Les blagues sur les Militaires et L'armée, Blague sur l'armée

Ça se passe dans un cinéma, pendant la Seconde Guerre Mondiale sous l’Occupation. Dans la salle, plusieurs personnes regardent les actualités. Tout à coup, un officier allemand arrive et dit :
- Bardon, bardon monzieur, bardon matemoizelle !
L’officier allemand s’assoit, enlève sa casquette, retire ses gants et il commence à regarder les actualités :
- Aaaah ! Ya schôn, gut, wunderbar !
Au bout d’un moment, la jeune femme a côté de laquelle il s’était assis se lève et lui fait :
- Tiens, prends ça dans la gueule !
Paf, elle lui met une tarte.
Puis le fiancé de la jeune femme se lève et s’écrie :
- Tu vas voir ta gueule !
Et paf !
Après quoi, le vieux monsieur qui était derrière prend sa canne et en donne un grand coup à l’officier allemand qui hurle :
- A l’aite ! Au zegours !
Cinq minutes après le cinéma est encerclé, tout le monde embarqué à la Kommandantur, et un type de la Gestapo demande à la jeune femme :
- Mademoiselle, vous avez frappé un officier allemand. Est-ce que vous pouvez m’expliquer pourquoi ?
- C’est-à-dire… c’est-à-dire que j’étais en train de regarder les actualités, et l’officier allemand a posé sa main sur mes genoux, ce grand dégueulasse ! Alors je lui ai mis une gifle instinctivement. Je n’ai pas vu que c’était un Allemand.
- Ah bon, ah bon ! C’est vrai que pour un officier allemand, c’est très incorrect. On va faire un rapport et on va le muter sur le front de l’Est parce que quand même ! Quand même ! Ce n’est pas bien ! Mademoiselle, vous avez bien fait, vous êtes libre ! Vous voyez qu’on est pas des barbares, qu’on comprend les choses. Alors au revoir, et pardon pour le dérangement !
Vient le tour du jeune homme et l’Allemand lui dit :
- Jeune homme, vous avez frappé un officier allemand: vous savez ce que cela signifie ?
- Il touchait les cuisses de ma fiancée, alors je lui ai cassé la gueule.!
- Du calme, du calme… Parce que vous êtes le fiançé de…
- Ben ouais !
- Alors bien sûr, je comprends votre réaction. C’est vrai que… Non mais décidément, cet officier, je vais l’envoyer sur le front de l’Est immédiatement. On va prendre son nom, son matricule, et ça ne va pas traîner, Quant à vous, vous êtes libre, jeune homme ! Vous voyez, nous comprenons les choses ! Nous, à la Gestapo, nous ne sommes pas des sauvages. Voilà, au revoir ! Suivant !
Le vieux monsieur succède au fiancé et l’Allemand lui fait :
- Alors comme ça, vous avez donné un coup de canne sur la tête d’un officier allemand. Pour quelle raison ?
- Bah euuuuuh…
- Je vous écoute.
- Eh ben, c’est-à-dire que j’ai vu tout le monde le frapper… Alors moi, j’ai cru que la guerre était finie !
En Birmanie, un colonel donne les derniers conseils à ses G. I. avant que ceux-ci partent au combat :
- « G. I.’s ! Je suis fier de vous, vous allez au combat. Mais avant que vous ne partiez, je vais vous donner les trois grands secrets pour survivre aux trois grands dangers de la jungle :
Le premier danger, ce sont les moustiques : ils apportent les piqûres qui font souffrir, mais surtout la malaria qui peut tuer les plus résistants. Contre les moustiques, vous avez la bombe de fly-tox : vous prenez la bombe et vous vaporisez ; si la bombe est finie, vous en avez une de rechange dans la poche droite, vous vaporisez jusqu’à ce que les moustiques soient tous morts et vous survivrez aux moustiques.
