Un belge est dans l'avion qui relie New-York à Paris.
Ils sont au milieu de l'Atlantique, quand soudain le commandant prend la parole est dit : "Ladies and gentleman, nous venons de perdre un moteur. Mais aucun problème, nous avons 3 moteurs en marche, nous arriverons à Paris , mais avec un rетаrd de 1 heure".
15min plus таrd, il reprit la parole :
"Ladies and gentleman, nous venons de perdre un deuxieme moteur. Pas de souci, nous arriverons à Paris , mais avec 2-3 heures de rетаrd".
30min s'écoulent, et le commandant reprit la parole et dit :
"Nous venons de perdre un troisieme moteur, mais nous arriverons à Roissy avec 5 heures de rетаrd".
Et le belge dit à son voisin :
"Ohlala, si ça continue comme ça, si on perd le dernier moteur, on va rester en l'air toute la journée !".
C’est un gars qui essaie de vendre son chien à son voisin :
- Mon chien sait parler, j’te jure ! Et je te le vends pour 10 euros.
Le voisin lui répond :
- Tu ne penses tout de même pas me faire croire ça ?
Et alors, tout à coup, le chien lève les yeux vers le voisin et dit avec les larmes qui lui coulent sur le museau :
- S’il vous plaît Monsieur, achetez-moi. Cet homme est cruel, il ne me donne jamais à manger, il ne me lave jamais, il ne m’emmène jamais faire une ballade. Alors que moi, je suis le chien le plus rusé au monde, j’ai fait des tours devant les plus grands de ce monde, et j’ai même fait la guerre et on m’a décoré pour mes actes de bravoure.
- Hé mais c’est qu’il parle vraiment ! Pourquoi veux-tu le vendre pour seulement 10 euros ?
- Oh… Parce que j’en ai marre ! Il peut pas s’empêcher de mentir !
Une blonde vient sonner à la porte de sa voisine de palier.
- Bonjour, pourriez-vous me donner un oignon, s’il vous plaît, j’ai oublié d’en acheter ?
- Mais bien sûr, mais un seul oignon pour la cuisine, c’est un peu juste, je vais vous en donner deux ou trois.
- Non, non, un suffira, ce n’est pas pour la cuisine, c’est pour moi, je me suis disputé avec mon mari, j’ai absolument besoin de pleurer, et je n’y arrive pas !
Un homme de la ville, fort arrogant, se présente chez un fermier.
- Qu’est-ce que c’est ? Demande le paysan.
- J’appartiens au ministère de l’Agriculture, dit le fonctionnaire.
Et il lui colle une carte tricolore sous le nez.
- Ben, ça veut dire quoi, cette carte ? Questionne le fermier.
- Ça veut dire que l’on doit m’obéir. J’ai ordre d’inspecter votre ferme.
Impressionné, le paysan laisse entrer l’intrus qui fouine partout durant toute la matinée. A midi, on se met à table. Soudain des cris s’élèvent :
- Au secours ! Au secours !
Le fermier jette un coup d’œil dehors et il aperçoit, dans le champ voisin, son visiteur poursuivi par un taureau furieux.
- Vite, hurle le fonctionnaire, dites-lui de s’arrêter.
- Montrez-lui votre carte, conseille paisiblement le fermier.
Et il retourne finir gaiement sa potée…
Voulant vendre sa fermette, un paysan normand vise la clientèle des Anglais qui débarquent, chaque week-end, en force. C’est pourquoi il met, devant sa maison, un écriteau portant la traduction des mots « A vendre », en anglais :
- « For sale ».
Le lendemain, un de ses voisins lui dit :
- Vous avez raison de signaler comme c’est crasseux, chez vous, mais si vous connaissiez l’orthographe, vous auriez écrit « fort », avec un t au bout.
C’est l’entraîneur d’une équipe de football américain qui est en train de regarder CNN. Le reportage montre la guerre dans les territoires occupés, et plus précisément, il décrit les combats vécus du côté israélien : tout le reportage est centré sur un jeune appelé qui est la coqueluche de tous ses camarades car il a une force et une précision dans le bras incroyables !
