C’est un gars d’la ville qui décide d’arrêter de vivre comme un citadin. Il va donc s’acheter une ferme et comme cette ferme est vendue avec quelques truies, il se dit tout naturellement qu’il va faire de l’élevage de cochons.
Malheureusement, il n’avait aucune idée de la façon dont on fait l’élevage de cochons, et surtout, il n’avait pas de vеrrат pour commencer ! Son voisin de ferme, très aimable proposa son vеrrат pour la chose, et il dit au gars d’la ville d’amener ses truies dès le lendemain grâce à son 4X4 pick-up.
En venant reprendre ses truies dans l’après-midi, le gars d’la ville demande à son voisin comment il pourra savoir si ses truies ont été fécondées. Le voisin lui dit alors de regarder le matin en se levant où se trouvent ses truies : Si elles sont dehors dans le pré, c’est qu’elles sont pleines, et si elles sont dans l’étable, c’est que ça n’a pas marché.
Le lendemain en se réveillant, le gars d’la ville va voir ses truies. Malheureusement, toutes les truies sont dans l’étable. En maugréant, il les charge dans le pick-up et s’en retourne chez son voisin pour une deuxième séance de ça-va ça-vient.
Et le manège se reproduit les jours suivant, les truies n’étant toujours pas gestantes.
Le cinquième matin de ce petit manège, le gars d’la ville va voir où sont les truies. Il regarde dans le pré, elles n’y sont pas. Il regarde dans l’étable, elles n’y sont pas.
Alors il appelle sa femme et lui demande :
- Mais où sont passées les truies ?
Et prise d’un fou rire elle lui répond :
- Elles sont dans le 4X4 et la plus grosse est en train de klaxonner !
Un V. R. P. fait du démarchage en pleine cambrousse. Il est déjà très таrd, et, alors qu’il pensait rentrer à l’hôtel pour dîner et se coucher, sa voiture tombe en panne.
Malheureusement pour lui, il n’a pas de téléphone mobile et il n’y a pas d’habitation dans les parages. En fait, si, il y a cette ferme là-bas plus lоin. Le V. R. P. décide de marcher jusque-là.
Sur place, le fermier et la très jolie fermière l’accueillent. Le V. R. P. demande à passer un coup de fil pour être dépanné par Peugeot assistance, mais le fermier lui dit qu’il n’a pas de téléphone. Par contre, très gentiment, le paysan propose au gars de l’héberger pour la nuit, et de tirer sa voiture son tracteur jusqu’au village voisin le lendemain matin.
Le V. R. P. accepte de bon cœur ; ils prennent le repas et dès 10 heures du soir, le fermier dit qu’il est l’heure de « faire un gros dodo ». Mais il ajoute :
- « nous n’avons qu’une chambre, aussi vous devrez coucher sur le canapé du salon ».
Après la toilette, tout le monde rejoint sa couche et s’endort. Enfin presque, car quelques minutes après s’être couché, le V. R. P. reçoit la visite de la fermière, en chemise de nuit, qui vient lui susurrer à l’oreille :
- Faites-moi l’amour !
Le V. R. P. n’est pas sûr de l’attitude à avoir :
- Mais votre mari est dans l’autre pièce, il va nous entendre !
- Rien à craindre de ce côté-là : Il dort comme une marmotte…
Et pour lui montrer qu’elle dit vrai, elle le tire jusque dans la chambre maritale, tire les couvertures du lit et met à nu le postérieur de son mari, duquel elle arrache un poil d’un coup sec sans que celui-ci ne se trémousse le moins du monde !
Rassuré par tant de tranquillité, les amants s’en donnent à cœur joie et réinventent des positions du Kamasutra. Le ça-va-ça-vient dure une воnnе heure, et alors que la femme semblait assouvie, elle se lève, va manger un bout de saucisson, se refait une santé, et revient voir son V. R. P. d’amour en lui disant :
- « Chéri, encore ! ». Le V. R. P. se demande si, à force, le mari ne va pas se réveiller. Une fois encore, la femme l’emmène dans la chambre prélever un deuxième poil de cul sans que cela ne crée l’ombre d’un frémissement. Et du coup le ça-va-ça-vient reprend de plus belle. L’opération se répétera une nouvelle fois par la suite, et finalement, les deux amants exténués repartiront dans leur draps respectifs pour terminer la nuit.
Le lendemain matin, au déjeuner comme on dit, le V. R. P. se retrouve en face du fermier et se sent un peu honteux. A ce moment-là, le fermier lui dit :
- Tu sais mon gars, j’ai rien contre le fait que tu fasses l’amour à ma femme sous mon toit, mais est-ce qu’il fallait vraiment que tu marques ton score en me tirant les poils du cul ?