C’est un paysan qui s’est inscrit à la chorale du curé et qui explique à son voisin :
- Ça, сré bon dieu, je n’regrette pas d’avoir été m’inscrire à la chorale du curé. Ah ça ! c’est drôlement bien ! Quand on y va, le curé, il est gentil, il nous sert un petit porto. Et puis il est bon, son petit porto… Les curés, comme qui dirait, ils se démerdent toujours pour avoir des bons trucs. Après, il nous sert un petit mousseux. De temps en temps, on s’en ouvre même une caisse… quand ce n’est pas un petit blanc du Poitou, alors c’est vous dire ! Pis pour finir, des fois, on s’tape un petit marc de Bourgogne…
- Mais alors, vous chantez quand ?
- Ben le soir, quand on rentre chez nous !
États-unis d'amerique - demande d'aide d'urgence
Traitement immediat requis
Hautement confidentiel
De: george walker bush
(+1) 202.456.1414 / (+1) 202.456.1111
Fax: (+1) 202.456.2461
Chère madame, cher monsieur,
Je suis george walker bush, fils de l'ancien président des etats-unis d'amérique george herbert walker bush, et actuellement en charge de la présidence des etats-unis d'amérique.
Ce courrier peut vous surprendre dans la mesure où je n'ai jamais eu l'honneur ni de vous rencontrer, ni d'échanger quelque correspondance que ce soit avec vous. Je me permets toutefois de m'adresser à vous, étant en quête d'une personne honorable et digne de confiance pour mener à bien une transaction financière hautementconfidentielle qui nécessite le transfert d'une très importante somme d'argent sur un compte anonyme.
Je vous écris sous le sceau du secret pour requérir votre assistance pour l'acquisition de fonds pétroliers actuellement bloqués en république d'irak.
Mes partenaires et moi-même sollicitons votre aide pour achever une transaction initiée par mon père, qui a travaillé, des années durant, dans l'industrie pétrolière américaine et a servi son pays avec bravoure en tant que directeur de la cia, l'agence centrale d'information des etats-unis.
Durant les années 80, mon père, alors vice-président des etats-unis d'amérique, a cherché à se concilier les bons offices du président de la république d'irak
Pour compenser la perte de la source de revenus pétroliers dans la république d'iran voisine.
Cette initiative, hélas infructueuse, s'est soldée par une brouille avec son partenaire irakien, qui a alors lui-même recherché des sources supplémentaires de revenus pétroliers dans l'emirat du koweit voisin, filiale à 100% des etats-unis d'amérique et du royaume-uni.
Mon père a resécurisé les actifs pétroliers du koweit en 1991, moyennant un coût de 61 milliards de dollars (us dollars 61,000,000,000).
Sur cette somme, 36 milliards de dollars (us dollars 36,000,000,000) ont été financés par ses partenaires du royaume d'arabie saoudite et des autres monarchies du golfe persique, et 16 milliards de dollars (us dollars 16,000,000,000) par ses partenaires allemands et japonais.
Mais les anciens partenaires d'affaires irakiens de mon père ainsi que les réserves irakiennes sont restés sous le contrôle de la république d'irak.
Ma famille sollicite votre aide d'urgence pour financer le remplacement du président de la république d'irak et prendre possession des actifs pétroliers de son pays en dédommagement des coûts occasionnés par cette opération de destitution.
Malheureusement, nos partenaires de 1991 n'ont pas manifesté la volonté de prendre à leur charge les coûts financiers de cette nouvelle entreprise qui, dans la phase à venir, pourrait coûter entre 100 et 200 milliards de dollars (us dollars 100,000,000,000 - us dollars 200,000,000,000), à la fois pour l'acquisition initiale et pour la gestion à long terme.
Sans les fonds de nos partenaires de 1991, nous ne serions pas en mesure d'acquérir les revenus pétroliers bloqués en irak. C'est pourquoi ma famille et nos collègues sollicitent de toute urgence votre aide grâcieuse.
Nos distingués collègues, dans cette transaction financière, sont notamment le vice-président en exercice des etats-unis d'amérique, richard cheney, partenaire initial de l'affaire irakienne et ancien président de la compagnie pétrolière halliburton, et condoleeza rice, dont le dévouement professionnel pour nos affaires est tel que chevron a donné son nom a un de ses navires pétroliers.
