États-unis d'amerique - demande d'aide d'urgence
Traitement immediat requis
Hautement confidentiel
De: george walker bush
(+1) 202.456.1414 / (+1) 202.456.1111
Fax: (+1) 202.456.2461
Chère madame, cher monsieur,
Je suis george walker bush, fils de l'ancien président des etats-unis d'amérique george herbert walker bush, et actuellement en charge de la présidence des etats-unis d'amérique.
Ce courrier peut vous surprendre dans la mesure où je n'ai jamais eu l'honneur ni de vous rencontrer, ni d'échanger quelque correspondance que ce soit avec vous. Je me permets toutefois de m'adresser à vous, étant en quête d'une personne honorable et digne de confiance pour mener à bien une transaction financière hautementconfidentielle qui nécessite le transfert d'une très importante somme d'argent sur un compte anonyme.
Je vous écris sous le sceau du secret pour requérir votre assistance pour l'acquisition de fonds pétroliers actuellement bloqués en république d'irak.
Mes partenaires et moi-même sollicitons votre aide pour achever une transaction initiée par mon père, qui a travaillé, des années durant, dans l'industrie pétrolière américaine et a servi son pays avec bravoure en tant que directeur de la cia, l'agence centrale d'information des etats-unis.
Durant les années 80, mon père, alors vice-président des etats-unis d'amérique, a cherché à se concilier les bons offices du président de la république d'irak
Pour compenser la perte de la source de revenus pétroliers dans la république d'iran voisine.
Cette initiative, hélas infructueuse, s'est soldée par une brouille avec son partenaire irakien, qui a alors lui-même recherché des sources supplémentaires de revenus pétroliers dans l'emirat du koweit voisin, filiale à 100% des etats-unis d'amérique et du royaume-uni.
Mon père a resécurisé les actifs pétroliers du koweit en 1991, moyennant un coût de 61 milliards de dollars (us dollars 61,000,000,000).
Sur cette somme, 36 milliards de dollars (us dollars 36,000,000,000) ont été financés par ses partenaires du royaume d'arabie saoudite et des autres monarchies du golfe persique, et 16 milliards de dollars (us dollars 16,000,000,000) par ses partenaires allemands et japonais.
Mais les anciens partenaires d'affaires irakiens de mon père ainsi que les réserves irakiennes sont restés sous le contrôle de la république d'irak.
Ma famille sollicite votre aide d'urgence pour financer le remplacement du président de la république d'irak et prendre possession des actifs pétroliers de son pays en dédommagement des coûts occasionnés par cette opération de destitution.
Malheureusement, nos partenaires de 1991 n'ont pas manifesté la volonté de prendre à leur charge les coûts financiers de cette nouvelle entreprise qui, dans la phase à venir, pourrait coûter entre 100 et 200 milliards de dollars (us dollars 100,000,000,000 - us dollars 200,000,000,000), à la fois pour l'acquisition initiale et pour la gestion à long terme.
Sans les fonds de nos partenaires de 1991, nous ne serions pas en mesure d'acquérir les revenus pétroliers bloqués en irak. C'est pourquoi ma famille et nos collègues sollicitent de toute urgence votre aide grâcieuse.
Nos distingués collègues, dans cette transaction financière, sont notamment le vice-président en exercice des etats-unis d'amérique, richard cheney, partenaire initial de l'affaire irakienne et ancien président de la compagnie pétrolière halliburton, et condoleeza rice, dont le dévouement professionnel pour nos affaires est tel que chevron a donné son nom a un de ses navires pétroliers.
Je vous implore de bien vouloir transférer l'équivalent de dix à vingt-cinq pour cent (10 à 25%) de vos revenus annuels sur notre compte pour soutenir cette importante entreprise.
Le service des impôts des etats-unis d'amérique sera en cette occasion notre intermédiaire de confiance. Je vous propose de faire ce transfert avant le 15 avril de l'année en cours. J'ai conscience qu'une transaction de cette ampleur a de quoi inquiéter voire effrayer n'importe qui. Mais je puis vous assurer que tout se passera pour le mieux.
Je puis également vous assurer que l'audace réussit à ceux qui savent profiter des occasions. Sachez que cette transaction financière est 100% légale.
Si vous ne désirez pas participer à cette opération, veuillez prendre contact avec nos intermédiaires pour discuter plus avant du sujet.
Je prie pour que vous compreniez notre situation critique. Ma famille et nos collègues vous en serons éternellement reconnaissants.
