Il pleuvait à verse, et une grande flaque s'était formée devant ce pub écossais. Un vieillard en kilt, déguenillé, était là, sous la pluie, avec une canne et une ficelle pendue dans la flaque.
Un passant, touché par ce qu'il voyait, l’approcha et lui demanda ce qu’il faisait là sous cette pluie battante :
- Je pêche, répondit le vieillard tout simplement.
- « Pauvre bougre », pensa le brave homme, qui invita aussitôt le vieillard à l’accompagner dans le pub pour se sécher au chaud et prendre une boisson.
Alors qu'ils buvaient leur whisky à petites gorgées, le gentilhomme pensant faire plaisir au vieillard, lui demanda, un peu ironique :
- Et alors, vous en avez attrapé combien depuis ce matin ?
- Vous êtes le huitième répondit le vieil écossais en souriant !
Un Écossais bien bourré au sortir d’un pub s’écroule sur le trottoir et s’endort. Le lendemain à l’aube, alors qu’il dort encore, deux jeunes filles qui passaient par là remarquent l’Écossais en kilt, et décident de vérifier par elles-mêmes si cette légende est bien vraie…
Alors l’une des deux soulève le kilt et constate qu’effectivement les Écossais ne portent rien sous le vêtement traditionnel. Puis, avec espièglerie, l’une des deux filles retira un des rubans bleus qu’elle avait dans les cheveux et le noua autour de la virilité du poivrot écossais.
Un peu plus таrd, l’Écossais se réveille, et alors qu’il soulève son kilt pour soulager enfin sa vessie des litres de bière de la veille, il s’écrie en voyant son machin décoré :
- Ben mon gars, j’sais pas où t’as été te fourrer hier soir, mais en tout cas, t’as eu l’premier prix !
Echange de télégrammes économiques entre un père et un fils écossais. Le fils envoie à son père, le lendemain de sa nuit de noces :
- « 7, 13 et 3 »
Réponse du père :
- « 6, 7 et 3, 13 et 3, 7, 1, 10, 20 plaisir, 2, 100 servir. »