Je vous implore de bien vouloir transférer l'équivalent de dix à vingt-cinq pour cent (10 à 25%) de vos revenus annuels sur notre compte pour soutenir cette importante entreprise.
Le service des impôts des etats-unis d'amérique sera en cette occasion notre intermédiaire de confiance. Je vous propose de faire ce transfert avant le 15 avril de l'année en cours. J'ai conscience qu'une transaction de cette ampleur a de quoi inquiéter voire effrayer n'importe qui. Mais je puis vous assurer que tout se passera pour le mieux.
Je puis également vous assurer que l'audace réussit à ceux qui savent profiter des occasions. Sachez que cette transaction financière est 100% légale.
Si vous ne désirez pas participer à cette opération, veuillez prendre contact avec nos intermédiaires pour discuter plus avant du sujet.
Je prie pour que vous compreniez notre situation critique. Ma famille et nos collègues vous en serons éternellement reconnaissants.
S'il vous plait, appelez en toute confiance les numéros de téléphone ci-dessous.
Sincèrement votre
George walker bush
Standard: (+1) 202.456.1414
Commentaires: (+1) 202.456.1111
Fax: (+1) 202.456.2461
Email: president@whitehouse. Gov
Une dame aimant beaucoup les chiens, et dont la chienne était en chaleur, accepta de s'occuper du chien de ses voisins, tandis que ceux-ci étaient en vacances.
Elle avait une grande maison et croyait qu'elle pouvait garder les deux chiens à l'écart l'un de l'autre. Cependant, le premier soir, comme elle commençait à s'endormir, elle entendit des cris et des gémissements, des sons affreux.
Elle se précipita en bas et trouva les deux chiens joints ensemble, dans une douleur évidente et incapable de se désengager, comme il arrive souvent lorsque les chiens s'accouplent… Impossible de les séparer, et perplexe quant à ce qu'il fallait faire ensuite, elle appela un autre de ses voisins, vétérinaire.
Bien qu'il fût таrd, il répondit d'une voix très grincheuse. Après qu'elle lui eut expliqué le problème, le vétérinaire lui suggéra :
- Raccrochez le téléphone et placez-le près des chiens. Je vais vous rappeler, et le bruit de la sonnerie fera perdre l'érection au mâle, et il sera ainsi en mesure de se retirer.
- Pensez-vous que cela fonctionnera ? demanda-t-elle.
- Ça vient juste de fonctionner pour moi…
Le type sociable :
=> Il se joint à ses amis pour une рissе qu'il en sente le besoin ou pas, étant donné que ça coûte rien et que ça engendre la compréhension.
Le type gêné :
=> Ne peut рissеr quand on le regarde, prétend qu'il a déjà eu envie et revient plus таrd.
Le type nerveux :
=> Sa braguette bloque, il se fâche et déchire le devant de son pantalon.
Le type bruyant :
=> Il siffle, chante, rote, pète et parle fort tout en se secouant.
Le type stupide :
=> Рissе dans la jambe de son pantalon, mouille ses souliers et sort la braguette ouverte.
Le type talentueux :
=> Il рissе sans se la tenir tout en arrangeant sa cravate.
Le type lunatique :
=> Il déboutonne sa veste, sort sa cravate et urinе dans son pantalon.
Le type enfantin :
=> Regarde le fond de l'urinoir et admire les bulles.
Le type vantard :
=> Défait cinq boutons alors que deux suffiraient.
Le type niais :
=> S'amuse à faire des zigzags dans l'urinoir.
Le type curieux :
=> Essaie toujours de voir comment son voisin est équipé.
Le type grognon :
=> Il se tient devant l'urinoir tout en se parlant, pète, essaie de рissеr mais n'y parvient pas. Pète à nouveau et sort en grognant.
Le type hypocrite :
=> Lâche un pet silencieux, renifle et jette un regard accusateur vers son voisin.
Le type snob :
=> Se tient à 1 mètre de l'urinoir et tient sa verge à deux mains.
Le type très gros :
=> Doit se reculer à plus d'un mètre de l'urinoir à cause de son ventre, рissе « en aveugle » et mouille les chaussures de son voisin.
Le type nain :
=> Va à la pissotière avec un escabeau, tombe dans l'urinoir et se noie.
Le type gros dur tatoué :
=> Frappe sa bite sur le bord de l'urinoir pour l'égoutter.
Le type cochon :
=> Trouvant tous les urinoirs occupés рissе par terre comme si rien n'était.