S'il vous plait, appelez en toute confiance les numéros de téléphone ci-dessous.
Sincèrement votre
George walker bush
Standard: (+1) 202.456.1414
Commentaires: (+1) 202.456.1111
Fax: (+1) 202.456.2461
Email: president@whitehouse. Gov
Une dame aimant beaucoup les chiens, et dont la chienne était en chaleur, accepta de s'occuper du chien de ses voisins, tandis que ceux-ci étaient en vacances.
Elle avait une grande maison et croyait qu'elle pouvait garder les deux chiens à l'écart l'un de l'autre. Cependant, le premier soir, comme elle commençait à s'endormir, elle entendit des cris et des gémissements, des sons affreux.
Elle se précipita en bas et trouva les deux chiens joints ensemble, dans une douleur évidente et incapable de se désengager, comme il arrive souvent lorsque les chiens s'accouplent… Impossible de les séparer, et perplexe quant à ce qu'il fallait faire ensuite, elle appela un autre de ses voisins, vétérinaire.
Bien qu'il fût таrd, il répondit d'une voix très grincheuse. Après qu'elle lui eut expliqué le problème, le vétérinaire lui suggéra :
- Raccrochez le téléphone et placez-le près des chiens. Je vais vous rappeler, et le bruit de la sonnerie fera perdre l'érection au mâle, et il sera ainsi en mesure de se retirer.
- Pensez-vous que cela fonctionnera ? demanda-t-elle.
- Ça vient juste de fonctionner pour moi…
Le type sociable :
=> Il se joint à ses amis pour une рissе qu'il en sente le besoin ou pas, étant donné que ça coûte rien et que ça engendre la compréhension.
Le type gêné :
=> Ne peut рissеr quand on le regarde, prétend qu'il a déjà eu envie et revient plus таrd.
Le type nerveux :
=> Sa braguette bloque, il se fâche et déchire le devant de son pantalon.
Le type bruyant :
=> Il siffle, chante, rote, pète et parle fort tout en se secouant.
Le type stupide :
=> Рissе dans la jambe de son pantalon, mouille ses souliers et sort la braguette ouverte.
Le type talentueux :
=> Il рissе sans se la tenir tout en arrangeant sa cravate.
Le type lunatique :
=> Il déboutonne sa veste, sort sa cravate et urinе dans son pantalon.
Le type enfantin :
=> Regarde le fond de l'urinoir et admire les bulles.
Le type vantard :
=> Défait cinq boutons alors que deux suffiraient.
Le type niais :
=> S'amuse à faire des zigzags dans l'urinoir.
Le type curieux :
=> Essaie toujours de voir comment son voisin est équipé.
Le type grognon :
=> Il se tient devant l'urinoir tout en se parlant, pète, essaie de рissеr mais n'y parvient pas. Pète à nouveau et sort en grognant.
Le type hypocrite :
=> Lâche un pet silencieux, renifle et jette un regard accusateur vers son voisin.
Le type snob :
=> Se tient à 1 mètre de l'urinoir et tient sa verge à deux mains.
Le type très gros :
=> Doit se reculer à plus d'un mètre de l'urinoir à cause de son ventre, рissе « en aveugle » et mouille les chaussures de son voisin.
Le type nain :
=> Va à la pissotière avec un escabeau, tombe dans l'urinoir et se noie.
Le type gros dur tatoué :
=> Frappe sa bite sur le bord de l'urinoir pour l'égoutter.
Le type cochon :
=> Trouvant tous les urinoirs occupés рissе par terre comme si rien n'était.
Le type endormi :
=> Secoue son petit ami pour le réveiller mais n'y parvient pas.
Le type loucheur :
=> Se place devant l'urinoir, regarde celui de gauche et рissе dans celui de droite.
Le type prétentieux :
=> Tient sa chose comme si c'était un monstre. Son voisin le croit monté comme un âne. Se prend la bite dans la fermeture éclair et sor des pissotières en criant.
Le type joueur :
=> Рissе en jet à haute pression dans et autour de l'urinoir dans le but d'atteindre une mouche.
1...2...3.... C'est parti !!!!!!
Exercice 1 :
Enfilez un peignoir et fixez-vous un sac rempli de haricots sur le ventre. Au terme des neuf mois, ôtez seulement 10% de son contenu, filez chez le pharmacien, videz votre portefeuille sur le comptoir et invitez-le à se servir. Ensuite, allez au supermarché et demandez que votre salaire soit automatiquement viré sur le compte du magasin.