Le deuxième danger, ce sont les niakwés. Ce sont de farouches combattants fanatiques et bien armés. Contre les niakwés, vous avez le pistolet-mitrailleur : vous prenez le pistolet-mitrailleur et vous mettez le chargeur, puis vous tirez sur les niakwés ; si le chargeur est fini, vous en avez un de rechange dans la poche gauche, vous tirez jusqu’à ce que tous les niakwés soient morts et vous survivrez aux niakwés.
Le troisième danger, le pire, c’est le terrible serpent mamba rayé orange et noir. Sa morsure est mortelle en moins de trente secondes. Contre le terrible serpent mamba rayé orange et noir, vous n’avez que votre courage et la tactique que je vais vous donner :
Si vous voyez un terrible serpent mamba rayé orange et noir, vous faites le tour, vous en prenez le bout de la queue entre le pouce et l’index, sans serrer, et vous remontez doucement le long de la colonne vertébrale jusqu’à ce que vous puissiez serrer le cou juste derrière la tête. Alors vous le prenez, et vous lui tordez le cou, et c’est ainsi que vous survivrez au terrible serpent mamba rayé orange et noir.
Voilà G. I.’s, vous êtes prêts à partir… Воnnе chance ! »
Un mois après, les G. I.’s rentrent de leur mission. Le colonel est là et interroge les soldats :
- « Ahh, colonel, c’était terrible… Les moustiques, des nuées de moustiques… Mais j’ai fait comme vous nous avez conseillé : j’ai pris le fly-tox, j’ai vaporisé, j’ai tué des milliers de moustiques. Ma bombe s’est vidée, j’ai pris la bombe de rechange dans la poche droite, et j’ai continué à vaporiser. La deuxième bombe s’est vidée, et il y avait encore des moustiques, alors j’ai pris la bombe sur le cadavre de mon copain qui était tombé à coté de moi, et j’ai continué à vaporiser… Au moment où la bombe finissait, j’ai tué le dernier moustique qui est tombé raide mort. J’étais sauvé. »
Un deuxième soldat :
- « Ahh, colonel, c’était terrible… Les niakwés, des nuées de niakwés… Mais j’ai fait comme vous nous avez conseillé : j’ai pris le pistolet-mitrailleur j’ai tiré, j’ai tué des dizaines de niakwés. Mon chargeur s’est vidé, j’ai pris le chargeur de rechange dans la poche gauche, et j’ai continué à tirer. Le deuxième chargeur s’est vidé, et il y avait encore des niakwés, alors j’ai pris le chargeur sur le cadavre de mon copain qui était tombé à coté de moi, et j’ai continué à tirer… Au moment où le chargeur finissait, j’ai tué le dernier niakwé qui est tombé raide mort. J’étais sauvé. »
Alors le colonel voit arriver un G. I. sur une civière; il est complètement explosé, lacéré, en sang, au bord de l’inconscience.
- Mais, G. I., que s’est-il passé ? Les niakwés ?
- Oh non, colonel, c’est le terrible serpent mamba rayé orange et noir !
- Mais je vous avais pourtant dit comment procéder !
- Oui, mon colonel, et j’ai fait comme vous l’aviez dit ! J’ai vu le terrible serpent mamba rayé orange et noir, j’ai fait le tour, j’en ai pris le bout de la queue entre le pouce et l’index, sans serrer, et j’ai remonté doucement le long de la colonne vertébrale jusqu’à ce que je puisse serrer le cou juste derrière la tête. Mais alors là, sauf votre respect, colonel, mais j’aurais bien voulu vous y voir, vous, avec deux doigts dans le trou du cul d’un tigre !
C’est Clinton qui se représente aux élections dans son beau pays , et qui veut, bien entendu, gagner… Son conseiller lui propose de faire un show télévisé ou il remerciera ses soldats pour leur brillant courage. Le spectacle se met donc en place, des millions de téléspectateurs le regardent…
Clinton demande à un de ses Marines blessé au combat…
- Tu as été brave, l’Amérique te sera à jamais reconnaissante, que veux tu ? Nous te l’offrons !
