C’est une histoire de vin. C’est un grand oenologue qui est descendu dans le Bordelais pour goûter un petit vin de propriétaire, le Château Château, et il se régale :
- La couleur est belle ! Oui, bel ensoleillement. C’est un vin qui a de la jupe. Je vais goûter ! Ssssslurp… Hummm… Reureureu… Aaaah, il attaque sèchement le palais, il est un peu râpeux ! On l’a bien en bouche. Mouis, il n’y a pas à dire, c’est un très très bon cru: je vous mettrai dix-huit sur vingt !
Pas peu fier, le propriétaire lui dit :
- Je vous remercie ! Tenez, prenez-en quelques caisses. Et puis restez déjeuner !
- Non, non, je n’ai pas fini ma tournée, il faut que j’aille inspecter la vigne de votre voisin !
L’oenologue se rend donc chez le voisin…
- Eh, monsieur l’œnologue ! Content de vous vouér ! Depuis l’matin, je goûte mon pinard pour vérifier. Je suis sûr qu’il vous plaira.
- Voyons voir ça !
- De toute façon, il n’y a point d’raison qu’il soit mauvais. Parce que tout de même, j’ai les mêmes ceps, la même terre et la même orientation que le voisin de chez qui vous venez !
- Ssssslurp… Hummm… Reureureu… Aaaah non, non ! Oh non ! Ce qu’il est acide ! Alors là, mon vieux, je vous mets quatre sur vingt ! Ça ne vaut pas plus !
- Ben quoi ? A lui vous lui mettez dix-huit sur vingt, et à moi seulement quatre sur vingt alors que c’est le même ensoleillement, le même sucre et le même coteau ! C’est dégueulasse !
- Je vais vous expliquer une chose. Vous êtes marié ?
- Bah pour sûr, que ch’ suis marié !
- Alors ce soir, quand vous serez au lit avec votre dame, vous lui mettrez un doigt devant, un autre doigt derrière, vous goûterez et vous verrez la différence : ça n’a pas le même goût et pourtant ils sont voisins !

C’est Toto et sa petite voisine Jessica.
Ils sont toujours en train de se faire bisquer l’un l’autre. Si l’un a reçu un cadeau pour son anniversaire, l’autre va avoir forcément quelque chose de mieux au sien… Un jour, Jessica reçoit comme cadeau un vélo avec 2 roulettes derrière.
Problème: Les parents de Toto lui disent qu’il n’a pas besoin d’un vélo…
Alors Jessica en profite pour passer et repasser devant la maison de Toto. Toto est terriblement énervé et triste de cette situation et il se met à pleurer et crier devant tant d’injustice! Le papa de Toto lui demande alors ce qui le met dans cet état là, et lorsque Toto lui raconte ce qui se passe, le papa dit quelques mots à l’oreille de Toto et tout de suite, Toto arbore un grand sourire…
Le lendemain, Jessica est à nouveau en train de parader avec son vélo devant la maison de Toto :
- « Eh Toto, t’as vu mon vélo !? T’en as pas un pareil hein ? »
Alors Toto lui fait une grimace et baisse son pantalon devant elle en disant :
- « Ah ouais ? Et bien regarde ça ! C’est quelque chose que tu n’auras JAMAIS ! »
Jessica sachant que Toto dit vrai rentre chez elle en pleurant. Elle dit à sa mère en rentrant ce qui s’est passé. Alors sa mère, pour la consoler, lui dit quelques mots à l’oreille…
Le lendemain, Toto arrive fièrement devant Jessica et baisse son pantalon tout en faisant une grimace, pour lui montrer son trésor. Mais Jessica sourit, soulève sa robe et montre ainsi son sexe à Toto en disant :
- « Tiens regarde ! Ma mère elle m’a dit qu’avec ce truc que MOI j’ai, je pouvais avoir des trucs comme le tien autant que je veux ! »

C’est une femme qui reçoit son amant chez elle, alors que son mari est au travail. Un jour qu’ils sont au lit tous les deux, elle entend la voiture du mari dans le garage: Il rentre plus tôt que d’habitude ! Elle hurle alors à son amant :
- « Dépêche-toi ! Attrape tes vêtements et passe par la fenêtre TOUT DE SUITE ! »
Le petit ami regarde la fenêtre et dit :
- « Je ne peux pas sortir par la fenêtre comme ça ! Il pleut des hallebardes dehors ! »
Elle lui répond :
- « Si mon mari rentre dans la chambre et qu’il te voit, il nous tuera tous les deux ! »
Alors le jeune homme prend ses vêtements et passe par la fenêtre. Arrivé sur la terre ferme, il se retrouve au beau milieu du marathon municipal annuel… Alors il se met à courir au côté des autres participants, malgré le fait qu’il soit complètement nu avec ses vêtements à la main.
Son voisin de course le regarde alors de bas en haut et lui dit :
- « Vous courrez toujours le marathon tout nu ? »
L’amant lui répond :
- « Oui oui, de cette manière je ressens vraiment une impression de totale liberté. »
Et l’autre continue :
- « Et vous emportez toujours vos vêtements pendant la course ? »
L’amant essoufflé répond :
- « Oui bien sûr, comme ça je m’habille tout de suite à la fin de la course et je rentre directement chez moi en voiture ! »
Enfin le coureur termine :
- « Et vous portez toujours un préservatif en courant ? »
Et l’amant de répliquer :
- « Oh non… Seulement quand il pleut. »