Exercice 2 :
Pour avoir un aperçu de vos futures soirées, arpentez le salon de 17 à 22 heures en portant un sac humide pesant entre 4 et 6 kilos. A 22 heures posez le sac, réglez votre réveil à minuit et allez-vous coucher. A minuit, relevez-vous et marchez à nouveau dans le salon avec le sac pendant une heure. Réglez le réveil à 3 heures... Impossible de fermer l'œil, bien sûr, alors relevez-vous à 2 heures et servez-vous un verre. Retournez au lit à 2 heures 45. Quand le réveil sonne, un quart d'heure plus таrd, debout ! Chantez des berceuses dans le noir jusqu'à 4 heures. Réglez le réveil à 5 heures. Levez-vous, préparez le petit déjeuner. Maintenez ce rythme pendant 5 ans... dans la joie et la воnnе humeur !
Exercice 3 :
Evidez un melon et percez dans la peau un petit trou de la taille d'une ваllе de golf. Suspendez-le au plafond avec une ficelle et faites-le balancer de gauche à droite. Prenez un bol de bouillie, bien liquide, et essayez de nourrir le « melon » toujours en mouvement, en jouant à l'avion avec une cuillère. Continuez jusqu'à ce que le bol soit à moitié vide ; versez le reste... sur vos genoux... bravo ! vous savez maintenant faire manger un bébé ! Pour avoir une idée de ce qui se passera lorsqu'il commencera à marcher, étalez de la confiture sur le canapé et sur les rideaux ; dissimulez un bâtonnet de poisson surgelé derrière la chaîne Hi-fi et laissez-le là un mois ou deux...
Exercice 4 :
Habiller les tout-petits n'est pas une partie de plaisir. Commencez donc par acheter une pieuvre et un filet à provisions : essayez de glisser la pieuvre dans le filet sans qu’aucun tentacule ne dépasse... temps prévu : la matinée ...
Exercice 5 :
Dites adieu à votre cabriolet au profit d'un break. Mais n'espérez pas garder la voiture propre et étincelante comme au premier jour. Les familiales ne sont jamais propres et étincelantes. Achetez donc une glace à la vanille et oubliez-la dans la boite à gants. Puis enfoncez une pièce de deux euros dans le lecteur de CD ou de cassettes. Ecrasez un paquet entier - familial, bien sûr - de biscuits au chocolat sur les sièges arrière. Enfin, rayez chaque côté du véhicule à l'aide d'un râteau. Là ... parfait !
Exercice 6 :
Préparez-vous à sortir. Attendez une demi-heure à la porte des toilettes. Sortez de chez vous. Rentrez. Ressortez. Rentrez de nouveau. Ressortez et dirigez-vous vers la voiture. Revenez sur vos pas. Puis allez à nouveau jusqu'à la voiture. Marchez sur le trottoir très lentement pendant cinq minutes. Inspectez minutieusement le moindre mégot de cigarette, bout de chewing-gum, mouchoir en papier, insecte mort, ... Refaites le même chemin en sens inverse. Vous n'en pouvez plus d'attendre ? Criez-le jusqu'à ce que vos voisins viennent tous à la fenêtre. Très bien : désormais, vous savez ce que c'est de partir en promenade avec le petit ...
Exercice 7 :
Allez au supermarché en emmenant ce qui se rapproche le plus d'un enfant en bas âge - une chèvre adulte, de préférence - Si vous avez l'intention d'avoir plusieurs enfants, prenez plusieurs chèvres. Faites vos courses sans les perdre de vue et payez tout ce qu'elles auront cassé ou dévoré...
Exercice 8 :
Apprenez le nom de tous les héros favoris des enfants. Le jour où vous vous surprendrez à chanter une chanson des Minikeums dans votre bain, c'est bon, vous aurez gagné votre titre de parent !
Exercice 9 :
Répétez tout ce que vous dites au moins cinq fois.
Exercice 10 :
Une dernière recommandation : avant de faire des enfants, allez voir tout d'abord des amis qui en ont déjà. Critiquez abondamment leur méthode d'éducation, leur manque de patience ou d'autorité. Permettez-vous aussi de donner des conseils sur l'heure du coucher, le рот, les bonnes manières à table, etc… En un mot, aidez-les à résoudre leurs problèmes, et profitez-en bien : c'est la dernière fois de votre vie que vous détiendrez les solutions.
