C'est Samedi après-midi et Zé et Ginette ont une sacrée envie d'un peu d'intimité pour une partie de jambes en l'air.
Malheureusement pour eux, Momo leur fils est dans l'appartement et comme il risque de pleuvoir, les parents ne préfèrent pas qu'il sorte.
Zé a soudain une illumination : - Momo, tu veux être gentil ? Y a des jeunes qui zonent en ce moment et je suis pas tranquille pour la voiture.
Tu veux bien aller guetter sur le balcon cinq minutes ? Comme ça, tu surveilles la Behemme et tu nous racontes tout ce qui se passe en bas !
Momo râle un peu, mais va quand même sur le balcon et commence son observation.
Pendant ce temps, les parents passent aux choses sérieuses.
Ça part bien plutôt bien et Zé entend la voix de Momo qui annonce :
- Il y a une voiture qui se fait remorquer par une dépanneuse dans le parking...
Tiens, une ambulance vient de passer à toute vitesse...
Il y a des gens qui rendent visite aux voisins d'à côté...
Y a Azid et ses potes sur le mur du Casino. Ils fument et ils rigolent...
Un moment passe puis la voix de Momo reprend : - Lili fait du vélo sur le trottoir...
Les Taffarelli sont en train de baiser...
Zé et Ginette dressent l'oreille.
Zé crie à travers la porte : - Et comment tu sais ça, toi, salopiaud ?
- Parce que leur fils est sur le balcon aussi !
Un habitué est en train de boire sa bière tranquillement dans un bar, lorsqu’un extra-terrestre fait irruption dans la salle et vient s’installer à côté de lui.
Le gars ne réagit pas, cherchant à ne rien faire qui pourrait nuire à la paix intergalactique.
L’extra-terrestre commande alors un Martini, boit la moitié de son verre, et puis soudain, il lèche son unique doigt vert et vient le coller dans l’oreille de son voisin de bar.
L’habitué s’irrite un peu de la chose, mais toujours par égards pour la paix interstellaire, il ne dit rien.
Le martien retire alors son doigt, finit son verre, et commande un nouveau Martini. Quand il en est à la moitié, une nouvelle fois, il se lèche le doigt et s’en va ensuite l’enfoncer bien profondément dans l’oreille de son voisin de bar.
L’habitué, irrité, lance :
- Hé mon gars ! Ça commence à bien faire ces histoires de doigt dans l’oreille, hein !
Mais les choses sont comme elles sont, et arrivé au milieu de son troisième verre, l’alien trempe son unique doigt dans le Martini, se l’introduit dans ce qui lui sert de bouche et CLAC, il l’enfonce en plein dans l’oreille du gars.
Cette fois, l’habitué oublie met de côté ses bonnes manières et essayant d’être aussi impressionnable que possible, il hurle :
- Ecoute résidu galactique, si tu fais ça une fois de plus, je te t’arrache les couilles !
Sans manifester la moindre réaction, l’extra-terrestre commande un quatrième Martini… et rebelote : après s’être bien léché le doigt consciencieusement, il flanque son doigt dans l’oreille du gars.
L’habitué, hors de lui, rugissant un flot d’insanités (que ma maman m’interdit de reproduire ici) plaque sa main dans l’entrejambe de l’alien dans le but de mettre sa menace à exécution. Mais, il n’y a rien ! Pas la moindre zigounette, ni même la moindre trace de zigounette… L’habitué est un petit peu perdu :
- Mon gars, si t’as pas de couille, avec quoi tu baises ?
… Et l’alien, avec un sourire malicieux, se lèche le doigt et l’introduit dans l’oreille du gars…
Une vieille légende urbaine :
Quand Neil Armstrong, l'astronaute de la mission Apollo 11, marcha sur la lune pour la première fois, il déclara :
- C'est un petit pas pour l'homme, mais un grand bond pour l'humanité.
Ce ne fut pas la seule chose qu'il déclara : Alors qu'il était en pleine conversation avec Houston, il ajouta :
- Воnnе chance Monsieur Gorsky.
Cette phrase resta une énigme très longtemps, surtout que les gars de la NASA avaient d'abord pensé que le Gorsky en question était un cosmonaute du programme russe… Mais après vérification, aucun Gorsky n'exerçait la fonction de cosmonaute ni en Russie, ni aux USA.
Pendant des années, les journalistes qui interviewaient Armstrong ne manquèrent pas de demander à chaque fois ce que le « Воnnе chance M. Gorsky » signifiait… mais sans obtenir la réponse.
