Blagues Cochonnes +18 ans, Blague salace
Une jolie femme, mais d'un âge certain, se présente chez son médecin et demande son assistance professionnelle : elle souhaite réactiver quelque peu les appétits charnels de son époux.
- Pourquoi n'essayez-vous pas le Viаgrа ? demande l'homme de l'art.
- Pas moyen, Docteur. Il refuse même d'avaler la moindre aspirine quand il a des maux de tête.
- Vous plaisantez, rétorque le praticien, patricien par ailleurs. Vous mettez ça dans son café, et il ne verra même pas la différence ! Essayez donc, je vous en conjure, et revenez me voir dans une semaine : vous m'en direz des nouvelles !
Une semaine plus таrd, la gente dame revient chez son médecin.
Le toubib s'enquiert des progrès de la guérison.
- Oh, Docteur, ce fut terrible, tout juste terrible !
- Mais que s'est-il donc passé ?
- Eh bien, j'ai fait exactement comme vous me l'avez conseillé. J'ai glissé le comprimé de Viаgrа dans son café. L'effet fut foudroyant. Il bondit sur ses pieds, balaya d'un revers du bras tout ce qui se trouvait sur la table tout en m'arrachant mes vêtements, puis il se mit à me faire l'amour comme une bête sur le dessus de la table. Ce fut terrible, vous dis-je !
- Pourquoi terrible ? L'assaut sexuel ne fut point délectable ?
- Ce n'est pas ça, Docteur. J'ai éprouvé un orgasme meilleur que tout ce que j'avais ressenti de mieux au cours des dernières vingt-cinq années !
- Bah. alors ?
- Alors, je n'oserai plus jamais me montrer dans ce McDonald !
Un homme d'affaire français va au Japon pour négocier avec un puissant PDG japonais. Autant dire qu'il est tout excité ! La nuit précédent la rencontre avec ce PDG, il décide de se faire une prostituée. Après tout, personne ne le lui reprochera...
Il monte avec une charmante japonaise, et fait son affaire. Pendant qu'il lui fait l'amour, la japonaise n'arrête pas de dire "aïchaka ! aïchaka !"
Le français, en tout bon français qu'il est, se dit qu'il assure comme un dieu et que cette fille doit hurler son plaisir.
Le lendemain de cette merveilleuse nuit, notre français se rend au lieu de rendez-vous fixé par le PDG japonais. C'est un beau terrain de golf, sur lequel nos deux compères jouent un peu avant de parler affaires.
Le PDG japonais se prépare pour le premier trou... Et paf ! Un magnifique swing et il fait un trou en un seul coup !!! Le français voudrait bien le flatter et manifester son plaisir devant un tel coup, mais il ne parle pas japonais... Il lance alors :
- Aïchaka !!
Et le PDG japonais se retourne, l'air vexé, et dit :
- Comment ça, c'est le mauvais trou ?
AVOCAT: Ce matin du 25 juillet, vous vous êtes rendu, à pied, de votre ferme à l'étang à canards
TÉMOIN: Oui.
AVOCAT: Donc, vous êtes passé à quelque mètres de l'enclos à canards?
TÉMOIN: Oui.
AVOCAT: Avez-vous remarqué quelque chose de spécial?
TÉMOIN: Oui.
AVOCAT: Bien, pouvez vous dire à la cour ce que vous avez vu ?
TÉMOIN: J'ai vu George.
AVOCAT: Vous avez vu George, l'accusé dans ce procès ?
TÉMOIN: Oui.
AVOCAT: Pouvez vous dire à la cour ce que George faisait ?
TÉMOIN: Oui.
AVOCAT: Bien, pouvez-vous le dire s'il vous plaît ?
TÉMOIN: Il avait son truc dans un des canards.
AVOCAT: son " truc " ?
TÉMOIN: Vous savez, sa b... Je veux dire, son pénis.
AVOCAT: Vous êtes passé près de l'enclos à canard, la lumière était воnnе, vous étiez sobre, vous avez une воnnе vue, et vous avez clairement vu ce que vous nous avez expliqué?
TÉMOIN: Oui.
AVOCAT: Est-ce que vous lui avez dit quelque chose ?
TÉMOIN: Bien sûr
AVOCAT: Que lui avez-vous dit ?
TÉMOIN: Bonjour George.
C'est un agriculteur qui est marié depuis 4 ans avec une ravissante jeune femme, et qui n'arrive pas à avoir d'enfants. Il décide alors d'aller rendre visite à son voisin du dessus qui est médecin et qui lui a 4 enfants.
- Bonjour Docteur, j'ai besoin d'aide.
- Que puis-je faire pour vous ?
- Voilà, j'aimerais savoir comment vous faites pour avoir des enfants, car je n'y arrive pas depuis 4 ans.
- Ben, dis le Docteur, je fais comme tout le monde...