C’est une blonde qui s’aperçoit qu’elle n’a pas de photo de sa petite сhатте qu’elle adore…
- Mon Dieu, se dit-elle. Cette pauvre bête commence à se faire vieille et je n’ai même pas de photo d’elle. Comment je pourrais faire pour avoir une photo de minette ?
Alors elle va demander conseil à une brune, sa voisine, qui lui dit :
- J’ai un ami à la rue Ducon qui est photographe. Tu y vas avec le métro et il se fera un plaisir de te tirer le portrait de ta сhатте. Il n’y a pas de problème !
- Oh très bien, merci !
La blonde prend le métro avec minette dans le panier, elle descend rue Ducon, et là, elle a un petit trou de mémoire (normal, pour une blonde) :
- Qu’est-ce qu’elle m’a dit déjà, la voisine ? D’aller chez le… oh zuт, je sais seulement que ça se termine par « graphe » !
Tout à coup, sur un panneau, elle voit écrit télégraphe. Ça doit être ça ! Alors elle entre, se dirige vers le guichet et dit :
- Bonjour monsieur. Voilà, je voudrais que vous me fassiez minette !
- Pardon ? Qu’est-ce que vous voulez ?
- Je voudrais minette dans toutes les positions, debout, assise et couchée.
Le type réfléchit un moment et lui répond :
- Bon, posez votre cul sur le guichet. Je vais chercher du renfort !
C’est l’histoire de trois couples d’amis qui partent à Paris pour fêter le réveillon de la nouvelle année.
Malheureusement pour eux, ils s’y sont pris un peu trop таrd et lorsqu’ils arrivent dans la capitale, tous les hôtels sont complets. En fait ce n’est pas tout à fait exact : un petit hôtel dispose de deux chambres mais avec seul lit par chambre.
Nos compères, finalement très heureux d’avoir quand même trouvé un endroit où dormir s’installent en faisant une répartition par sexe : les trois filles dormiront dans le lit de la première chambre, et les trois garçons dans le lit de l’autre chambre.
Ensuite, ils partent faire la fiesta au Trocadéro. Puis, aux petites heures de l’aube, ils rentrent à l’hôtel.
Sur le coup des 10 heures du matin, l’homme qui dort au milieu du lit tape sur le dos d’un de ses voisins. L’autre lui demande :
- Mais... qu’est-ce qu’il y a ?!
- Il faut que j’aille retrouver ma femme, répond le premier à voix basse.
- Et pourquoi donc ? Ne me dis pas que tu veux la tringler à cette heure-ci ?!
- Ben si, j’ai la plus grosse érection que j’ai jamais eue et je ne voudrais pas regretter de ne pas en avoir profité, surtout un jour comme aujourd’hui…
- Dans ce cas, emmène-moi avec toi, répond l’autre.
- T’emmener ? Je fais pas encore dans l’échangisme tu sais. Pourquoi devrais-je t’emmener ?
- Parce que c’est MA bite que tu tiens dans ta main !
Un juif religieux se demande un jour si les relations sexuelles sont vraiment compatibles avec le Shabbat. Il a peur que ce soit un péché, n'étant pas absolument sûr que ce soit un jeu et non un travail.
Son voisin de palier est un prêtre catholique, et il va lui demander ce qu'il en pense. Le prêtre réfléchit quelques instants, consulte plusieurs ouvrages aussi volumineux que poussiéreux et finit par lui répondre :
- Mon fils, tout ce que j'ai trouve concorde à laisser penser que l'œuvre de chair étant un devoir, c'est assimilé à un travail. J'ai bien peur que vous ne puissiez donc la pratiquer durant le Shabbat.
Un peu refroidi, l'homme se dit in petto :
- Pufff… Qu'est-ce que je suis bête d'être allé poser cette question à un prêtre catholique. Qu'est-ce qu'il sait sur le sexe, après tout ?
Il décide donc d'aller demander à un pasteur protestant de ses amis ce qu'il en pense. Après tout, le pasteur est marié, et en sait certainement plus qu'un prêtre voué au célibat. Il va donc le voir et lui demande son avis. Après mûre réflexion et force trifouillages dans des in-folio vénérables, le pasteur lui répond :
- Malgré quelques références contradictoires, je crains que les relations sexuelles ne relèvent du travail, les rendant par la même incompatibles avec le Shabbat.
