Une femme est follement amoureuse et fаn de Julio IGLESIAS. De ce fait, elle décide le tout pour le tout. Soit le rencontrer pour qu’il lui fasse un enfant, soit faire appel à des agences de sosies, qui seraient capable de lui proposer un homme capable de lui faire un petit julio. Après maintes lettres, maint coup de téléphone, une agence, la contacte en lui disant qu’ils ont trouvé la personne capable de lui faire un petit julio. Le rendez-vous est fixé pour le lendemain à son domicile.
Le jour J
Un homme se présente mais qu’elle n’est pas sa surprise de voir que cet homme est noir. Abasourdi, elle rappelle l’agence et demande une explication. L’agence lui rétorque que c’est bien cette personne et que le contrat est en règle mais pour la rassurer, il lui promette de ne pas encaisser l’argent avant la naissance de l’enfant.
Rassurée, la femme monte dans la chambre et copule avec ce monsieur pour qu’il lui fasse le petit julio parfait.
Neuf mois plus таrd : Elle accouche d’un enfant, un garçon, et le médecin vient la voir en lui disant étonné et surpris :
- « Votre fils on dirait Julio Iglesias quand il était petit. »
Heureuse et comblée la femme rappelle l’agence pour avoir l’adresse du monsieur et savoir comment il l’a fait. A sa sortie, elle se présente chez l’homme en question et lui demande comment il a fait :
- « Ecoutez Madame, c’est vraiment simple, ma femme est folle de Julio IGLESIAS,mes enfants sont fans de Julio IGLESIAS, mes parents et mes beaux parents sont fans de Julio IGLESIAS ….. et moi madame, j’en ai plein les couilles de Julio IGLESIAS. »
Un jeune garçon va au jardin zoologique avec ses parents. Ils arrivent à la cage des éléphants et le fils demande à sa mère :
- Maman, c’est quoi la chose longue ?
- Eh bien c’est sa queue !
- Non, l’autre chose ?
- Eh bien, c’est sa trompe !
- Non, la chose au milieu ?
- Euh… Ce… Ce n’est rien…
Le garçon va donc voir son père, et lui demande la même chose :
- Papa, c’est quoi la chose longue ?
- Eh bien c’est sa queue !
- Non, l’autre chose ?
- Eh bien, c’est sa trompe !
- Non, la chose au milieu ?
- Eh bien, c’est son pénis !
- Mais Maman dit que ce n’est rien !
- Fils, ta mère est gâtée !
C’est Toto et sa petite voisine Jessica.
Ils sont toujours en train de se faire bisquer l’un l’autre. Si l’un a reçu un cadeau pour son anniversaire, l’autre va avoir forcément quelque chose de mieux au sien… Un jour, Jessica reçoit comme cadeau un vélo avec 2 roulettes derrière.
Problème: Les parents de Toto lui disent qu’il n’a pas besoin d’un vélo…
Alors Jessica en profite pour passer et repasser devant la maison de Toto. Toto est terriblement énervé et triste de cette situation et il se met à pleurer et crier devant tant d’injustice! Le papa de Toto lui demande alors ce qui le met dans cet état là, et lorsque Toto lui raconte ce qui se passe, le papa dit quelques mots à l’oreille de Toto et tout de suite, Toto arbore un grand sourire…
Le lendemain, Jessica est à nouveau en train de parader avec son vélo devant la maison de Toto :
- « Eh Toto, t’as vu mon vélo !? T’en as pas un pareil hein ? »
Alors Toto lui fait une grimace et baisse son pantalon devant elle en disant :
- « Ah ouais ? Et bien regarde ça ! C’est quelque chose que tu n’auras JAMAIS ! »
Jessica sachant que Toto dit vrai rentre chez elle en pleurant. Elle dit à sa mère en rentrant ce qui s’est passé. Alors sa mère, pour la consoler, lui dit quelques mots à l’oreille…
Le lendemain, Toto arrive fièrement devant Jessica et baisse son pantalon tout en faisant une grimace, pour lui montrer son trésor. Mais Jessica sourit, soulève sa robe et montre ainsi son sexe à Toto en disant :
- « Tiens regarde ! Ma mère elle m’a dit qu’avec ce truc que MOI j’ai, je pouvais avoir des trucs comme le tien autant que je veux ! »
Un enfant demande à son père :
- « Papa, c’est quoi la politique ? »
Son père répond :
- « Et bien mon fils, c’est un peu compliqué, mais je vais essayer de te l’expliquer quand même. Disons qu’une province ou un pays, c’est comme une famille. Dans notre famille c’est moi, papa, qui apporte l’argent à la maison ; alors on va m’appeler Capitalisme. Ta maman, c’est elle qui prend la plupart des décisions de la famille et qui s’occupe d’acheter les choses et de régler les dépenses; alors on va l’appeler le Gouvernement. Maman et moi, nous sommes ici pour s’occuper de toi notre fils et s’assurer que tu ne manques de rien, alors on va t’appeler le Peuple. La femme de ménage, on va l’appeler la Classe ouvrière. Quant à ton petit frère, bébé, on va l’appeler l’Avenir du pays. Pense à tout ca mon grand et demain, au petit déjeuner, tu me diras ce que tu en penses. »
Le petit garçon va se coucher en pensant à toutes ces nouvelles choses qu’il vient d’apprendre. Un peu plus таrd dans la nuit, il entend son petit frère qui pleure. Après un moment, il se lève et va voir ce qui se passe. En arrivant, il voit que son petit frère a fait un très gros саса dans sa couche. Alors il se dirige vers la chambre de ses parents et il voit sa mère qui dort profondément, sans son père à ses cotés. Il cherche donc dans la maison, et découvre son père occupé à faire l’amour avec la femme de ménage dans le salon. Un peu confus de la situation, il décide de retourner se coucher sans déranger personne.
