Charlie-le-massacreur, un énorme catcheur avec des bras gros comme ça, entre dans un bar et commande un double whisky. Il le vide d’un trait et en commande immédiatement un autre.
- Oh, et puis allez, j’offre une tournée générale ! lance-t-il à la cantonade.
Le patron sert tout le monde, puis présente l’addition au terrible Charlie.
- Laisse tomber, petit, fait le catcheur. Moi, je ne paie jamais.
- C’est ce qu’on va voir ! hurle le patron, furibond.
Il se précipite au-dehors, avise un agent de police et lui explique son cas.
- Un mauvais payeur, hein ? fait le flic. Ne vous en faites pas, je vais vous régler ça rapidement.
Mais quand il entre dans le café et qu’il voit le monstrueux Charlie-le-massacreur, le malheureux policier se sent défaillir.
- C’est lui qui refuse de payer ? demande-t-il.
- Oui, c’est lui, répond le patron. Alors, qu’est-ce que vous attendez ! Vous m’aviez dit que vous me régleriez ça rapidement !
Alors le flic, superbe :
- Monsieur, la police nationale n’a qu’une parole. Je vous dois combien ?
Un missionnaire arrive dans un village perdu au fin fond de la brousse africaine. Il est reçu aimablement par le chef de la tribu, qui rassemble pour lui toute la population devant la case commune.
- Mes frères, je suis venu vous parler du dieu des Blancs ! lance le missionnaire.
- Bouloukoula ! Bouloukoula ! répondent les Africains.
- Je vais vous apprendre à lire et à compter ! continue le missionnaire.
- Bouloukoula ! Bouloukoula !
- Et nous construirons un dispensaire pour soigner vos malades !
- Bouloukoula ! Bouloukoula !
Le missionnaire, un peu étonné par cet accueil enthousiaste, se tourne vers le chef de la tribu.
- Ça ne s’est pas mal passé, non ?
- Ça aurait pu être pire, dit le chef avec une moue fataliste. Venez, je vais vous faire visiter notre village.
Et il l’entraîne, lui montre toutes les cases, la rivière, l’étable…
- Prenez garde, mon père, dit-il en entrant dans l’enclos où sont parqués les buffles. Vous avez failli marcher dans la bouloukoula !
Au beau milieu de la guerre Iran-Irak, Khomeyni convoque le général en chef des armées iraniennes.
- Connais-tu le nom de l’amiral britannique qui battit Napoléon à Trafalgar ? lui demande-t-il.
Le général ne comprend pas très bien, mais il ne lui viendrait pas à l’idée d’argumenter avec le terrible ayatollah.
- Je crois qu’il s’agit de l’amiral Nelson, répond-il.
- Exact. Et quelle particularité avait-il ?
- Euh… Il était borgne, je crois.
- Exact. Connais-tu maintenant le général russe qui battit lui aussi Napoléon ?
S’il ne s’agit que d’un jeu, le général se sent rassuré, et répond d’une voix plus forte :
- Bien sûr ! Il s’agit de Koutousov ! Il était borgne lui aussi, d’ailleurs…
- Je ne te le fais pas dire, murmure Khomeyni. Et connais-tu le général israélien qui battit les Égyptiens en six jours ?
- Oui, dit le général. C’était Moshe Dayan.
- Il était borgne lui aussi, n’est-ce pas ?
- Ben oui.
- Parfait ! dit Khomeyni en regardant son général avec des yeux terribles. Eh bien, tu sais ce qu’il te reste à faire, maintenant !
Toto se promène dans la rue avec son papa. Ils passent devant une maison bizarre, avec des fenêtres aux tentures fermées, des néons dans l'entrée, etc.
- Papa, c'est quoi la maison, là ? Hein papa, c'est quoi ?
Le papa, ennuyé :
- Ce n'est rien, ce n'est pas pour les petits garçons sages. Tu sauras plus таrd ce que c'est. Viens, on continue la promenade.
Revenu à la maison, Toto ne peut résister à la curiosité. Profitant d'un manque d'attention de son papa, il prend un billet de 200 euros dans le portefeuille familial et sort discrètement. Quelques minutes plus таrd, il est dans le hall de la grande maison avec des tentures et des néons colorés. Une dame en petite tenue se tient derrière un comptoir.