- Mr le President, je me suis battu à Sarajevo. Pendant ce temps, ma femme est partie, mes parents sont morts, mon poids en billets de 50 $ serait une belle compensation…
Clinton, encouragé par son conseiller, ne peut refuser à cause des millions de spectateurs, on amène donc une brouette remplis de billets de 50 $…
Inquiet, il se dirige vers un deuxième soldat, manchot…
- Tu as été brave, l’Amérique te sera à jamais reconnaissante, que veux-tu ? Nous te l’offrons !
- Mr le président, je suis parti au Koweit, et depuis, je n’intéresse plus les filles, elles me prennent pour un marginal, elles ont peur de moi, je les fais fuir. Depuis, je n’ai pu en toucher une seule puisque je n’ai plus de bras… Je voudrais ma taille en billets de 100 $ pour compenser, Mr le president !
L’émotion du public force Clinton à accepter, mais il s’inquiète sacrément pour ses finances (on lui glisse à l’oreille que la facture se monte déjà à 20 millions de $)
Il va voir un dernier soldat,…
- Tu as été brave, l’Amérique te sera à jamais reconnaissante, que veux-tu ? Nous te l’offrons !
- Mr le président, je suis un vétéran du Viet-Nam… J’ai été blessé là-bas… Comme mon collègue, depuis que je suis rentré, les filles me fuient… Je devrai moi aussi m’en passer toute ma vie… (Clinton s’inquiète..)J’aimerais, Mr le president que vous mettiez des billets de 100 dollars entre mon trou du cul et mes couilles…
Clinton accepte, heureux de l’économie qu’il va faire… Il baisse le pantalon du vétéran, lui glisse un billet dans l’аnus, puis en met un deuxième à côté et ainsi de suite… Soudain, il se relève :
- Mais, soldat, ou sont vos couilles?
- Elles sont restées au Viet-Nam, Mr le président…

Au début de son service militaire, un type se pointe devant le capitaine qui l’interroge sur son métier dans le civil.
- C’est très simple, dit le type, je suis GLUTIER dans le civil.
- Vous êtes quoi ?
- Je suis GLUTIER …. Je fais des GLUS….
- Et ça consiste en quoi ?
- Et bien, heu, c’est à dire que …., c’est difficile à expliquer, il faudrait que je vous montre, que je vous fasse une démonstration, vous comprendriez mieux…
- Bon, d’accord. Vous avez carte blanche pour me faire un GLU, finit par dire le capitaine.
Le gars se met au travail et exige qu’on lui exécute divers travaux préalables, absolument nécessaires à l’élaboration de son GLU :
- Creusement d’une fosse de 10 m de profondeur, 6m de long, 3 m de large.
- Remplissage de cette fosse par de l’eau.
- Construction, depuis la fosse, d’un plan incliné bétonné de 100 m de long, 3 degrés de dénivellation.
- Construction d’une plate forme bétonnée horizontale à l’autre extrémité du plan incliné (longueur: 50 m) .
- Construction d’un plan incliné pour rejoindre le sol, symétrique au premier.
- Achat d’un camion neuf de 25 tonnes.
OUF ! ça y est, les spécialistes du Génie ont répondu à toutes ses exigences, le type est prêt à faire son GLU. C’est Dimanche matin, toute la caserne est rassemblée pour assister à cet événement qui rentrera à coup sûr dans les annales de l’armée française.
Il monte dans le camion, le démarre (au quart de tour) le fait monter le plan incliné et vient l’immobiliser au bout de la plate-forme. Puis, il descend du camion et le pousse dans la descente. Le lourd véhicule pénètre dans l’eau et fait :
- « SCPLOUFFFFFFF puis GLU, GLU, GLU,…… »