Le type endormi :
=> Secoue son petit ami pour le réveiller mais n'y parvient pas.
Le type loucheur :
=> Se place devant l'urinoir, regarde celui de gauche et рissе dans celui de droite.
Le type prétentieux :
=> Tient sa chose comme si c'était un monstre. Son voisin le croit monté comme un âne. Se prend la bite dans la fermeture éclair et sor des pissotières en criant.
Le type joueur :
=> Рissе en jet à haute pression dans et autour de l'urinoir dans le but d'atteindre une mouche.
Un problème vu sous différentes politiques, par référence aux vaches.
Féodalisme :
Vous avez deux vaches. Votre seigneur prend un peu de lait.
Socialisme pur et dur :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend et les met dans une étable avec les vaches d'autres éleveurs. Vous devez entretenir toutes les vaches. Le gouvernement vous donne tout le lait dont vous avez besoin. SOCIALISME
Bureaucratique :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend et les met dans une étable avec les vaches d'autres éleveurs. Les vaches sont entretenues par des ex-éleveurs de volailles. Vous, vous devez vous occuper des volailles qui ont été prises aux éleveurs de volailles. Ensuite le gouvernement vous donne la même quantité d'œufs et de lait qu'à tout le monde.
Fascisme :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend, vous loue pour prendre soin d'elles, et vous vend le lait.
Communisme pur et dur :
Vous avez deux vaches. Votre voisin vous aide à les entretenir, et vous partagez le lait.
Communisme soviétique :
Vous avez deux vaches. Vous devez les entretenir, mais le gouvernement prend le lait.
Communisme cambodgien :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement les prend et vous tue.
Dictature :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement les prend et vous incorpore dans l'armée nationale.
Démocratie pure et dure :
Vous avez deux vaches. Vos voisins décident de qui prend le lait.
Démocratie représentative :
Vous avez deux vaches. Vos voisins élisent quelqu'un pour choisir qui prendra le lait.
Bureaucratie (européanisme) :
Vous avez deux vaches. D'abord le gouvernement vous dit avec quoi vous devez les nourrir et comment vous devez les traire. Puis il vous paie pour ne pas les traire. Puis il vous prend les deux vaches, en tue une, traie l'autre et jette le lait dans le caniveau. Puis il vous demande de remplir des formulaires pour comptabiliser les vaches manquantes.
Anarchie pure et dure :
Vous avez deux vaches. Ou bien vous vendez le lait à un tout petit prix, ou bien vos voisins essaient de prendre les vaches et de vous tuer.
Surréalisme :
Vous avez deux girafes. Le gouvernement vous oblige à prendre des cours d'harmonica.
Olympisme :
Vous avez deux vaches, une américaine et une chinoise. Avant la compétition, on vous montre à la télé un reportage de 15 minutes qui retrace comment la vache américaine a surmonté les affres d'une jeunesse passée dans les ghettos noirs et blancs, avec des parents divorcés etc... Puis on vous montre pendant 10 secondes la vache chinoise battue chaque jour par un fermier tyrannique et ayant vu ses parents abattus, dépecés et découpés devant ses yeux.
La vache américaine gagne l'épreuve, triomphant malgré une sévère foulure de la mamelle, et gagne plusieurs millions de dollars grâce à un contrat passé avec un vendeur de soja.
La vache chinoise est conduite hors du stade et abattue par les officiels du gouvernement chinois, et personne n'entend plus parler d'elle.
McDonald achète sa viande et la sert dans les Big Mac de son restaurant de Pékin.
C’est une blonde qui s’aperçoit qu’elle n’a pas de photo de sa petite сhатте qu’elle adore…
- Mon Dieu, se dit-elle. Cette pauvre bête commence à se faire vieille et je n’ai même pas de photo d’elle. Comment je pourrais faire pour avoir une photo de minette ?
Alors elle va demander conseil à une brune, sa voisine, qui lui dit :
- J’ai un ami à la rue Ducon qui est photographe. Tu y vas avec le métro et il se fera un plaisir de te tirer le portrait de ta сhатте. Il n’y a pas de problème !
- Oh très bien, merci !
La blonde prend le métro avec minette dans le panier, elle descend rue Ducon, et là, elle a un petit trou de mémoire (normal, pour une blonde) :
- Qu’est-ce qu’elle m’a dit déjà, la voisine ? D’aller chez le… oh zuт, je sais seulement que ça se termine par « graphe » !