Le lendemain au petit déjeuner, le petit garçon dit à son père :
- « Je crois que j’ai compris comment ça marche la politique papa. »
- « Ah oui ? C’est très bien », dit le père. « Et qu’est ce que tu as découvert ? »
- « Et bien, pendant que le Gouvernement est endormi, le Capitalisme baise la Classe ouvrière. Cette situation fait que le Peuple est complètement ignoré et que l’avenir du Pays est dans la меrdе »
Un couple avait un fils d’une quinzaine d’années qui ne faisait rien de bien à l’école, et qui ne s’intéressait à rien..
Un beau jour, voulant savoir quand même vers quelle branche leur fiston pourrait se diriger, il décident de le soumettre à un test.
Le père prit un billet de 20 euros, une bible et une bouteille de whisky, et il plaça le tout sur la table du salon ; bien en évidence, il laissa un mot d’explication qui disait au fils que ses parents étaient partis faire des courses à Auchan.
Le plan du père était celui-ci :
- Si notre fils prend l’argent, peut-être sera-t-il homme d’affaire. Si il prend la bible, peut-être cela voudra dire qu’il veut entrer en religion, et si il prend la bouteille, j’ai bien peur que cela veuille dire qu’il sera un ivrogne.
Alors les parents se cachent dans la pièce voisine, et observe leur fils qui entre dans le salon. Il le voient qui lit le mot, prend le billet de 20 euros, le regarde par transparence dans la lueur de la lampe, puis le met dans sa poche. Ensuite il prend la bible, en feuillette quelques pages, puis la met dans une autre poche.
Et enfin, il prend la bouteille, goûte le whisky au goulot, rebouchonne la bouteille, et monte dans sa chambre avec.
Voyant tout ça, le père secoue la tête pour montrer son découragement et il dit à sa femme :
- C’est encore pire que tout ce que j’avais pu imaginer. Je crois que la seule possibilité pour notre fils, c’est de faire de la politique.
En classe, l’institutrice décide de faire une leçon de cuisine aux enfants; elle décide de leur parler de la COMPOTE.
- Savez vous comment on fait la compote de pommes ?
- Moi, M’dame, Moi M’dame : c’est facile, tu prends des pommes, tu les épluches, tu les laves, tu les coupes en petit morceaux tu les mets à bouillir 10 minutes dans l’eau et quand c’est cuit, tu mixes et voilà !
- Bien, Joseph, bien.
Soudain, Toto se lève et dit :
- Oui, mais, M’dame, pour faire la compote de FIGUES, c’est pas pareil…
- Ah, bon, tu es sûr ?
- Eh ben Ouais. Pour faire la compote de figues, il faut des figues, et pis surtout, une LIME…
- Mais où as-tu été cherché ça, voyons ?
- Ben, l’autre jour, je passais devant la chambre de mes parents et j’entendais Maman qui disait à Papa :
- « arrête de limer, j’ai la figue en compote ! »
Sarah et Moise viennent de se marier. A table :
- C’est bon, Sarah, ce que tu fais à manger. Mais tu ne voudrais pas me faire la recette des pastellas comme ma mère me la fait ?
Sarah, pour satisfaire son mari, lui prépare des pastellas pour le dîner du lendemain. A table :
- Comme c’est gentil ! Tu m’as fait des pastellas ! Ah elles sont pas comme ma mère les faisait. Tu as demandé à ma mère la recette ? Demande-lui, elle les fait très bien.
Sarah pousse l’abnégation jusqu’à téléphoner à sa belle-mère pour avoir la recette, et lui prépare le lendemain, avec la salade de poivrons. A table :
- Ah ! C’est très bon ! Mais ma mère, elle doit pas tout à fait faire comme ça.
Le lendemain, Sarah reçoit sa mère dans l’après-midi, pour le thé et les biscuits. Sa mère :
- Alors ma fille, heureuse en mariage ?
- … (petit soupir)
- Quoi ? il critique ta façon de cuisiner ?
- Oui belle maman.
