Un couple avait un fils d’une quinzaine d’années qui ne faisait rien de bien à l’école, et qui ne s’intéressait à rien..
Un beau jour, voulant savoir quand même vers quelle branche leur fiston pourrait se diriger, il décident de le soumettre à un test.
Le père prit un billet de 20 euros, une bible et une bouteille de whisky, et il plaça le tout sur la table du salon ; bien en évidence, il laissa un mot d’explication qui disait au fils que ses parents étaient partis faire des courses à Auchan.
Le plan du père était celui-ci :
- Si notre fils prend l’argent, peut-être sera-t-il homme d’affaire. Si il prend la bible, peut-être cela voudra dire qu’il veut entrer en religion, et si il prend la bouteille, j’ai bien peur que cela veuille dire qu’il sera un ivrogne.
Alors les parents se cachent dans la pièce voisine, et observe leur fils qui entre dans le salon. Il le voient qui lit le mot, prend le billet de 20 euros, le regarde par transparence dans la lueur de la lampe, puis le met dans sa poche. Ensuite il prend la bible, en feuillette quelques pages, puis la met dans une autre poche.
Et enfin, il prend la bouteille, goûte le whisky au goulot, rebouchonne la bouteille, et monte dans sa chambre avec.
Voyant tout ça, le père secoue la tête pour montrer son découragement et il dit à sa femme :
- C’est encore pire que tout ce que j’avais pu imaginer. Je crois que la seule possibilité pour notre fils, c’est de faire de la politique.
En classe, l’institutrice décide de faire une leçon de cuisine aux enfants; elle décide de leur parler de la COMPOTE.
- Savez vous comment on fait la compote de pommes ?
- Moi, M’dame, Moi M’dame : c’est facile, tu prends des pommes, tu les épluches, tu les laves, tu les coupes en petit morceaux tu les mets à bouillir 10 minutes dans l’eau et quand c’est cuit, tu mixes et voilà !
- Bien, Joseph, bien.
Soudain, Toto se lève et dit :
- Oui, mais, M’dame, pour faire la compote de FIGUES, c’est pas pareil…
- Ah, bon, tu es sûr ?
- Eh ben Ouais. Pour faire la compote de figues, il faut des figues, et pis surtout, une LIME…
- Mais où as-tu été cherché ça, voyons ?
- Ben, l’autre jour, je passais devant la chambre de mes parents et j’entendais Maman qui disait à Papa :
- « arrête de limer, j’ai la figue en compote ! »
Toto et ses parents sont à table. Tout d’un coup, Toto dit à sa mère :
- Eh ! Maman ! Eh maman ! Qu’est-ce qui est mou quand on le prend et qui durcit quand on le met au chaud ?
Sa mère lui dit :
- Ecoute, Toto, je t’interdis de parler de ça quand on est en train de manger. Tu n’as qu’à demander à ton père, mal élevé que tu es ? Mauvaise graine !
- Dis papa, qu’est-ce qui est dur quand on le prend et qui ramollit quand on le met au chaud ?
Le père, il fait :
- Eh bien, ce sont des macaronis, Toto !
- C’est bien ce que je pensais… Maman, elle, elle ne pense qu’au cul. Mais toi, c’est tout pour la gueule !
Une famille habitant un petit village tranquille du Périgord ou tout le monde se connaît (c’est pour donner un воnnе petite ambiance sympa à l’histoire, parce qu’en fait ça n’a aucune importance) se trouve bien embêtée car ses deux enfants sont deux véritables petits garnements qui font toutes les bêtises possibles à longueur de journées. Dès qu’il y a une connerie à faire chez les gens, ils la font et ils finissent pas semer une sale ambiance dans le village. Plus ça va et plus les gens s’énervent. Devant les plaintes qui arrivent, les parents viennent à se dire :
- Dis donc chéri, tu crois pas qu’on devrait faire quelque chose ?
- Tu as raison, employons les grands moyens, envoyons-les chez le curé quelques temps, ça devrait les calmer. Radical comme solution…
Il se rendent chez le curé, et celui-ci est d’accord pour essayer de les remettre dans le droit chemin mais il préfère s’occuper d’eux l’un après l’autre, une semaine chacun. Le plus petit arrive alors chez le curé, commence à s’installer de l’autre côté du bureau du religieux et celui-ci commence par dire :
- Où est Dieu ?
Le petit se met à réfléchir intensément et ne sait pas trop quoi répondre. Le curé continue :
- Où est Dieu ?
Mystère chez le petit blond assez circonspect.
- Où est Dieu ?