De plus en plus agité, il décide de faire ce qu'il aurait du faire depuis le début, et interroger le rabbin. Après tout, c'est lui, le spécialiste du Shabbat. Il prend donc son courage à deux mains, traverse la moitié de la ville, et va poser sa question au rabbin.
Le rabbin n'a nul besoin de consulter quelque ouvrage que ce soit. Il lui répond immédiatement :
- Ne t’inquiète pas, il n'y a aucun doute : les relations sexuelles sont un jeu, pas un travail.
Notre homme, soulagé, est tout de même curieux de la raison qui donne une telle certitude au rabbin.
- Mais rabbin, pourquoi êtes vous sûr que c'est un jeu et non un travail, alors que beaucoup d'autres soutiennent le contraire ?
Le Rabbin répond doucement :
- Si c’était un travail, ma femme demanderait à la воnnе de s'en occuper…
C'est l'histoire d'Abraham qui vient d’emménager dans une bourgade très catholique.
Et depuis qu'Abraham s'est installé à côté de l'église, tous les vendredi parmi les grenouilles de bénitier, c'est le branle-bas de combat parce que, au lieu de manger tout bonnement du poisson comme tout le monde, Abraham fait des steaks au barbecue dans son jardin.
Pas décidés à s'en laisser compter, les cathos du coin décident de convertir le juif au catholicisme. C'est dur, mais finalement, à force de menaces et de supplications, ils réussissent ; ils emmènent Abraham chez le curé qui lui balance quelques gouttes d'eau bénite sur le crâne et qui psalmodie :
- « Tu es né juif
Tu as été élevé comme un juif
Tu es maintenant un catholique. »
À la fin de la cérémonie, c'est la liesse parmi les cathos. Ils pensent :
- « Enfin ! Nous n'aurons plus à respirer ces odeurs de viande grillée le jour du poisson ! »
Mais le vendredi suivant, l'odeur du barbecue et de la viande grillée flotte dans tout le voisinage. Tous les cathos foncent directement chez Abraham pour lui rappeler à quel régime alimentaire il est censé souscrire le vendredi… Et ils le voient dans le jardin, en train d'arroser une entrecôte d'un peu d'eau et disant :
- « Tu es né vache
Tu as été élevé comme une vache
Tu es maintenant du poisson. »
… et Dieu a dit à Noé :
- « Dans 6 mois, je vais faire tomber la pluie jusqu'à ce que toute la terre en soit recouverte et que tous les gens soient noyés. Par contre, je veux sauver quelques bonnes personnes et un couple de chaque espèce vivante sur la planète. Alors je te demande de me construire une arche. »
Et Dieu dit à Noé les spécifications qu'il voulait pour l'arche.
- « D'accord », dit Noé, tremblant de peur.
- « Six mois et il va commencer à pleuvoir », répéta Dieu, « Il vaudrait mieux que tu aies terminé mon arche ou alors apprends à nager ! »
Six mois passèrent, le ciel devint noir et la pluie commença à tomber. Dieu aperçu Noé, en larme, assis sur la pelouse, mais il n'y avait pas d'arche.
- « Noé!!! », s'écria Dieu, « Où est mon arche ? »
Un énorme éclair s’abattit tout près de Noé.
- « Dieu, je t'en prie, pardonne-moi ! », pleurnicha Noé, « J'ai fait mon possible, mais j'ai eu de gros problèmes :
- Premièrement, il a fallu que j'obtienne un permis de construire pour le projet de construction de l'arche, et vos plans n'étaient pas conformes au code. J'ai dû engager un ingénieur pour redessiner les plans.
- Deuxièmement, il y a eu de longues discussions à savoir s'il fallait ou non installer un système d'aspersion en cas d'incendie sur l'arche.
- Troisièmement, mon voisin s'est opposé à mon projet, alléguant que je violais la lois sur les zones constructibles en bâtissant mon arche sur mon propre terrain et j'ai dû obtenir une approbation de changement de zone par la commission d'urbanisme de la ville.
- Quatrièmement, j'ai eu bien du mal à trouver tout le bois nécessaire à la construction de l'arche car il y a des restrictions dans la coupe de bois, afin de sauver les hiboux qui sont en voie de disparition. Il a donc fallu que je convainque le ministère de l'environnement que j'avais besoin de ce bois, justement pour sauver les hiboux. De plus, ils n'ont pas voulu me laisser attraper un couple de hiboux. Alors, pas de hiboux.
