C'est le premier jour d'école pour une toute jeune professeur de français, plutôt mignonne, ce qui ne gâche rien d'ailleurs...
Lorsqu'elle entre dans la classe, elle remarque aussitôt que quelqu'un a écrit le mot « Pénis » sur le tableau. Elle scrute tous les visages de la classe pour tenter de déceler qui aurait pu faire le coup, mais peine perdue ! Du coup, elle efface le tableau et commence son cours. Le deuxième cours, avec la même classe; Cette fois-ci, un garnement a écrit le mot « Pénis » un plus grand sur le tableau. La nouvelle prof efface le tableau sans rien dire et commence son cours. Le lendemain, puis le surlendemain, puis le sur-surlendemain, même scénario, avec à chaque fois le mot « Pénis » écrit un peu plus grand sur le tableau... Vient enfin le samedi matin. La prof entre et s'attend a lire le mot « Pénis » en grand sur le tableau, mais a la place, il y a écrit:
- PLUS VOUS LE FROTTEZ, PLUS IL GROSSIT !
Le Président Macron fait le tour des écoles primaires afin de rencontrer les futurs électeurs du pays.
Il entre dans une classe et arrive au moment où l'institutrice est en train d'expliquer aux enfants le sens du mot tragédie.
L'institutrice se tourne alors vers le Président et lui propose de diriger la discussion. Ainsi "l'illustre" président demande aux jeunes élèves de lui trouver un exemple illustrant le sens du terme qu'ils viennent d'apprendre.
Un petit garçon se lève et dit :
" Si mon meilleur ami qui vit à côté de chez moi joue tranquillement dans la rue et qu'une voiture le renverse, ce sera une tragédie. "
Macron secoue tristement la tête :
" Non, mon petit... Ce serait un accident ! "
Un léger silence s'installe dans la classe. Le président insiste
" Qui veut proposer autre chose ? "
Une petite fille se lève alors à son tour :
" Un bus scolaire transportant 50 élèves tombe dans le ravin, et tout le monde meurt dans la chute. Ça, c'est une tragédie ! "
Macron secoue la tête à nouveau :
" Non, petite, il s'agit là d'une grosse perte pour le monde... "
Cette fois, c'est un lourd silence qui tombe sur le groupe. Macron s'impatiente légèrement :
" Allons, les enfants ! Il n'y a personne pour me donner un exemple sérieux de tragédie ? "
Alors, le petit Thomas du fin fond de la classe se lève :
" Si le jet privé alors qu'il transporte M. et Mme Macron, est frappé par un missile et est pulvérisé en plein ciel, ça c'est une tragédie ! "
" Fantastique ! " s'écrie le Président, le visage illuminé
" Voilà une superbe illustration du mot tragédie ! Et peux-tu expliquer à tes petits camarades la raison pour laquelle ce serait une tragédie ?"
" Parce que ça ne serait ni un accident ni une grosse perte pour le monde... ! "
Ça se passe à l'hôpital il y a quelques années déjà.
Le grand Professeur MachinChose tente systématiquement d'inculquer un grand principe à tous les élèves qui l'accompagnent pour la tournée des patients de son service.
Au cours de la tournée, le Professeur demande à une infirmière de lui apporter un prélèvement d'urinе du malade qu'ils ont en face d'eux.
Pendant ce temps, le professeur fait un petit speech sur le diabète sucré. Il dit:
"Déjà les romains, dans l'antiquité, avaient remarqué que les abeilles aimaient l'urinе des diabétiques. Pourquoi cela? Parce que l'urinе des diabétiques contient du sucre, du glucose..."
À ce moment, l'infirmière revient avec un flacon d'urinе et le tend au professeur. Celui-ci s'empare du flacon, le porte à la lumière, regarde par transparence au travers... Puis il trempe un doigt dans le flacon, et le porte à sa bouche! Il goûte son doigt comme si il goûtait un bon vin...
Le professeur fait ensuite passer le flacon parmi ses élèves autour de lui, et naturellement, tout le monde l'imite...
Le professeur reprend la parole:
- Vous venez d'apprendre le premier principe d'un bon diagnostic: il s'agit de l'observation.
Tous les jeunes docteurs sont très attentifs et attendent la suite, qui ne manque pas d'arriver:
- Vous avez vu que j'ai trempé le MAJEUR dans l'urinе, mais que j'ai reléché mon INDEX. Et d'après ce qu'il m'a semblé, ce n'est pas ce que vous avez fait.
Mathilde, 5 ans, revient de l'école. Elle a eu sa première leçon sur les bébés.
Sa mère, très intéressée, lui demande:
- « Comment cette leçon s'est-elle passée ? »
MATHILDE répond :
- "Paul a dit que son papa l'a acheté à l'orphelinat. Aline, ses parents sont allés l'acheter à l'étranger. Christine, elle a été faite dans un laboratoire. Pour Jean, ses papas ont payé le ventre d'une dame".
Sa mère répond en riant :
- « Et toi, qu'as-tu dit ?»
- "Rien, je n'ai pas osé leur dire que mon papa et ma maman sont tellement pauvres à cause de Macron, qu'ils ont dû me faire eux-mêmes !"