaines à 10 dollars pièce et comme la population d'ânes diminuait, les villageois arrêtèrent leurs efforts.
Alors, l'homme annonça qu'il achetait désormais les ânes 15 dollars. Les villageois recommencèrent à les chasser. Mais, bientôt, le stock s'épuisa et les habitants du village retournèrent à leurs occupations.
L'offre моnта à 20 dollars et la population d'ânes devient si réduite qu'il devint rare de voir un ânes, encore moins d'en attraper un.
L'homme annonça alors qu'il achèterait les ânes 50 dollars. Cependant, comme il devait aller en ville pour affaires, son assistant s'occuperait des achats.
L'homme parti, son assistant rassembla les villageois et leur dit :
- « Regardez ces enclos avec tous ces ânes que mon patron vous a achetés. Je vous les vends 35 dollars pièce et lorsqu'il reviendra, vous pourrez les lui vendre 50 dollars. »
Les villageois réunirent tout l'argent qu'ils avaient, certains vendirent tout ce qu'ils possédaient, et achetèrent tous les ânes.
La nuit venue, l'assistant disparut. On ne les revit jamais, ni lui ni son patron, il ne restait plus que des ânes qui couraient dans tous les sens.
Bienvenue dans le monde de la bourse !
L'histoire est à peine croyable et, pourtant, elle est authentique. Elle s'est produite dans une société d'édition new-yorkaise, il y a quelques temps.
Cette histoire, c'est celle de George Turklebaum, 51 ans, employé dans son entreprise comme correcteur depuis 30 ans.
Qu'est-il donc arrivé à l'ami George ? Il est tout simplement resté assis devant son ordinateur... mort d'une crise cardiaque pendant 5 jours, sans qu'aucun de ses 23 voisins de bureau ne s'en aperçoive.
C'est finalement une femme de ménage qui a découvert le drame, surprise de voir Mister Turklebaum travailler un samedi matin.
Pour sa défense, son manager Elliot Wachiaski ne put trouver qu'une explication :
- George était toujours le premier arrivé et le dernier parti, en permanence absorbé par sa tâche et d'un naturel solitaire. Il est donc logique que personne n'ait trouvé anormal de le voir silencieux et dans la même position pendant tout ce temps...
Ironie du sort, George était en train de corriger les épreuves d'un livre médical lorsque son coeur le lâcha.
La morale de cette histoire ? A vous de choisir parmi les deux suivantes :
1) Le monde de l'entreprise ne serait-il pas parfois en train de devenir inhumain ?
2) Ne travaillez pas trop dur. Personne ne s'en aperçoit de toute façon !