Blague sur les Nationalités
Un jeune inspecteur des impôts est envoyé pour un contrôle fiscal à la synagogue de Liège. Impitoyable, il pose de nombreuses questions au rabbin.
- Et que faites vous des restes de cire et de bougies ?
- Nous les renvoyons à notre fournisseur qui, une fois l'an, nous offre un paquet de bougies.
- Et les restes de bagels, toutes ces miettes, qu'en faites vous ?
- Mais, la même chose, nous les expédions à notre boulanger et, une fois l'an, il nous donne gratuitement un paquet supplémentaire.
Moqueur, l'inspecteur ajoute :
- Et ce qui reste des circoncisions ... toutes ces petites peaux ... qu'en faites-vous ?
Placide, le rabbin répond :
- Mais, comme pour le reste, nous les envoyons au Ministère des Finances et, une fois l'an, ils nous envoient une tête de gland !
Lors d'un match du tournoi des cinq nations, trois anglais se retrouvent près d'un irlandais...
Le premier Anglais dit à ses potes qu'il va l'asticoter un peu. Il s'approche de l'Irlandais et après lui avoir tapé sur l'épaule, il lui dit :
- He l'Irlandais, j'ai entendu dire que votre Sаinт-Patrick était de la jaquette...
- Oh vraiment, hmmm, je ne savais pas ça, réplique l'Irlandais imperturbable.
Un peu déçu, le supporter retourne voir ses potes et leur raconte :
- Incroyable, je lui ai dit que son Sаinт-Patrick était une pédale et il n'a pas bronché !
- Tu ne sais pas t'y prendre, lui dit alors le deuxième, regarde-moi faire et apprends.
Le deuxième supporter s'approche de l'Irlandais, lui tape sur l'épaule et lui dit :
- Tu savais que ton Sаinт-Patrick, en plus d'être de la jaquette, il adorait se déguiser en femme !
- Oh, hmmm, je ne savais pas ça, merci pour l'information.
Stupéfié et décontenancé par tant de flegme, l'Anglais retourne voir ses potes et leur avoue :
- Tu avais raison, y a rien qui semble le mettre en rogne !
Et le troisième leur dit alors :
- Non, non, non les gars, moi je vais y arriver à l'énerver. Regardez plutôt.
L'Anglais s'avance vers l'ennemi jure, lui tape sur l'épaule et lui dit :
- Tu savais que ton Sаinт-Patrick était anglais...
- Je sais, répond l'Irlandais, c'est ce que tes deux copains sont venus m'expliquer tout à l'heure.
Ça se passe sur le chantier d'un immeuble en construction. Trois ouvriers, un français, un anglais (francophone) et un belge font la pause casse-croûte du midi tout en haut de l'immeuble.
L'anglais:
- Oh, incroyable! Encore un sandwich au cheddar. Je vais vous dire un truc:
- Si ma femme me fait encore un sandwich au cheddar, demain, je me tue!.
Le français: [un peu interloqué]
- Oh.. меrdе, encore de la choucroute.
L'anglais:
- Ben, c'est pas mal, ça change des sandwichs...
Le français:
- Oui peut-être, mais tous les jours, c'est trop. Si demain j'ai encore le même menu, je te suis...
Le belge:
- Hum. Moi j'ai encore eu du waterzoï. Je suppose que je vais me tuer si j'ai encore la même chose demain.
Nous sommes le jour suivant, il est midi, et c'est encore la pause casse-croûte.
L'anglais:
- Dамn it! J'avais pourtant dit à mon idiote de femme de ne plus mettre de cheddar dans mes sandwichs. C'est décidé, cette fois-ci c'est la воnnе!- et il saute.
Le français:
- Oh non! Ma femme m'a encore fait de la choucroute! Attend moi....
Le belge: [très inquiet, il ouvre sa gamelle et...]
- Oh. Du waterzoï. En fait je ne veux pas mourir, mais une promesse est une promesse...
À l'enterrement, les trois femmes discutent entre elles.
L'anglaise:
- Sigh, si seulement je ne lui avais pas fait de sandwich au cheddar, il serait encore avec nous.
La française:
- Le mien aimait le thon... Pourquoi ne lui ai-je pas préparé des sandwichs au thon... c'est ma faute...
La belge:
- Je ne comprend pas. Il a toujours insisté pour faire lui-même ses propres sandwichs !