- Cinquièmement, les menuisiers ont formé un syndicat et ont fait la grève. J'ai dû négocier les conditions de travail avant qu'ils acceptent d'utiliser leur scie et leur marteau. Maintenant, nous avons 16 menuisiers sur le bateau, mais nous n'avons pas encore de hiboux.
- Sixièmement, j'ai commencé à capturer les animaux, mais un groupe écologiste et de protection des animaux m'est tombé dessus. Ils s'opposaient au fait que je capture seulement 2 animaux de chaque espèce. Après un long moment, j'ai fini par m'en débarrasser.
- Septièmement, au moment où tout semblait rentrer dans l'ordre, j'ai reçu une note du ministère de l'environnement disant que je ne pouvais pas construire l'arche tant que je n'aurais pas rempli un formulaire gouvernemental à propos de l'inondation prévue. Ils ne furent pas très réceptif au projet disant que l'on ne pouvait pas prévoir le comportement de Dame Nature.
- Huitièmement, des ingénieurs vinrent me demander une carte détaillant les endroits où devait se produire l'inondation. Je leur ai donné un globe terrestre.
Et maintenant, j’essaie de résoudre la plainte déposée par le ministère de l'Emploi et de l'Immigration concernant le nombre de Croates que je serais supposé engagé.
Le gouvernement m'a enlevé tout mon équipement prétextant que j'essayais d'éviter de payer les taxes en quittant le pays.
Alors je ne crois pas pouvoir terminer l'arche avant au moins 5 ans. »
Soudainement, le ciel redevint clair et bleu, le soleil se mit à briller et un arc-en-ciel apparu dans le ciel. Noé regarda le ciel et souria. « Dieu, veux-tu me faire comprendre que tu ne détruiras pas la terre ? », demanda Noé, plein d'espoir.
- « Non, répondit Dieu, le gouvernement l'a déjà fait. »
C’est Charlie Parker qui meurt, et qui arrive devant Sаinт Pierre :
- Mon Dieu (sic), Charlie Parker ! J’ai tous vos disques ! Quel swing ! Je vous adore ! Mais c’est très ennuyeux, Mr Parker : alcool, sexe, drogue, je suis obligé de vous envoyer en enfer... Voyez cet escalier ? Vous descendez, et c’est tout en bas.
Charlie Parker, content moyen, descend, descend, descend, et à un moment tend l’oreille :
- « Tiens, il me semble qu’il y a de la musique. » (Il descend plus vite) « Mais oui, y’a d’la musique en bas » (il descend encore plus vite) « Mais... c’est du Jazz ! » (il descend toujours plus vite) « Ça swingue mortel ! » etc…
Il arrive en bas de l’escalier, ouvre la porte, et voit un Big Band en train de jouer : tous les plus grands zicos de Jazz qui sont morts jouent ici. Quelle énergie ! Et surtout quels arrangements ! Les arrangements les plus inventifs, créatifs, swingants qu’il ait jamais entendus.
Regardant l’orchestre, il aperçoit une place libre à la section cuivres : alto, pupitre, partitions, tout y est même son nom.
Il se rue à sa place, attrape le sax alto, et se joint à l’orchestre : Ah quels arrangements! Et il déchiffre, et ça joue etc...
Au bout de plusieurs heures, entre 2 phrases (musicales), il dit du coin de la bouche à son voisin de pupitre :
- Dis donc, c’est quand les chorus ?
- C’est ça, l’enfer : y’a pas de chorus…
Note explicative : les chorus sont les parties improvisées dans lesquelles un musicien prend la parole avec son instrument.
Premiere loi des services d’urgences :
Toute urgence attend pour se présenter que vous commenciez à manger, et ceci quelque soit l'heure.
Corollaire 1 : Il y aurait moins d'accidents si le personnel des urgences ne mangeait jamais.
Corollaire 2 : Prévoyez uniquement de la nourriture « à emporter ».
Lois du temps :
1 ) Il n'y a absolument aucune relation entre le temps de garde qu'il vous reste à faire et le temps de garde que vous ferez réellement.
2 ) Soit l'équation : T+1 minute = Temps de fin de garde, T sera toujours l'heure de votre dernière intervention. Par exemple, si vous terminez votre service à 8:00, votre dernière intervention aura lieu à 7:59.
Ou bien, si vous avez quitté votre service en avance, vous trouverez votre relève vous attendant à la première intersection. Changez de direction !
Loi de la gravite :
Tout instrument tombé à terre va se nicher dans le recoin le plus inaccessible.