- Ecoute mon conseil, ma fille. Ce soir, pas de petits plats, pas d’entrée, pas de dessert. Ce soir, tu mets un déshabillé affriolant, tu choisis une lumière tamisée, et tu l’attends dans la chambre.
Le soir, le mari entre, appelle sa femme :
- Sarah ?
La table n’est pas mise, pas d’odeur de cuisine.
- Sarah, où es-tu ?
Il avance vers la chambre, découvre sa femme dans un déshabillé transparent, éclairée par une lumière tamisée, et pousse un cri d’inquiétude :
- Sarah ! Qu’est-ce qui est arrivé à ma mère ?!
Toto et ses parents sont à table. Tout d’un coup, Toto dit à sa mère :
- Eh ! Maman ! Eh maman ! Qu’est-ce qui est mou quand on le prend et qui durcit quand on le met au chaud ?
Sa mère lui dit :
- Ecoute, Toto, je t’interdis de parler de ça quand on est en train de manger. Tu n’as qu’à demander à ton père, mal élevé que tu es ? Mauvaise graine !
- Dis papa, qu’est-ce qui est dur quand on le prend et qui ramollit quand on le met au chaud ?
Le père, il fait :
- Eh bien, ce sont des macaronis, Toto !
- C’est bien ce que je pensais… Maman, elle, elle ne pense qu’au cul. Mais toi, c’est tout pour la gueule !
Une famille habitant un petit village tranquille du Périgord ou tout le monde se connaît (c’est pour donner un воnnе petite ambiance sympa à l’histoire, parce qu’en fait ça n’a aucune importance) se trouve bien embêtée car ses deux enfants sont deux véritables petits garnements qui font toutes les bêtises possibles à longueur de journées. Dès qu’il y a une connerie à faire chez les gens, ils la font et ils finissent pas semer une sale ambiance dans le village. Plus ça va et plus les gens s’énervent. Devant les plaintes qui arrivent, les parents viennent à se dire :
- Dis donc chéri, tu crois pas qu’on devrait faire quelque chose ?
- Tu as raison, employons les grands moyens, envoyons-les chez le curé quelques temps, ça devrait les calmer. Radical comme solution…
Il se rendent chez le curé, et celui-ci est d’accord pour essayer de les remettre dans le droit chemin mais il préfère s’occuper d’eux l’un après l’autre, une semaine chacun. Le plus petit arrive alors chez le curé, commence à s’installer de l’autre côté du bureau du religieux et celui-ci commence par dire :
- Où est Dieu ?
Le petit se met à réfléchir intensément et ne sait pas trop quoi répondre. Le curé continue :
- Où est Dieu ?
Mystère chez le petit blond assez circonspect.
- Où est Dieu ?
Le blondinet se lève, et commence à chercher un peu partout dans la pièce. Surpris, le curé le laisse faire et le garçonnet très impressionné finit par sortir en courant de chez le curé, se précipite chez lui, monte dans la chambre de son frère et pris de panique lui annonce :
- Hé vieux ! on est très mal, Dieu a disparu et ils croient qu’on a fait le coup !!!
Le mardi après-midi, la maîtresse dit aux enfants :
- « demain, vous demanderez 2 euros a vos parents, et vous en ferez ce que vous voudrez; Jeudi nous discuterons de ce que vous en avez fait ».
Le Jeudi :
- Dupont, qu’as-tu fait de tes 2 euros ?
- J’ai acheté des bonbons, madame, et je les ai mangés.
- Oui, ça a du te faire plaisir, mais tu n’a pas réfléchi à autre chose à faire avec tes 2 euros ?
- Non, madame.
- Durand, qu’as-tu fait de tes 2 euros ?
- J’ai acheté des jouets le matin, et l’après-midi j’ai joué avec des copains.
- C’est bien d’être partageur mon petit Durand.
- Toto, tes parents ton donné de l’argent ?
- Ouais, m’dame. Y m’ont donné dix balles.
- Qu’est-ce que tu en as fait ?
- J’ai acheté du boudin.
- ?
- J’ai mangé le boudin en appuyant sur la peau. Ensuite, j’en ai fait une capote anglaise et j’ai baisé la воnnе. Ensuite, j’ai chié dans la peau et je suis retourné à la boucherie. J’ai dit :
- « votre boudin est tout poisseux et il sent la меrdе ». Le boucher l’a senti, et il m’a rendu mes sous !
Un couple, parent d’un petit garçon et d’une petite fille, attend le troisième rejeton… La petite fille désire bien évidemment une petite soeur et le petit garçon souhaite un petit frère pour partager ses jeux.
Un soir, en allant border le petit garçon le papa décide de lui confier, à lui tout seul, que le bébé attendu est un garçon… Le lendemain, seule avec lui dans la salle à manger, la maman demande au gamin :
- Alors, tu es content ?
- Content ? dit-il étonné.
- Hé bien oui : le grand secret… !
Et lui, tout déçu :
- Oh, tu es au courant, toi aussi ?