Un homme entre dans un magasin de chaussures. Il désigne une paire dans la devanture et réclame la même en taille 42.
La vendeuse évalue rapidement la taille des pieds de l'homme à 45 et le lui fait remarquer. L'homme répond qu'en taille 42, ça ira.
La vendeuse amène la boîte de chaussures. L'homme prend la première, et avec toutes les difficultés du monde arrive à entrer son pied dedans. La vendeuse lui fait remarquer :
- Je vous avais dit que 42 ça n'irait pas !
- Ca ira, répond l'homme.
Avec tout autant de difficultés, il parvient à entrer son pied dans la deuxième chaussure et réclame de les garder aux pieds. En boitant et grimaçant, il se dirige vers la caisse. La vendeuse n'arrive pas à comprendre ; après que l'homme ait réglé son achat (assez dispendieux, en plus), et n'y tenant plus, elle lui dit :
- Monsieur, je ne comprends pas : nous avons ce modèle en taille 45 ; il ne coûte pas plus cher qu'en taille 42... Pourquoi tant insister à porter trois tailles en dessous ?
L'homme, l'air triste, répond :
- Vous ne pouvez pas savoir ; mais ma femme me trompe, ma fille se prostitue, mon fils se drogue, mon père fait la sortie des écoles, ma mère est partie avec la voisine... Alors, voyez-vous, mon seul plaisir dans la vie c'est le soir quand j'enlève mes pompes...
Fidel Castro se promène en voiture sur les routes de son beau pays, quand soudain, un bruit sourd venant de sous la voiture le fait sursauter.
Le chauffeur descend, jette un coup d’œil et s'approche de la vitre arrière:
- On a écrasé un cochon...
Fidel est embarassé, lui qui promet la prospérité à son peuple.
- Écoute, dit-il au chauffeur, le cochon doit venir de la ferme derrière ce petit bosquet. Vas-y, explique leur le problème, et fais pour le mieux.
Deux heures passent, Fidel Castro est de plus en plus nerveux, et le chauffeur revient finalement, la casquette de travers et totalement ivre.
- Que s'est-il passé demande Fidel Castro ?
- Je ne sais pas, répond le chauffeur. Ils m'ont offert à boire, à manger, ils ont appelé les voisins, et leur fille a tenu à faire l'amour avec moi.
- Mais, qu'est ce que tu leur a dis ?
- Je suis le chauffeur de Castro, et je viens de tuer le porc...
Socialisme:
Tu as 2 vaches et tu en donnes 1 à ton voisin qui n'en a pas.
Communisme:
Tu as 2 vaches, le gouvernement les réquisitionne toutes les 2 et te donne un peu de lait
Fascisme:
Tu as 2 vaches, le gouvernement les réquisitionne toutes les 2 et te vend le lait
Nazisme:
Tu as 2 vaches, le gouvernement les réquisitionne toutes les 2 et ensuite te fusille
Bureaucratie:
Tu as 2 vaches, le gouvernement les réquisitionne toutes les 2, en abat une, trait l'autre, et jette le lait...
Capitalisme:
Tu as 2 vaches. Tu en échanges une contre un taureau, tu élèves tout un troupeau de vaches, tu les vends toutes et tu vis de tes rentes jusqu'à la fin de tes jours.
Système américain:
Tu as 2 vaches. Tu en vends une, et tu forces l'autre à produire du lait pour 4. Tu es étonné lorsque l'animal tombe raide mort.
Système wallon:
Tu as 2 vaches. Tu te mets en grève parce que tu en veux 3.
Système japonais:
Tu as 2 vaches. Tu les manipules génétiquement afin qu'elles deviennent 10 fois plus petites, et qu'elles produisent 20 fois plus de lait. Tu crées tes propres cartons de lait (les Vachimons-Z) et tu inondes le marché mondial avec.
Système allemand:
Tu as 2 vaches. Tu les manipules génétiquement pour que ça en devienne
100, qu'elles ne doivent manger qu'une fois par mois et qu'elles sachent
Se traire elles-mêmes.
Système britannique:
Tu as 2 vaches. Elles sont folles toutes les deux.
Système italien:
Tu as 2 vaches, mais tu ne sais pas très bien où exactement... et maintenant tu vas manger tes… >> Cliquez pour lire la suite
Il était une fois un homme, très épris de sa chère et tendre, et qui, en preuve d'amour après leur mariage, se fit tatouer sur sa verge en érection son prénom : Sylvie.
Toute heureuse, elle pouvait admirer son prénom sur le membre de son homme lors de leurs ébats intimes.
Toutefois, lorsque monsieur n'est pas en forme, n'apparaissent que les lettres S et E.
Ainsi, en allant à un urinoir public, faisant son affaire, son regard s'abaisse sur la chose de son voisin, un métis d'un fort beau gabarit.
