Donald MacDonald, un Écossais de pure souche, fut un beau jour obligé de s'expatrier à Londres pour poursuivre ses études secondaires.
Après son premier mois de scolarité, il reçoit la visite de sa maman dans sa chambrette de résidence universitaire.
- "Alors, comment sont les autres étudiants anglais, Donald ?, demande-t-elle.
- Ils sont exécrables maman. Ce sont vraiment des gens bruyants et sans-gêne. Tous les soirs par exemple, mon voisin de la chambre à ma droite n'arrête pas de se cogner la tête contre la paroi. Quant à mon voisin de la chambre située de l'autre côté, tout ce qu'il sait faire c'est hurler et hurler encore !
- Oh mon pauvre Donald ! Comment arrives-tu à supporter ces malappris de voisins anglais ?
- Maman, je ne fais rien du tout. Je les ignore. Je reste là calmement assis sur mon lit à jouer de ma cornemuse."

Lors d'un match du tournoi des cinq nations, trois anglais se retrouvent près d'un irlandais...
Le premier Anglais dit à ses potes qu'il va l'asticoter un peu. Il s'approche de l'Irlandais et après lui avoir tapé sur l'épaule, il lui dit :
- He l'Irlandais, j'ai entendu dire que votre Sаinт-Patrick était de la jaquette...
- Oh vraiment, hmmm, je ne savais pas ça, réplique l'Irlandais imperturbable.
Un peu déçu, le supporter retourne voir ses potes et leur raconte :
- Incroyable, je lui ai dit que son Sаinт-Patrick était une pédale et il n'a pas bronché !
- Tu ne sais pas t'y prendre, lui dit alors le deuxième, regarde-moi faire et apprends.
Le deuxième supporter s'approche de l'Irlandais, lui tape sur l'épaule et lui dit :
- Tu savais que ton Sаinт-Patrick, en plus d'être de la jaquette, il adorait se déguiser en femme !
- Oh, hmmm, je ne savais pas ça, merci pour l'information.
Stupéfié et décontenancé par tant de flegme, l'Anglais retourne voir ses potes et leur avoue :
- Tu avais raison, y a rien qui semble le mettre en rogne !
Et le troisième leur dit alors :
- Non, non, non les gars, moi je vais y arriver à l'énerver. Regardez plutôt.
L'Anglais s'avance vers l'ennemi jure, lui tape sur l'épaule et lui dit :
- Tu savais que ton Sаinт-Patrick était anglais...
- Je sais, répond l'Irlandais, c'est ce que tes deux copains sont venus m'expliquer tout à l'heure.
Ça se passe sur le chantier d'un immeuble en construction. Trois ouvriers, un français, un anglais (francophone) et un belge font la pause casse-croûte du midi tout en haut de l'immeuble.
L'anglais:
- Oh, incroyable! Encore un sandwich au cheddar. Je vais vous dire un truc:
- Si ma femme me fait encore un sandwich au cheddar, demain, je me tue!.
Le français: [un peu interloqué]
- Oh.. меrdе, encore de la choucroute.
L'anglais:
- Ben, c'est pas mal, ça change des sandwichs...
Le français:
- Oui peut-être, mais tous les jours, c'est trop. Si demain j'ai encore le même menu, je te suis...
Le belge:
- Hum. Moi j'ai encore eu du waterzoï. Je suppose que je vais me tuer si j'ai encore la même chose demain.
Nous sommes le jour suivant, il est midi, et c'est encore la pause casse-croûte.
L'anglais:
- Dамn it! J'avais pourtant dit à mon idiote de femme de ne plus mettre de cheddar dans mes sandwichs. C'est décidé, cette fois-ci c'est la воnnе!- et il saute.
Le français:
- Oh non! Ma femme m'a encore fait de la choucroute! Attend moi....
Le belge: [très inquiet, il ouvre sa gamelle et...]
- Oh. Du waterzoï. En fait je ne veux pas mourir, mais une promesse est une promesse...
À l'enterrement, les trois femmes discutent entre elles.
L'anglaise:
- Sigh, si seulement je ne lui avais pas fait de sandwich au cheddar, il serait encore avec nous.
La française:
- Le mien aimait le thon... Pourquoi ne lui ai-je pas préparé des sandwichs au thon... c'est ma faute...
La belge:
- Je ne comprend pas. Il a toujours insisté pour faire lui-même ses propres sandwichs !