C’est un camionneur qui passe par New York et qui s’arrête pour manger dans un « routier ». A peine est-il entré dans le restaurant qu’un autre gars portant un costume, un nœud papillon et un attaché-case entre lui aussi dans le restaurant.
Le patron demande au deuxième gars :
- Vous ne seriez pas avocat par hasard ?
Le gars répond :
- Vous êtes physionomiste vous alors ! En effet, je suis avocat.
Alors sans hésiter, le patron prend un fusil de chasse et descend l’avocat !
Le routier, témoin de la scène est effaré et demande une explication au patron qui lui répond aussi sec :
- Depuis dimanche, la saison de la chasse à l’avocat est ouverte à New York. Vous n’avez même pas besoin de permis pour ça. C’est fun, non ?
Le routier est emballé :
- Ouais, c’est super tu veux dire !
Et le routier explique qu’il vient tout juste de perdre jusqu’à sa chemise dans un divorce. Sur ce, le routier dîne, paie et reprend la route.
Il n’a pas parcouru un kilomètre qu’il se prend un énorme nid de poule, éclate un pneu et percute un des lampadaires de la chaussée. Alors qu’il tente de s’extraire de la cabine, une meute d’hommes et de femmes, portant costume et attaché case se précipite auprès de lui et tous brandissent leur carte de visite sous son nez en criant « prenez-moi prenez-moi on va attaquer les ponts-et-chaussées etc… »
À ce moment, le chauffeur sort un pistolet de sa boite à gants et commence à tirer dans le tas des avocats, faisant pas mal de ravages. Un peu plus таrd, la police et les ambulances arrivent. Le policier lui dit de lâcher son arme ; il lui passe les menottes et commence à lui lire ses droits après l’avoir informé qu’il était en état d’arrestation.
Le routier ne comprend pas :
- Mais ? Je pensais que la chasse aux avocats était ouverte ?!
- C’est exact, répond le policier, mais le piégeage est interdit.
Un rabbin, un hindou et un avocat sont ensemble en voyage dans une voiture. Il est très таrd et la voiture tombe en panne. Ils se mettent è la recherche d'aide ou d'un abri pour la nuit. La première maison qu'ils rencontrent est celle d'un fermier qui les accueille de bon cœur, mais leur explique qu'il n'a que deux lit pour eux, et qu'un des trois voyageurs devra aller dormir avec les animaux à l'étable.
Le rabbin se dévoue pour aller dormir à l'étable, et il laisse les lits aux des autres. Mais dix minutes plus таrd, il frappe à la porte de la chambre de ses compagnons de route et leur dit :
- Je ne peux pas dormir à l'étable, il y a un cochon là-bas. Ma religion m'interdit de dormir en compagnie de cet animal.
L'hindou propose alors d'aller dormir dans l'étable à la place du rabbin, mais lui aussi revient frapper à la porte au bout de 10 minutes en disant :
- Je ne peux pas dormir à l'étable moi non plus. Il y a une vache et ma religion ne me permet pas de partager ma couche avec des vaches.
L'avocat qui en a marre et qui est pressé de dormir maintenant, propose d'aller dormir à l'étable en disant que lui n'a pas de problème de religion avec les animaux.
... Mais dix minutes plus таrd, la porte de la chambre s'ouvre, et la vache et le cochon entrent dans la chambre...
Alors c'est l'histoire d'un gars qui possède un pitbull. Il se ballade avec son chien en laisse et soudain, alors que la gars arrive près du palais de justice, le chien se barre en courant et fonce droit sur un avocat.
Comme tout bon pitbull qui se respecte, le chien attrape l'homme de loi au cou, lui dilacère les carotides. Bref, le carnage, du sang partout !
En 30 secondes, l'avocat est réduit au silence. Mais ce n'est pas tout. Voyant une passante qui était restée pétrifiée à deux mètres de là, le pitbull lui saute au cou de la même manière. A ce moment là, le maître intervient, pensant certainement que trop c'est trop, et il attrape son chien par son collier étrangleur.
Alors le chien se calme enfin, et un autre passant qui avait tout observé demande au proprio du pitbull :
- J'ai bien compris pourquoi votre chien s'était jeté sur l'avocat, mais pourquoi a-t-il attaqué la passante ensuite ?
Et le gars répond :
- Je sais pas... Certainement pour s'enlever le mauvais goût de la bouche.
Un jeune avocat voulant se faire un nom hérite d'un cas typique de vol avec effraction. Et en flagrant délit, de surcroit. Mais il tente sa chance et décide d'adopter une défense originale :
- Votre Honneur, le bras de mon client est passé à travers une vitre peu solide, et a ramassé quelques menus objets qui ne valent pas grand chose. Oserais-je vous faire remarquer que même si son bras est coupable, mon client ne l'est pas puisque son bras n'est pas vraiment lui. Je conçois que vous punissiez le bras, mais ne serait-ce point une iniquité de condamner l'individu tout entier ?
Le juge, bon joueur, regarde l'avocat avec un sourire en coin et lui dit :
- Maître, je trouve votre logique fascinante, et en adoptant votre point de vue, je condamne le bras du condamné à 12 mois de prison fermes. L'accusé peut accompagner son bras s'il le désire.
Une petite lueur d'amusement s'allume alors dans les yeux de l'avocat lorsqu'il voit son client se diriger vers le greffier, détacher son bras artificiel et sortir du tribunal.