Et là, quelle n'est pas sa surprise de voir que son voisin aussi laisse voir 2 lettres sur son sexe, S et E
Il lui demande aussitôt :
"Excusez moi de vous interreompre pendant cet acte d'une trivialité affolante, mais je viens d'apercevoir les lettres S et E sur votre euh... sexe, disons-le, et je me demandais si vous aviez également une amie s'appellant Sylvie, ce qui est mon cas ?!?", dit-il en montrant les lettres.
Le métis se met à rire et dit :
"Ah non, moi j'ai fait 15 ans de légion, et il y a écrit "Souvenir d'Afrique équatoriale" !
C'est un agriculteur qui est marié depuis 4 ans avec une ravissante jeune femme, et qui n'arrive pas à avoir d'enfants. Il décide alors d'aller rendre visite à son voisin du dessus qui est médecin et qui lui a 4 enfants.
- Bonjour Docteur, j'ai besoin d'aide.
- Que puis-je faire pour vous ?
- Voilà, j'aimerais savoir comment vous faites pour avoir des enfants, car je n'y arrive pas depuis 4 ans.
- Ben, dis le Docteur, je fais comme tout le monde...
- Oui, mais moi cela ne marche pas. S'il vous plaît, donnez-moi un truc pour avoir des bébés.
- Bon dit le Docteur, je vais vous aider. Il vous faut 3 choses pour y arriver : 1 un savon, 2 du parfum, 3 un balai.
L'agriculteur prend note et demande :
- Bon, alors, le savon c'est pour quoi faire ?
- Quand vous voudrez faire un bébé, vous donnez un bon bain à votre épouse avec le savon.
L'agriculteur note et demande :
- Et avec le parfum ?
- Quand elle est bien lavée et séchée, vous la portez sur votre lit et vous la parfumez...
- Ah bon, dit l'agriculteur qui note toujours. Et avec le balai, je fais quoi avec le balai ?
- Bon, dis le Docteur, quand elle est bien lavée, parfumée et prête sur le lit, vous tapez 3 fois au plafond avec le balai, et j'arrive de suite !
Je me tapais un petit 160 sur la RN4 entre Paris et Nancy quand tout à coup j'ai ressenti un besoin très pressant.
Ni une ni deux, je tire le frein à main et m'arrête sur la bande d'arrêt d'urgence (pô bien).
Je saute la rambarde et cours vers un chêne (aucun rapport avec les glands non non). Là, pendant que je fais mon affaire, une grenouille (Smurf la grenouille qui traverse l'autoroute) saute et se plante devant moi en ouvrant des grands yeux globuleux et en poussant des wouah admiratifs...
Bon un peu gêné, je me tourne de l'autre côté.
La grenouille se replante devant moi en deux bonds (рuтаin je suis vert... Non, pas la grenouille!!!).
Elle me dit :
- Bonjour !
- Euh bonjours...
Euh, Tu parles ?
- Nan, je suis le pape et j'attend ma soeur.
- Ah bon. Bon entre temps, j'ai fini quand même et commence à me diriger vers ma voiture en me promettant de ne plus fumer les géraniums de ma voisine.
Au moment ou j'ouvre la porte, la grenouille saute sur le siège passager et met la ceinture de sécurité...
- On va chez toi ?
- Euh oui...
- Ok ça me va
Arrivé chez moi, la grenouille me suit toujours.
- C'est ta chambre là-bas ?
- Euh oui....
La, vous allez pas me croire, elle saute sur le lit et se couche les pattes écartées.
- Embrasse moi!!!
La, je me dis jeannot, il y a quelque chose de pas catholique là dessous, bon qu'elle parle je veux bien, mais je ne vais quand même pas me faire une grenouille. D'ailleurs j'ai même pas de scotch pour éviter qu'elle n'éclate. Mais d'un autre côté, je me souviens des histoires de grenouilles se transformant en princesse etc...
Et je l'embrasse !!!
Et c'est à ce moment qu'elle s'est transformé en petite fille monsieur le juge...
Un fermier décide de remplacer son vieux coq qui ne copule plus. Son voisin, tenu au courant, lui donne de très bon coeur son jeune coq dont il dit vouloir se débarrasser. Il lâche ce dernier dans sa basse cour, et contemple. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, le coq s'est déjà tapé les 50 poules présentes. Apparemment pas suffisantes puisqu'il saute le grillage, s'en va à l'étable, se tape les vaches, le taureau, passe par l'écurie... y passent donc les chevaux, les cochons, les pigeons, la fermière. Le fermier ravi, en conclu que ce n'est pas si mal, puisqu'il a trouvé un coq de taille. Tout à coup, un aigle passe par là, et commence à tourner autour du coq. Le fermier, affolé s'en va chercher son fusil: on ne va quand même pas lui voler le meilleur coq qu'il ai jamais eu !
Le coq voyant tout ça, vient vers le fermier, et d'un air malin et suppliant lui souffle:
- Chut! s'il te plait, laisse le descendre.