Le 5 Juillet 95, alors qu'un reporter lui posait à nouveau la question, Armstrong répondit :
- Monsieur Gorsky est mort maintenant. Je vais pouvoir répondre à votre question : Lorsque j'étais gosse, j'avais l'habitude de jouer au basket dans le jardin. Un jour, la ваllе atterrit dans le jardin du voisin ; Au moment où j'allais la ramasser dans leur jardin, je suis passé devant la fenêtre de la chambre à coucher de M. et Mme Gorsky, nos voisins. Et là, j'ai pu entendre madame Gorsky qui disait à monsieur Gorsky :
- « Une fellation ? Tu veux que je te fasse une fellation ? Je t'en ferai une le jour où le gosse du voisin marchera sur la lune ! »
C'est dans le Périgord noir. Un pauvre paysan crève la faim avec toute sa famille, mais il a un trésor ! Et ce trésor, c'est son cochon. D'après lui, ce cochon est « le cochon le plus intelligent du monde »…
Un beau jour, un journaliste du quotidien local vient à apprendre qu'un cochon plus intelligent que la moyenne vit dans une ferme du voisinage. Le journaliste prend sa voiture et va se rendre compte sur place de lui même.
Lorsqu'il arrive dans la ferme, il voit les bâtiments en ruine, et se demande comment à notre époque on peut encore vivre comme ça… Puis le paysan sort de la baraque. Alors le journaliste lui demande :
- Bonjour ! Je suis journaliste au « Périgourdin On-line » et j'ai appris que vous possédiez un cochon extraordinaire.
Le pauvre paysan lui répond « c'est vrai ». Puis il siffle un coup entre ses dents, et un cochon qui n'a plus que trois pattes sort de l'étable. « C'est lui » dit le paysan.
Le journaliste voit le cochon et demande :
- Et qu'est-ce qui vous fait dire qu'il est le cochon le plus intelligent du monde ?
Le paysan répond :
- L'hiver dernier, j'étais dehors en train de réparer des clôtures et ma femme était en ville pour vendre du fromage. Notre petit bébé était à l'étage dans la maison en train de dormir dans son berceau…. lorsqu'un incendie a enflammé la maison (ma femme avait laissé son fer à repasser sur le linge). A ce moment là, le cochon a couru dans la maison, monté l'escalier, il a attrapé le bébé en prenant son bras dans sa mâchoire sans lui faire mal, puis il est redescendu et a déposé le bébé sur le sol à l'abri des flammes. Ensuite il est parti me chercher dans le pré et j'ai pu éteindre l'incendie avant qu'il n'y ait trop de dégâts.
- Wow, dit le journaliste, c'est incroyable.
- Et ce n'est pas tout ! Un jour que je travaillais la terre dans le champ d'à côté, la herse était bourrée avec de la terre et de l'herbe. Alors je met le tracteur au point mort, je descend et je commence à nettoyer sous la herse. Mais la vitesse s'est enclenchée toute seule et je me suis trouvé renversé par la herse et entraîné par l'attelage. J'ai cru que j'étais un homme mort… mais le cochon avait du sentir qu'il se passait quelque chose : Il est allé chercher une corde, a rattrapé le tracteur et la herse, m'a laissé un bout de corde, et a tiré de toutes ses forces à l'autre bout. C'est grâce à lui si je suis encore là aujourd'hui.
- C'est vraiment extraordinaire, lui répond le journaliste. Mais dites-moi, comment se fait-il qu'il n'ait plus que trois pattes ?
- Ben, quand on a un cochon aussi bon et intelligent, on ne peut pas le manger tout d'un coup.

Un cultivateur breton demeurait juste à coté de la frontière normande et son voisin d’en arrière était un normand. Les deux gars s’étaient toujours bien entendus, jusqu’à ce qu’un événement fâcheux vienne troubler cette harmonie. Le Breton avait une poule qui pondait tous les matins et il allait ramasser l’œuf frais pour son déjeuner.
Un beau matin, le Breton aperçoit sa poule sur le terrain du Normand. Elle pond son œuf et le Normand le ramasse. Le Breton sort de la maison en vitesse et demande au Normand de lui redonner l’œuf. Celui-ci refuse car, dit-il, l’œuf a été pondu sur sa propriété et lui appartient donc. Les deux hommes argumentent pendant un bon moment, jusqu’à ce que le Breton propose une solution.
- Écoute, nous en Bretagne, quand on a un litige qu’on ne peut pas régler et qu’on n’a pas de juge pour trancher, on utilise la méthode des couilles dures.
- C’est quoi ça ?!? demande le Normand.
- C’est simple, je te donne un coup de pied dans les couilles et je calcule combien de temps ça te prend pour te relever. Ensuite, tu me donnes un coup de pied dans les couilles et tu calcules combien de temps ça me prend pour me relever. Celui qui s’est relève le plus vite a gagné.
Le Normand accepte. Le Breton s’en va mettre ses bottes de construction, prend un élan en courant et donne un bon coup de pied dans les couilles du Normand. Le pauvre gars tombe par terre et hurle de douleur. Il lui faut plus de trente minutes pour se relever. Lorsque finalement il réussit à se relever, il dit :
- A mon tour maintenant.
Le Breton répond :
- Non, c’est bon. Tu peux l’garder ton œuf.