Loi du temps et de la distance :
La distance entre le lieu d'intervention et l'Hôpital est inversement proportionnelle à votre temps de garde restant
Corollaire 1 : il y a toujours des travaux sur le trajet le plus court vers le site d'intervention
Loi de la repartition aleatoire :
Les Urgences surviennent aléatoirement toutes en même temps
Loi de l’arret cardio-respiratoire :
Tous les patients qui vomissent et qu'il faut intuber viennent TOUJOURS de terminer un copieux repas à base de grillades et d'oignons, et pizza à l'ail et de cornichons, bien sûr le tout largement arrosé par au minimum deux pichets de vin.
Principe de base des regulateurs :
Présumez que tous les personnels de terrain sont des idiots jusqu'à ce que leurs actions vous en donnent la preuve
Principe de base des personnels :
Présumez que tous les Régulateurs sont des idiots jusqu'à ce que leurs actions vous en donnent la preuve.
Axiome des interventions de nuit :
Si, sur un accident de la circulation après minuit, vous ne trouvez aucun ivrogne, cherchez bien, il manque quelqu'un.
Loi des options :
Tout patient, à qui l'Officier de Police présent donne le choix entre l'hôpital et le commissariat, sera dans votre ambulance avant vous.
Corollaire 1 : Tout patient qui préfère le commissariat à l'hôpital, faisait certainement partie de votre équipe auparavant.
Premier loi du materiel :
Toute pièce d'un matériel vital ne tombera jamais en panne jusqu'à ce que :
1 ) vous en ayez besoin pour sauver une vie, où
2 ) que le vendeur soit parti.
Autres lois du materiel :
1 ) Les pièces interchangeables ne le seront pas
2 ) Les joints étanches fuiront
3 ) Les matériels automatiques ne fonctionneront qu'en mode manuel
Premiere loi des ambulances en intervention :
Quelque soit la manière dont vous conduisez l'ambulance en partant sur une intervention, ce ne sera jamais assez rapide, jusqu'à ce que vous croisiez une patrouille de police et à ce moment ce sera toujours trop vite. A moins qu'il ne s'agisse d'un appel pour un Officier de Police, au quel cas vous ne conduirez jamais assez vite.
Lois de la salle de bains et de l’urgence :
1 ) Tout appel entre 5:00 et 7:00 est toujours reçu lorsque vous êtes dans la salle de Bain. Si vous en sortez, il n'y aura pas d'appel.
2 ) Si vous n'y êtes pas allé, vous le regretterez.
3 ) La probabilité de recevoir un appel augmente proportionnellement avec le temps passé depuis que vous êtes allé aux toilettes.
Principes generaux concernant les regulateurs :
A chaque occasion qui se présente, tout Régulateur est uniquement trop content de vous dire de partir, peut lui importe de savoir si oui ou non, il sait où c'est.
Corollaire 1 : L'existence ou non d'un endroit est d'une importance mineure pour un Régulateur.
Corollaire 2 : Toute rue présentée par un Régulateur comme à double sens ne l'est probablement pas.
Corollaire 3 : Si le nom d'une rue peut être mal prononcé, le Régulateur le prononcera mal.
Corollaire 4 : Si le nom d'une rue ne peut pas être mal prononcé, le Régulateur le prononcera mal quand même.
Corollaire 5 : Un Régulateur se référera à un endroit donné de la façon la plus obscure possible. Par exemple : le terrain vague de la Lande Rousse où un centre commercial est construit
Loi du triage :
Dans n'importe quel accident, le degré de gravité d'un blessé est inversement proportionnel au volume de ses hurlement d'agonie.
Loi des grandes blessures :
Toute blessure dont la vue va vous faire vomir doit immédiatement être recouverte de compresses et bandée.
Equation du chef de service :
Soit l'équation X + Y = Q
Q étant la qualité des soins que vous prodiguez
X étant le soin
Y étant l'aide que vous apporte le Chef de Service
Si vous pouvez éliminer Y , la Qualité de vos Soins sera multiplié par deux
Loi du langage des protocoles :
Les Protocoles les plus simples seront rédigés de la façon la plus obscure et la plus compliquée possible. La vitesse sera exprimée en « Lieues par quinzaine » et le flux automobile en « Tête de lard par heure ».
Corollaire 1 : Si vous ne comprenez pas, ce doit pourtant être totalement évident.
Corollaire 2 : Si vous ne comprenez toujours pas, vous n'y arriverez jamais.