On le voit tout d’abord jeter une grenade à main à plus de 100 mètres juste dans l’immeuble d’où provenaient les tirs palestiniens : BOUM !
Ensuite, il jette une autre grenade à main sur un groupe d’ennemis cachés derrière les ruines d’un char : Et RE-BOUM !
Enfin, c’est une voiture qui passe devant lui à plus de cent à l’heure et paf il parvient à faire passer la grenade par la vitre des assaillants et la voiture explose !!!
- « Je dois obtenir ce type pour le championnat » se dit l’entraîneur. Il décroche son téléphone, passe plusieurs coups de fil, donne quelques pots-de-vin par-ci-par-là, et une semaine plus таrd, le jeune troufion israélien est aux États-Unis, sur un terrain, en train de subir son premier entraînement de football américain.
Comme l’entraîneur l’avait subodoré, le jeune homme pulvérise tous les records de la NFL pour la précision de ses lancers et pour les touchdowns qu’il a généré. L’équipe va grâce à lui gagner le Superbowl.
Le jeune israélien est traité en véritable héros. L’entraîneur qui veut le remercier lui demande alors ce qu’il souhaite le plus au monde :
- « Je veux passer un coup de fil à ma mère », répond le jeune héros.
L’entraîneur donne son portable au jeune quarterback :
- Maman ? C’est toi ? Tu ne devineras jamais maman : j’ai gagné le Superbowl !
- Je ne veux pas te parler, dit la vieille femme. Tu nous a abandonnés. Tu n’es plus mon fils.
- Maman, je ne pense pas que tu comprennes ce qui m’arrive, plaide le jeune homme. Je viens de faire remporter à mon équipe la compétition sportive la plus regardée au monde ! Tous les jours, je suis cerné par des centaines de fans en délire dès que je quitte mon appartement.
- Non, laisse-MOI te dire ce qui ne va pas, s’énerve la mère. Au moment où je te parle, il y a des gens armés tout autour de nous. Ça tire dans tous les coins. On n’ose plus sortir de la maison. Le voisinage n’est qu’une pile de gravats, tes deux frères ont été battus par un groupe de vauriens et ta sœur a été attaquée et violée en plein jour !
La vieille dame marque une pause, elle est en larmes, et elle ajoute :
- « … Je ne te pardonnerai jamais de nous avoir fait déménager à Miami. »
Ça y est, j’ai réussi l’examen de conduite ! Je peux enfin conduire ma propre voiture sans avoir à entendre les recommandations des moniteurs répétant sans cesse :
- « par-là, c’est un sens interdit ! », « on est à contre-sens ! », « attention à la vieille dame, freinez, freinez ! », et autres phrases du même genre. Je ne sais même pas comment j’ai fait pour supporter ça ces deux dernières années…
8 janvier :
L’autoécole a organisé une fête pour mon départ. Les moniteurs n’ont même pas fait cours. L’un d’eux a dit qu’il allait à la messe, j’ai l’impression d’en avoir vu un autre avec les larmes aux yeux et tous m’ont dit qu’ils allaient se saouler pour commémorer l’événement. J’ai trouvé cette fête très sympa et tout mais je pense que mon permis ne méritait pas une telle exagération.
12 janvier :
J’ai acheté une voiture mais malheureusement, j’ai dû la laisser chez le concessionnaire pour qu’on me remplace le pare-chocs arrière car, quand j’ai essayé de sortir, j’ai mis la marche arrière au lieu de la première. Ça doit être le manque de pratique, ça fait une semaine que je n’ai pas conduit !
14 janvier :
Ça y est, j’ai ma voiture. J’étais tellement contente en sortant du stand que j’ai décidé de faire un tour avec. Apparemment, beaucoup de gens ont eu la même idée que moi vu que j’ai été suivie par un nombre incroyable d’automobilistes qui klaxonnaient tous comme pour un mariage ! Pour ne pas avoir l’air désagréable, je suis entrée dans leur jeu et j’ai réduit ma vitesse de 10 à 5 km à l’heure… Les autres ont eu l’air de beaucoup aimer et ils ont klaxonné encore plus.