- Bonjour Madame, excusez-moi de vous déranger : Voici 200 euros, et j'en voudrais pour mon argent !
La dame, ennuyée, demande à Toto de patienter quelques instants. Elle se rend dans une pièce à l'arrière où se trouve le "patron".
- Dis, Giuseppe, il y a un gamin à l'entrée ; il m'a donné 200 euros et il m'a dit qu'il en voulait pour son argent. Qu'est-ce que je fais ?
- Il est sans doute victime d'une blague de copains plus âgés... Tu te souviens des crêpes qu'on a faites avant-hier. Il y en a encore quelques-unes au frigo. Réchauffe-les en vitesse, donne-les lui et rends-lui 195 euros. Il sera content et il partira. La dame s'exécute, amusée...
Revenu à la maison, Toto tombe sur un papa furieux. Il le cherche partout depuis une heure et il s'est aperçu du vol dans son portefeuille :
- Toto, où étais-tu ?
- J'étais dans la grande maison avec des tentures et des lampes de toutes les couleurs.
Le papa, très inquiet et craignant le pire pour l'innocence du fiston :
- Et qu'est-ce que tu as fait dans cette maison ?
- Papa, c'était fantastique ! Quel service ! J'ai donné 200 euros, on m'a rendu 195 euros. J'en ai eu 8, et il y en a 4 qui étaient tellement chaudes que j'ai du les finir sur le trottoir !
Un homme entre dans un café, s'installe au comptoir et attend le patron qui est absent. Au bout d'un quart d'heure, il va voir dans l'office et, ô surprise, découvre le patron avec la serveuse en train de faire crac-crac. Il fait demi-tour sur la pointe des pieds, puis va voir dans la salle du restaurant si quelqu'un peut le servir… Re-stupéfaction, il y a là la patronne et le commis de cuisine en train de faire leur petite affaire… Ecœuré, il quitte l'établissement et, sur le trottoir, voit un chien et une chienne également très occupés. Une idée lui vient alors. Il prend le chien et la chienne et les pose sur le comptoir. Le patron, qui est revenu à son poste, s'en étonne :
- Mais qu'est-ce qui vous prend ?
- Rien… C'est juste votre enseigne qui était tombée.
C'est un ouvrier qui appelle son patron...
- Patron, patron, je ne peux pas rentrer aujourd'hui, j'ai mal aux jambes, aux bras, à la tête, partout quoi !
Alors, son patron réplique :
- Ce que je fais dans ce temps-là quand j'ai la même chose que toi ; je demande à ma femme qu'elle me fasse une воnnе fellation... alors mon cher, essaye cela et rappelle moi dans deux heures pour me confirmer que tu vas rentrer travailler....
Alors, l'ouvrier rappelle deux heures plus таrd....
- Patron, patron... Ça marche... j'ai pu mal aux jambes, pu mal aux bras, pu mal a la tête... j'arrive travailler....
Le patron tout fier de son conseil lui répond :
- Alors, tu as suivi mon conseil à la lettre ?
- Oui patron, répondit l'ouvrier, en passant, t'as vraiment une sapristi de belle maison !
Un banquier épouse une femme, auparavant mariée 6 fois. Au cours de la nuit de noce, la jeune femme dit à son mari :
- Mon chéri, sois plus doux, s'il te plaît. Je suis vierge.
- Comment ? Mais tu as déjà été mariée 6 fois.
- Oui mais voici l'histoire :
Mon premier mari était psychiatre et se contentait de parler sexe.
Mon deuxième était gynécologue et ne faisait qu'ausculter.
Mon troisième était philatéliste et ne faisait que lécher.
Mon quatrième mari était manager des ventes, disait qu'il connaissait bien le produit, mais ne savait comment l'utiliser.
Le cinquième était fonctionnaire et affirmait qu'il savait ce qu'il fallait faire, mais que ce n'était pas de sa compétence.
Mon sixième mari était informaticien et disait que si tout fonctionne normalement, mieux vaut ne toucher à rien.
Enfin, je t'ai épousé toi, un banquier, pour être certaine de bien me faire baiser !