Loi des enseignants de l’urgence :
Ceux qui ne savent pas faire, enseignent.
Loi des examinateurs :
Ceux qui ne savent pas faire, ni enseigner, évaluent.
Loi de l’eclairage :
La lumière disponible pour examiner une blessure diminue proportionnellement à l'aggravation de celle-ci.
Loi de l’espace :
L'espace nécessaire pour techniquer un patient varie inversement avec l'espace disponible
La famille et l’entourage :
Le nombre de voisins affolés et inutiles entourant tout patient varie exponentiellement avec la gravité du patient.
La theorie du poids :
Le poids d'un patient augmente exponentiellement avec le nombre d'étages que vous devrez monter et le nombre d'étages à descendre avec le patient.
Corollaire 1 : Les patients les plus lourds tendent à occuper les endroits les plus éloignés du niveau de la mer.
Corollaire 2 : Si le patient est lourd, l'ascenseur est en panne et l'éclairage de l'escalier hors service.
Lois du non-transport :
1 ) Une situation de vie ou de mort se crée immédiatement quand vous vous éloignez de la maison du patient qui vient de vous jeter dehors.
2 ) La gravité de cette situation augmentera avec la proximité de la date de votre procès.
3 ) Au moment où votre patient atteindra la barre, le Tribunal s'étonnera du fait qu'un patient dans une situation aussi dramatique a pu marcher jusqu'à la porte et vous accueillir avec une grande valise dans chaque main.
Lois du passant :
1 ) Tout Passant qui vous offre son aide ne vous la donnera pas.
2 ) Toujours présumer que tout médecin présent sur les lieux d'une urgence est Gynécologue jusqu'à preuve du contraire.(Si l'urgence est obstétricale, le médecin sera alors Dermatologue).
Regles des sirenes :
Tout véhicule en intervention ou en retour d'intervention signalé par gyrophares sera totalement ignoré par les automobilistes, les piétons et les chiens qui auront l’occasion de croiser sa route.
Corollaire 1 : Une sirène d'ambulance produit une brutale et totale, mais transitoire, surdité.
Corollaire 2 : Un gyrophare d'ambulance produit une brutale et totale, mais transitoire, cécité note: Cette loi ne s'applique pas à la Californie où tous les piétons et les tous les automobilistes sont apparemment inconscients de tous code de la route.
La loi du « t’es pas cap »
Un nombre virtuellement infini d'écoliers curieux peut grimper à l'intérieur de n'importe quelle ambulance, et quelque soit la situation, le fera.
Corollaire 1 : Aucune urgence ne surviendra, tant que tous ne seront pas à l'intérieur de l'ambulance, en train de jouer avec tous l'équipement de réa.
Corollaire 2 : Ça prendra au moins 4 fois plus de temps pour les faire descendre de l'ambulance que ça ne leur en avait pris pour monter.
Corollaire 3 : Une ou plusieurs pièces vitales de l'équipement auront disparu au passage.
Loi des protocoles
Dès qu'un protocole est accepté comme absolu, une exception à son application se produira immédiatement.
Un homme entre dans un magasin de chaussures. Il désigne une paire dans la devanture et réclame la même en taille 42.
La vendeuse évalue rapidement la taille des pieds de l'homme à 45 et le lui fait remarquer. L'homme répond qu'en taille 42, ça ira.
La vendeuse amène la boîte de chaussures. L'homme prend la première, et avec toutes les difficultés du monde arrive à entrer son pied dedans. La vendeuse lui fait remarquer :
- Je vous avais dit que 42 ça n'irait pas !
- Ca ira, répond l'homme.
Avec tout autant de difficultés, il parvient à entrer son pied dans la deuxième chaussure et réclame de les garder aux pieds. En boitant et grimaçant, il se dirige vers la caisse. La vendeuse n'arrive pas à comprendre ; après que l'homme ait réglé son achat (assez dispendieux, en plus), et n'y tenant plus, elle lui dit :
- Monsieur, je ne comprends pas : nous avons ce modèle en taille 45 ; il ne coûte pas plus cher qu'en taille 42... Pourquoi tant insister à porter trois tailles en dessous ?
L'homme, l'air triste, répond :
- Vous ne pouvez pas savoir ; mais ma femme me trompe, ma fille se prostitue, mon fils se drogue, mon père fait la sortie des écoles, ma mère est partie avec la voisine... Alors, voyez-vous, mon seul plaisir dans la vie c'est le soir quand j'enlève mes pompes...