Les blagues sur les Militaires et L'armée, Blague sur l'armée
Dans la cour de la caserne, le capitaine éduque les nouvelles recrues.
- Nous sommes en temps de guerre, les avions ennemis sillonnent le ciel, soldat Durand, que faites-vous ?
- Je rampe, mon capitaine.
- Bien ! Une bombe vous arrache l’oreille, que faites-vous ?
- Je rampe toujours, mon capitaine !
- Bien ! Une autre bombe vous arrache l’autre oreille, que faites-vous ?
- Je ne sais pas, mon capitaine, je n’y vois plus.
- Allons, vous savez que les oreilles servent à entendre et non à voir !
- Je le sais, mon capitaine, mais ce sont elles qui retiennent mon casque.
Un soldat américain, après avoir passé six mois en Irak, a obtenu une permission de quinze jours. Fou de joie, il retrouve à Chicago sa jeune femme qui l’accueille, transportée d’enthousiasme. Après une soirée des plus mouvementées, ils s’endorment, éperdus de bonheur.
Au petit matin, la femme se met à rêver. Dans son sommeil, elle crie :
- Chéri, on frappe, c’est mon mari !
Aussitôt, mû comme par un ressort, le G. I saute du lit, rassemble ses vêtements épars et file se cacher dans un placard.
Rеvuе de détail à bord d’un porte-avions. Un matelot a perdu le pompon rouge de son bonnet, et il est convoqué dans le bureau du quartier-maître.
- Un pompon rouge perdu : dix euros !
- Quoi ? dit le matelot. Vous voulez que je le paie ?
- Bien sûr, mon gaillard, répond le quartier-maître. La Marine vous a fourni un uniforme, à vous d’en prendre soin. Dix euros.
- Et si j’avais perdu mon fusil ? fait le matelot.
- Un fusil, deux mille euros ! fait le quartier-maître, imperturbable. A moins, bien sûr, de l’avoir perdu lors d’un combat.
- Et supposez qu’on perde un canot de sauvetage ?
- Un canot ? Cinq mille euros. À moins, bien sûr, de l’avoir perdu lors d’un sauvetage.
- Et une vedette rapide ?
- Deux cent cinquante mille euros. À moins, bien sûr, d’avoir été coulé à son bord.
- Eh bien, fait le matelot, je comprends, maintenant.
- Qu’est-ce que vous comprenez, matelot ?
- Je comprends pourquoi le capitaine d’un navire préfère rester à bord lorsqu’il sombre…