Le blondinet se lève, et commence à chercher un peu partout dans la pièce. Surpris, le curé le laisse faire et le garçonnet très impressionné finit par sortir en courant de chez le curé, se précipite chez lui, monte dans la chambre de son frère et pris de panique lui annonce :
- Hé vieux ! on est très mal, Dieu a disparu et ils croient qu’on a fait le coup !!!
Le mardi après-midi, la maîtresse dit aux enfants :
- « demain, vous demanderez 2 euros a vos parents, et vous en ferez ce que vous voudrez; Jeudi nous discuterons de ce que vous en avez fait ».
Le Jeudi :
- Dupont, qu’as-tu fait de tes 2 euros ?
- J’ai acheté des bonbons, madame, et je les ai mangés.
- Oui, ça a du te faire plaisir, mais tu n’a pas réfléchi à autre chose à faire avec tes 2 euros ?
- Non, madame.
- Durand, qu’as-tu fait de tes 2 euros ?
- J’ai acheté des jouets le matin, et l’après-midi j’ai joué avec des copains.
- C’est bien d’être partageur mon petit Durand.
- Toto, tes parents ton donné de l’argent ?
- Ouais, m’dame. Y m’ont donné dix balles.
- Qu’est-ce que tu en as fait ?
- J’ai acheté du boudin.
- ?
- J’ai mangé le boudin en appuyant sur la peau. Ensuite, j’en ai fait une capote anglaise et j’ai baisé la воnnе. Ensuite, j’ai chié dans la peau et je suis retourné à la boucherie. J’ai dit :
- « votre boudin est tout poisseux et il sent la меrdе ». Le boucher l’a senti, et il m’a rendu mes sous !
Un couple, parent d’un petit garçon et d’une petite fille, attend le troisième rejeton… La petite fille désire bien évidemment une petite soeur et le petit garçon souhaite un petit frère pour partager ses jeux.
Un soir, en allant border le petit garçon le papa décide de lui confier, à lui tout seul, que le bébé attendu est un garçon… Le lendemain, seule avec lui dans la salle à manger, la maman demande au gamin :
- Alors, tu es content ?
- Content ? dit-il étonné.
- Hé bien oui : le grand secret… !
Et lui, tout déçu :
- Oh, tu es au courant, toi aussi ?
Toto a huit ans. Un jour, il revient du catéchisme en pleurs et ses parents lui demandent ce qui se passe :
- C’est le curé ! Y veut pas que je fasse ma communion.
- Le Curé ? Y veut pas ? Et pourquoué ?
- Ch’sais pas, il a juste dit qu’y veut pas que je fasse ma communion !
- Je vais aller le vouér, moué, l’curé ! Viens, la Fernande, habille-toué ! Mets la robe des dimanches, moué j’mets le costume, on va aller voouérrr le Curé.
Alors ils vont voir le Curé et le père lui dit :
- Alors, mon père, c’est vrai ce qu’on m’dit à c’t heure ? Vous ne voulez pas tantôt que le petit fasse sa communion ?
- Ah non ! C’est impossible, mon fils ! Ecoutez, le Toto, il est trop nul en catéchisme !
- Oh ben ch’sais, il a p’têt du mal à apprendre mais c’t’un bon gars, vous savez ! Faut vouér, il boit déjà comme son père !
- Je vous dis qu’il est nul en catéchisme. II ne savait même pas que Jésus était mort !
- Ben, c’t-à-dire… par chez nous, la télé est en panne : alors vous voyez, on n’a même pas su qu’il était malade !
En classe de catéchisme, Monsieur le curé demandait à ses élèves comment ils croyaient que les gens allaient au ciel.
Toto leva immédiatement la main, voulant répondre. Croyant qu’il allait encore dire une stupidité comme d’habitude, Monsieur le curé fit semblant de ne pas le voir et demanda plutôt à Sophie.
- Hummm… Moi, Monsieur le curé, je crois qu’un ange vient chercher notre âme et qu’il l’amène jusqu’au paradis.
Toto continuait de lever la main et insistait en disant:
- « Moi Monsieur le curé ! » continuellement. Le curé continua de l’ignorer et demanda à Pierre ce qu’il en pensait :
- Moi, Monsieur le curé, je crois qu’il y a une porte d’ascenseur qui s’ouvre devant nous. Nous y entrons et ainsi, nous pouvons monter jusqu’au ciel.
Toto insistait encore pour répondre, et le curé finit par lui dire :
- Oui, Toto, comment crois-tu que les gens vont au ciel ?
- Les pieds en premier Monsieur le curé !, répondit fièrement Toto.
- Mais que veux-tu dire exactement par là Toto ?
- Et bien hier soir, j’ai été dans la chambre de mes parents. Ma mère était couchée sur le dos, les jambes dans les airs pointant le ciel et elle criait :
- « Oh mon Dieu… Je viens… »