Voici une leçon de grammaire amusante :
Pourquoi, dès que c'est UNE galère, c'est tout de suite au FéMININ ?
LA pluie, LA neige, LA grêle, LA tempête, tout ça, c'est pour vous les FEMMES!
Nous, les hommes, c'est LE Soleil, LE beau temps, LE printemps, LE paradis! Vous, vous n'avez vraiment pas de chance : LA vaisselle, LA cuisine, LA bouffe, LA poussière, LA saleté, LA balayeuse.
Nous, c'est LE café dans LE fauteuil avec LE journal en regardant LE foot et ça pourrait être LE bonheur si vous ne veniez pas semer LA discorde et LA chicane. Pour retrouver LE calme, je crois que nous devrions laisser LE genre décider.
Vous pouvez regarder LA télé, mais nous choisissons LE poste. Même si LA télécommande vous appartient, nous avons LE contrôle. Mais ne voyez aucun sexisme là-dedans, oh non! D'ailleurs, entre parenthèses je vous signale que LE mot sexe n'a pas de FéMININ.
On ne dit pas LA sexe mais bien LE sexe d'une FEMME. Par définition, LE plaisir est donc pour les HOMMES. D'ailleurs dès que c'est sérieux, comme par hasard, c'est tout de suite au MASCULIN :
On dit UNE rivière, UNE marre d'eau mais on dit UN fleuve, UN océan.
On dit UNE trottinette mais UN avion à réaction! Et quand il y a UN problème dans UN avion, c'est tout de suite UNE catastrophe. C'est toujours la faute d' UNE erreur de pilotage, d'UNE panne d'essence, d' UNE mauvaise visibilité, bref toujours à cause d 'UNE connerie.
Et alors là, attention mesdames, dès que LA connerie est faite par UN homme ça ne s'appelle plus UNE connerie, ça s'appelle UN impondérable. Enfin, moi, si j'étais vous les FEMMES, je ferais UNE
Pétition. Et il faut faire très vite parce que votre situation s'aggrave de jour en jour. Y'a pas si longtemps, vous aviez LA logique, LA воnnе vieille logique FéMININE. ça ne nous a pas plu, nous les HOMMES, nous avons inventé LE logiciel. Mais vous avez quand même quelquefois des petits avantages:
Nous avons LE mariage, LE divorce; vous avez LA pension, LA maison.
Vous avez LA carte de crédit, nous avons LE découvert. Mais en général, LE type qui a inventé LA langue française ne vous aimait pas beaucoup...
Toto en classe (il lève le doigt) :
- M’dame, je peux aller рissеr ?
La maîtresse (patiente) :
- Oui, mais la prochaine fois tâche d’être poli. Tu demanderas à aller aux toilettes. L’après-midi, Toto lève le doigt pendant la classe :
- M’dame, je peux aller chier ?
La maîtresse (fâchée) :
- Toto, je t’ai expliqué ce matin comment le demander poliment, alors puisque tu ne veux pas comprendre, je vais convoquer tes parents.
Quelques jours plus таrd, la mère de Toto se rend à l’école suite à la convocation. L’instit explique le langage grossier de Toto. La mère s’adresse alors à son fils présent, en ces termes :
- Toto, puisque tu n’es pas poli, tu seras privé de dessert. Tu vois j’avais fait une tarte grosse comme mon cul, avec des prunes grosses comme les couilles à ton père… Je veux bien me faire enculer si t’en manges une miette !
Et, se tournant vers l’institutrice, elle rajoute :
- Madame, en tous cas, c’est pas chez moi qu’il apprend tous ces gros mots !
Un gars veut sacheter une nouvelle moto. Il se rend chez le concessionnaire, et voit LA moto, celle dont il a toujours rêvé. Par contre, le vendeur lui dit que la peinture sur sa nouvelle moto est très sensible aux intempéries, et quil doit enduir la bécane de Vaseline quand il commence à pleuvoir. Le type est un peu embêté, mais décide tout de même dacheter lengin, et court vite à la pharmacie pour acheter un рот de Vaseline.
Le lendemain soir, il rencontre sa belle famille pour la première fois. Sont présents à la teble, outre le type et sa nouvelle blonde, ses parents, sa petite soeur de 19 ans, et sa vieille grand-mère de 82 ans. Le père avertit bien son nouveau gendre : le premier qui parle se tape la corvée de vaisselle. Étant donné que le repas est assez copieux, notre type ne veut évidemment pas se taper la montagne de vaisselle. Il commence donc dans le silence le plus complet à déshabiller sa copine, à létendre sur la table et à lui faire lamour passionnément.
Personne ne dit mot.
Voyant que son stratagème ne fonctionne pas, il répète lexpérience avec la vieille grand-mère, puis avec la jeune jolie soeur, puis finalement avec la maîtresse de maison, sans que personne prononce le moindre son.
À cet instant, il voit par la fenêtre le ciel qui sassombrit. Inquiet pour la peinture de sa nouvelle moto, il sort son рот de Vaseline qu'il met sur la table.
Le père sempresse :
- OK! OK! Je vais la faire, la vaisselle!
C’est la rentrée dans une école maternelle de Washington D. C. et, comme il y a beaucoup de nouvelles têtes, la maîtresse demande à chaque enfant de se présenter et de dire ce que font ses parents.
On entend les réponses habituelles : avocat, plombier, pompier…
Seul dans son coin, un élève ne dit rien.
Quand la maîtresse se tourne vers lui, il se lève et dit, les yeux baissés :
“Mon papa est danseur nu dans un cabaret homosexuel. Il se trémousse autour d’un bâton en fer, il enlève ses vêtements devant d’autres messieurs qui lui fourrent des billets de banque dans son slip. Si un monsieur met beaucoup d’argent dans son slip, mon Papa va passer la nuit avec lui dans un hôtel et ils se touchent le zizi.”
La maîtresse est horrifiée, alors à la fin de la classe elle le retient et lui demande :
“C’est vraiment ce que fait ton père pour gagner sa vie ?”
“Non, en fait il travaille pour le Président Bush, mais j’avais trop honte de le dire devant mes copains”.
Un patron d'une soixantaine d'années éclate de fureur en voyant sa secrétaire arriver vêtue d'un jean délavé et d'un tee-shirt multicolore.
- Vous croyez, hurle-t-il, que c'est une tenue pour venir au bureau ?
- Bien sûr que non, monsieur le directeur, répond la jeune femme, mais mon déshabillé de dentelle transparente, que j'ai lavé hier soir, n'était pas encore sec, quand je suis partie de chez moi, ce matin. Et si vous voulez bien m'accompagner, ce soir, jusqu'à mon petit studio, vous pourrez constater qu'il est toujours sur le séchoir et me le passer vous-même sur les épaules.
Dans une famille où les parents divorcent, le juge demande à l'enfant :
- Alors, mon petit, tu voudrais habiter chez lequel de tes parents ?
- En tout cas pas chez ma mère, elle me bat.
Le juge regarde la mère d'un air méchant et continue :
- Alors dans ce cas, il reste ton père...
- Ah non, pas mon père non plus, il me bat aussi.
Toujours d'un air accusateur, le juge fixe les parents et pour finir :
- Mais alors, chez qui tu voudrais habiter ?
- J'aimerais habiter au PSG, parce qu'eux au moins, il n'ont encore battu personne !