- Oui, mais moi cela ne marche pas. S'il vous plaît, donnez-moi un truc pour avoir des bébés.
- Bon dit le Docteur, je vais vous aider. Il vous faut 3 choses pour y arriver : 1 un savon, 2 du parfum, 3 un balai.
L'agriculteur prend note et demande :
- Bon, alors, le savon c'est pour quoi faire ?
- Quand vous voudrez faire un bébé, vous donnez un bon bain à votre épouse avec le savon.
L'agriculteur note et demande :
- Et avec le parfum ?
- Quand elle est bien lavée et séchée, vous la portez sur votre lit et vous la parfumez...
- Ah bon, dit l'agriculteur qui note toujours. Et avec le balai, je fais quoi avec le balai ?
- Bon, dis le Docteur, quand elle est bien lavée, parfumée et prête sur le lit, vous tapez 3 fois au plafond avec le balai, et j'arrive de suite !
C'est deux gars en train de parler de leur vie familiale dans un bar. Après quelques bières, l'un des deux dit:
- Oh je ne sais pas toi, mais moi, ça va pas trop sexuellement avec ma femme en ce moment. On dirait vraiment qu'elle se désintéresse du truc! C'est super frustrant...
Alors l'autre lui répond:
- Ouais, je vois ce que tu veux dire. J'ai eu le même problème à un moment, mais j'ai trouvé un super remède. À ce moment là, j'avais caché mon pistolet d'alarme sous l'oreiller, et au moment où ma femme montrait des signes de faiblesse pendant nos ébats, je m'emparais du pistolet et je pressais la détente. Sous l'effet de la détonation et du stress, elle devenait excitée comme une furie et je peux te dire que la séance de ça-va-ça-vient prenait une autre dimension après...
Alors l'autre gars dit qu'il va essayer ça lui aussi.
Le lendemain soir, les deux gars se retrouvent au même bar devant une bière.
- Alors?, comment ça a marché le coup du pistolet?
L'autre répond:
- M'en parle pas... La nuit dernière, on se faisait un petit 69. Comme d'habitude, en cours de route, ma femme a commencé à mollir dans son action, alors je me suis emparé du pistolet et j'ai fait feu comme tu m'as dit...
- Et alors?
- Et alors? Eh ben, elle a failli m'arracher la bite, elle m'a chié dans la figure, et un gars est sorti de l'armoire en levant les mains en l'air!
Dans une petite ville de province, un monsieur se présente à une pharmacie et demande du VIАGRА.
Le pharmacien lui en donne une boîte. Le client ressort sans payer :
- Le temps d'aller faire une course chez le boucher d'en face et je viens vous régler. D'accord ?
- D'accord.
Le pharmacien regarde par la vitrine histoire de surveiller son gars. Celui-ci rentre chez le boucher :
- Deux entrecôtes s'il vous plait. Je vais chez le boulanger et je repasse vous payer. D'accord ?
Il emporte sa viande et s'en va chez le boulanger :
- Bonjour, je voudrai deux baguettes. Je fais un saut chez l'épicier et je reviens vous payer. D'accord ?
Même manège chez l'épicier, il sort, saute dans sa voiture et s'en va.
Entre alors chez le pharmacien, un client qui lui demande :
- Je désire du VIАGRА mais, à votre avis, est-ce que ça marche vraiment ?
- Ecoutez, c'est même garanti: un client vient d'en prendre et en cinq minutes il a réussi à baiser l'épicier, le boulanger, le boucher et moi !
Un type entre dans un bar ; il avise une superbe jeune femme, accoudée au comptoir devant un cocktail somptueux. Il choisit de commander son verre non lоin de la jeune femme ; n'ayant visiblement pas de monnaie, il sort ostensiblement une liasse de billets de 100 euros pour régler sa boisson. En glissant son verre de la main où brille une énorme Rollex, il se rapproche de la jeune femme. Il lui demande alors, avec un sourire entendu :
- Tu baises ?
La femme le regarde dans les yeux, descend du tabouret, rajuste sa très courte jupe et balance un direct du gauche monumental dans l'estomac du type ; il se plie de douleur ; elle lui envoie son genou dans la figure ; le type se redresse et, d'un autre direct du gauche, elle envoie le bonhomme à terre, à cinq mètres. Puis la jeune femme se réinstalle tranquillement devant son verre.
Le type reste sans bouger quelques secondes, puis se met à ramper vers la jeune femme ; il s'agrippe au tabouret juste à côté d'elle, se hisse difficilement jusqu'à l'assise, s'accroche au rebord du bar et se dresse pitoyablement ; un oeil tuméfié, une lèvre gonflée et coupée, deux dents cassées, il lève le doigt pour attirer l'attention de la jeune femme et lui dit :
- Je suppose que tu ne suces pas, non plus ?