Blague sur les Agriculteurs, Blagues sur les Paysans
C’est un couple de paysans, les Martin, qui donne une réception pour fêter le retour de leur fils, qui vient de réussir sa thèse de doctorat en médecine.
Le père Martin discute avec son fils :
- Tu sais, fiston, ta mère a un furoncle juste sur le trou du cul.
- Mais non, papa, on ne dit pas « trou du cul » on dit « аnus ».
- Ah ! bon.
Vers le milieu de la soirée, le père Martin explique à un groupe d’amis ce dont souffre sa femme.
- Vous savez, elle a un furoncle juste sur le….
Là, il a oublié l’explication de son fils. Alors, il se tourne vers lui et à haute voix :
- Dis-moi, fiston, comment appelles-tu le cul de ta mère ?
Deux aéronautes dans leur ballon sont perdus dans le brouillard. Dérivant depuis des heures, ils commencent à désespérer de retrouver leur cap. Ils décident donc de faire perdre de l’altitude à leur montgolfière pour essayer coûte que coûte d’apercevoir le sol.
Ils ouvrent la soupape du ballon, tant et si bien que celui-ci perd de l’altitude, jusqu’à ce qu’enfin le sol apparaisse : des champs, à perte de vue. Ils errent encore, pendant des heures, jusqu’au moment où ils aperçoivent enfin un paysan en dessous d’eux. Ils l’appellent en criant de toutes leurs forces :
- Ohé, mon brave, où sommes-nous ?
Le paysan, pas du tout impressionné, répond :
- En ballon !
Il y a fort longtemps de cela, par une nuit d’hiver glaciale, un couple de paysans auvergnats est devant le feu de la cheminée. Tout est silencieux lorsque, soudain, de violents coups sont frappés à la porte. L’homme se lève et va ouvrir. C’est un vagabond qui demande un abri en attendant que la tempête de neige s’arrête. Il vient s’asseoir au coin du feu et demande timidement :
- Vous n’auriez pas quelque chose à manger ?
- Oh !… Bon, répond le paysan qui se tourne vers sa femme. Donne-lui un morceau de pain.
Et la femme coupe un morceau de pain et le donne au mendiant. Quelques minutes se passent.
- Je ne pourrais pas avoir un bol de soupe bien chaude ? demande le vagabond en reluquant la marmite qui fume dans la cheminée.
- Ah non ! répond le maître de maison. Le pain, ça va encore, mais la soupe avec le lard et la poule, sûrement pas !
Au bout de quelque temps, comme la tempête fait toujours rage dehors, l’intrus demande :
- Est-ce que je pourrais dormir ici, cette nuit ?
Devant la mine hostile de son mari, la paysanne prend la défense du pauvre bougre :
- Tu ne vas pas le mettre dehors par un temps pareil ! Il va partager notre lit. Tu te mettras au milieu et comme ça, nous nous tiendrons chaud.
Bon gré mal gré, le mari finit par accepter et les voilà tous les trois dans le lit, le paysan entre sa femme et le vagabond. Au milieu de la nuit, ils sont réveillés par le bêlement des moutons qui sont affolés par la tempête. Le paysan se lève et sort pour les calmer.
Alors, la femme se rapproche de l’inconnu et lui dit tout bas en lui frôlant le bras :
- Tu peux y aller maintenant.
- Mais si ton mari revient ?
- Oh, il n’y a pas de danger, il en a pour un bon bout de temps à les calmer !
- C’est vrai ? Je peux y aller ?
- Puisque je te le dis !
Alors, le mendiant se lève et se précipite pour se servir un bol de soupe chaude.
- Dites-moi, mon ami, demande un citadin un peu snob à un brave paysan. Pourquoi cette grande vache n’a-t-elle pas de cornes ?
- Ben, j’vas vous dire, mon bon monsieur, les vaches, des foués, ça naît sans cornes. Des foués aussi, ça attrape une maladie et ça perd ses cornes. Des foués encore, ça se les casse contre une pierre…
- Comme c’est cocasse. Et c’est ce qui est arrivé à celle-ci ?
- Ben non…
- Mais que diantre lui est-il alors arrivé, à cette pauvre vache, pour qu’elle n’ait pas de cornes ?
- Ben rien, mon bon monsieur. Vu que cette vache-là c’est un cheval.