Tout à coup, sur un panneau, elle voit écrit télégraphe. Ça doit être ça ! Alors elle entre, se dirige vers le guichet et dit :
- Bonjour monsieur. Voilà, je voudrais que vous me fassiez minette !
- Pardon ? Qu’est-ce que vous voulez ?
- Je voudrais minette dans toutes les positions, debout, assise et couchée.
Le type réfléchit un moment et lui répond :
- Bon, posez votre cul sur le guichet. Je vais chercher du renfort !
C’est l’histoire de trois couples d’amis qui partent à Paris pour fêter le réveillon de la nouvelle année.
Malheureusement pour eux, ils s’y sont pris un peu trop таrd et lorsqu’ils arrivent dans la capitale, tous les hôtels sont complets. En fait ce n’est pas tout à fait exact : un petit hôtel dispose de deux chambres mais avec seul lit par chambre.
Nos compères, finalement très heureux d’avoir quand même trouvé un endroit où dormir s’installent en faisant une répartition par sexe : les trois filles dormiront dans le lit de la première chambre, et les trois garçons dans le lit de l’autre chambre.
Ensuite, ils partent faire la fiesta au Trocadéro. Puis, aux petites heures de l’aube, ils rentrent à l’hôtel.
Sur le coup des 10 heures du matin, l’homme qui dort au milieu du lit tape sur le dos d’un de ses voisins. L’autre lui demande :
- Mais... qu’est-ce qu’il y a ?!
- Il faut que j’aille retrouver ma femme, répond le premier à voix basse.
- Et pourquoi donc ? Ne me dis pas que tu veux la tringler à cette heure-ci ?!
- Ben si, j’ai la plus grosse érection que j’ai jamais eue et je ne voudrais pas regretter de ne pas en avoir profité, surtout un jour comme aujourd’hui…
- Dans ce cas, emmène-moi avec toi, répond l’autre.
- T’emmener ? Je fais pas encore dans l’échangisme tu sais. Pourquoi devrais-je t’emmener ?
- Parce que c’est MA bite que tu tiens dans ta main !
Un juif religieux se demande un jour si les relations sexuelles sont vraiment compatibles avec le Shabbat. Il a peur que ce soit un péché, n'étant pas absolument sûr que ce soit un jeu et non un travail.
Son voisin de palier est un prêtre catholique, et il va lui demander ce qu'il en pense. Le prêtre réfléchit quelques instants, consulte plusieurs ouvrages aussi volumineux que poussiéreux et finit par lui répondre :
- Mon fils, tout ce que j'ai trouve concorde à laisser penser que l'œuvre de chair étant un devoir, c'est assimilé à un travail. J'ai bien peur que vous ne puissiez donc la pratiquer durant le Shabbat.
Un peu refroidi, l'homme se dit in petto :
- Pufff… Qu'est-ce que je suis bête d'être allé poser cette question à un prêtre catholique. Qu'est-ce qu'il sait sur le sexe, après tout ?
Il décide donc d'aller demander à un pasteur protestant de ses amis ce qu'il en pense. Après tout, le pasteur est marié, et en sait certainement plus qu'un prêtre voué au célibat. Il va donc le voir et lui demande son avis. Après mûre réflexion et force trifouillages dans des in-folio vénérables, le pasteur lui répond :
- Malgré quelques références contradictoires, je crains que les relations sexuelles ne relèvent du travail, les rendant par la même incompatibles avec le Shabbat.
De plus en plus agité, il décide de faire ce qu'il aurait du faire depuis le début, et interroger le rabbin. Après tout, c'est lui, le spécialiste du Shabbat. Il prend donc son courage à deux mains, traverse la moitié de la ville, et va poser sa question au rabbin.
Le rabbin n'a nul besoin de consulter quelque ouvrage que ce soit. Il lui répond immédiatement :
- Ne t’inquiète pas, il n'y a aucun doute : les relations sexuelles sont un jeu, pas un travail.
Notre homme, soulagé, est tout de même curieux de la raison qui donne une telle certitude au rabbin.
- Mais rabbin, pourquoi êtes vous sûr que c'est un jeu et non un travail, alors que beaucoup d'autres soutiennent le contraire ?
Le Rabbin répond doucement :
- Si c’était un travail, ma femme demanderait à la воnnе de s'en occuper…