22 janvier :
Mes voisins sont super. Ils ont placé des pancartes indiquant en grosses lettres :
- « ATTENTION aux manœuvres » ; ils ont marqué à la peinture blanche une place bien large pour que je puisse stationner et ils ont interdit à leurs enfants de sortir quand je manœuvrais. Je pense que tout ça c’est pour ne pas me perturber ! Il y a encore des gens bons dans ce monde…
31 janvier :
Les autres conducteurs sont tout le temps en train de klaxonner et de me faire des signes. Je trouve ça sympa bien qu’un peu dangereux. J’ai vu l’un d’eux qui essayait de me dire quelque chose mais je n’ai pas trouvé le bouton qui ouvre les vitres. Pendant que je cherchais, j’ai failli percuter quelqu’un. Heureusement que j’allais à ma vitesse de croisière de 10 km/h.
10 février :
Les autres conducteurs ont des habitudes bizarres. Non seulement ils font beaucoup de signes mais en plus, ils passent leur temps à crier. Je n’entends pas ce qu’ils disent car j’ai les vitres fermées mais je crois qu’ils essaient de me donner des informations. Si je dis ça, c’est parce que j’ai l’impression d’avoir compris que l’un d’entre eux disait :
- « rentre chez toi ». Je trouve ça étonnant. Comment a-t-il fait pour deviner où j’allais ? Quoi qu’il en soit, quand j’aurai découvert où se trouve le bouton pour ouvrir les vitres, je vais éclaircir beaucoup de doutes !
19 février :
La ville est très mal éclairée. Aujourd’hui, j’ai fait ma première balade nocturne et j’ai dû rouler tout le temps avec les pleins phares, pour bien voir. Tous les conducteurs que j’ai croisés semblaient être d’accord avec moi puisqu’ils ont aussi allumé leurs pleins phares ; certains ont même allumé d’autres feux qu’ils avaient sur leur voiture. La seule chose que je n’ai pas compris, c’est pourquoi ils klaxonnaient. Peut-être pour faire peur à un chien ou un chat. Allez savoir !
26 février :
Aujourd’hui, j’ai eu un accident. Je me suis engagée dans un rond-point et comme il y avait beaucoup de voitures (je ne veux pas exagérer mais il devait y en avoir au moins quatre), je n’ai pas réussi à en sortir J’ai continué à tourner en restant bien près du centre en attendant une occasion. Ça m’a étourdi et j’ai fini par aller taper contre le monument au milieu du rond-point. Je crois qu’ils devraient limiter la circulation dans les ronds-points à une voiture à la fois !
3 mars :
La malchance me poursuit. Je suis allée chercher la voiture au garage et, juste quand je sortais, je me suis trompée de pédale, accélérant à fond au lieu de freiner ! J’ai heurté une voiture qui passait, abîmant tout son côté droit. Le hasard a voulu que le conducteur soit l’examinateur qui m’avait donné mon permis. Un homme bon, il n’y a aucun doute là-dessus. J’ai insisté sur le fait que c’était de ma faute mais lui, très poliment, n’arrêtait pas de répéter :
- « Que Dieu me pardonne, que Dieu me pardonne ! ».
Un homme était en train de tondre sa pelouse, quand tout à coup, il fut distrait par son attrayante voisine, une blonde pure, très bien tournée.
Elle sort de sa maison et se dirige directement vers sa boîte à lettres qui se trouvent à l’entrée de son terrain. Elle ouvre et referme aussitôt la boîte aux lettres.
Un peu plus таrd, elle ressort de la maison et se dirige, d’un pas pressé, vers sa boîte à lettres, et encore la rouvre et la referme violemment.
Elle s’en retourne furieuse à l’intérieur de la maison.
Comme l’homme achevait de tondre sa pelouse, v’là sa blonde voisine qui ressort de la maison, marchant rageusement vers sa boîte à lettres, la rouvre et la referme très fortement.
Intrigué par son comportement, notre homme s’avance et demande :
- Y a-t-il quelques choses qui ne va pas, chère voisine ?
La blondinette de se retourner, et toujours fulminant de lui répondre :
- Certainement, que ça ne va pas ! Mon ordinateur stupide n’arrête pas de me dire « Vous avez du courrier. »