Un couple vient d'avoir un bébé, son premier. L'obstétricien leur annonce :
- Bon, tout va bien, votre fils est en parfaite santé. Un seul petit souci : il n'a pas d'oreilles...
- Quoi ? hurlent les parents.
- Ne vous inquiétez pas, il mènera une vie parfaitement normale. Il est robuste et bien constitué. Et puis, de nos jours, avec toutes les conneries qu'on entend partout, à la télé, les médisances des uns et des autres, etc. Non, franchement, c'est presque une воnnе chose !
Quelques jours plus таrd, ils rentrent tous les trois à la maison et commence le défilé de la famille et des amis pour voir le nouveau-né. Et tous réagissent plus ou moins pareil :
- Qu'il est mignon ! Il a tes yeux ! Et ses p'tites joues, elles sont à croquer ! Et ses mains, elles sont si petites, si mimi. Eh ! Mais... Il a pas d'oreilles !
Et le père, d'expliquer à chaque fois :
- Et non, il a pas d'oreilles. Mais de nos jours, avec toutes les conneries qu'on entend partout, à la télé, les médisances des uns et des autres, etc., c'est pas grave !
Et les grands-parents, les tantes, les oncles, les voisins, les amis, tout le monde admire le bébé mais finit fatalement par remarquer le cruel manque d'oreilles du petit.
Le père n'en peut plus. Il dit à sa femme :
- Aaahhh ! J'te jure, le prochain qui me dit qu'il a pas d'oreilles, je vais me le #@?&#% !
Et là, c'est le meilleur pote du père qui arrive. Il commente :
- Rho, c'te bouille ! Il est tro-gnon ! Il a ton nez ! Et la bouche de sa mère.
Le nouveau père serre les poings, la tension monte : il redoute l'instant fatidique où son pote remarquera l'absence d'oreilles...
- Il est si mignon ! Comment, avec ta tronche, t'as pu faire un bébé aussi joli ? charrie-t-il. Eh ! Mais... s'interrompt-il soudain.
- Ouiiii ? demande le père à deux doigts d'exploser.
- T'es sûr qu'il y voit bien ?
- ... Euh, je sais pas, oui, pourquoi ?
- Ben, il pourra jamais porter de lunettes !

Donald MacDonald, un Écossais de pure souche, fut un beau jour obligé de s'expatrier à Londres pour poursuivre ses études secondaires.
Après son premier mois de scolarité, il reçoit la visite de sa maman dans sa chambrette de résidence universitaire.
- "Alors, comment sont les autres étudiants anglais, Donald ?, demande-t-elle.
- Ils sont exécrables maman. Ce sont vraiment des gens bruyants et sans-gêne. Tous les soirs par exemple, mon voisin de la chambre à ma droite n'arrête pas de se cogner la tête contre la paroi. Quant à mon voisin de la chambre située de l'autre côté, tout ce qu'il sait faire c'est hurler et hurler encore !
- Oh mon pauvre Donald ! Comment arrives-tu à supporter ces malappris de voisins anglais ?
- Maman, je ne fais rien du tout. Je les ignore. Je reste là calmement assis sur mon lit à jouer de ma cornemuse."
Dans une petite ville de province, un représentant de commerce avait décidé de faire étape pour la nuit.
Malheureusement pour lui, il n'y avait qu'un seul hôtel, et toutes les chambres étaient réservées.
Le représentant insiste alors auprès de l'aubergiste:
- Vous devez me trouver une place pour dormir, même un lit n'importe où, je suis complètement vanné!
L'aubergiste lui répond:
- Ben, j'ai bien une chambre avec deux lit qui n'est occupée que par une personne... Et je suis sûr que cette personne serait ravie de partager sa chambre ainsi que le prix de sa chambre avec vous... Mais pour tout vous dire, cet homme est un ronfleur de la pire espèce. À tel point que ses voisins des chambres à côté viennent se plaindre ici tous les matins. Bref, c'est vous qui voyez.
- Pas de problème, je prends la chambre. Je suis trop crevé!
L'aubergiste fait faire connaissance aux deux locataires de la chambre et les laisse dîner.
Le lendemain matin, le représentant descend prendre le petit déjeuner, et contrairement à ce que pensait l'aubergiste, il a l'oeil vif et semble en pleine forme et bien reposé.
L'aubergiste lui demande:
- Vous avez réussi à dormir ?
- Oui sans problème.
- Les ronflements ne vous ont pas gêné ?
- Pas du tout: il n'a pas ronflé de la nuit.
- Comment cela?
- Eh bien, l'homme était déjà au lit quand je suis rentré dans la chambre. Alors je me suis approché de son lit et j'ai été déposer un baiser sur ses fesses en disant "Воnnе nuit ma beauté"... Et le gars a passé le reste de la nuit assis sur son lit à me regarder.
C'est un jeune curé qui est invité à dîner par le curé du canton voisin qui est un peu plus vieux que lui. Pendant le dîner, le jeune curé remarque comment la воnnе du curé est vraiment charmante et bien faite de sa personne.
Naturellement, le jeune curé ne peut pas s'empêcher de se demander si il n'existe pas une relation, du genre de celle que l'église réprouve, entre le curé d'âge mûr et la воnnе.
Pendant le repas, le jeune curé fait quelques sous-entendus à ce sujet, ce qui fait qu'à la fin du repas, le curé d'âge mûr lui assure que la воnnе ne s'occupe que du ménage et des repas, et c'est tout!...
Une semaine plus таrd, alors qu'elle sert le repas, la воnnе dit au curé d'âge mûr :
- Mon Père, depuis que le jeune prêtre est venu dîner, je n'arrive plus à mettre la main sur votre magnifique cuiller à sauce. Vous ne pensez pas qu'il aurait pu l'emporter avec lui, quand même?
Le curé d'âge mûr lui répond:
- Oh j'en doute. Mais je vais quand même lui écrire une lettre à ce sujet.
Alors le curé d'âge mûr écrit une lettre qui dit:
"Mon cher Frère, je ne dis pas que vous n'avez pas pris la cuiller à sauce, et je ne dis pas non plus que vous avez pris cette cuiller à sauce. Mais il y a une chose de sûre: cette cuiller a disparu depuis que vous êtes venus dîner"
Trois jours plus таrd, le curé d'âge mûr reçoit une lettre du jeune curé:
"Mon cher Frère, je ne dis pas que vous couchez avec votre воnnе, et je ne dis pas non plus que vous ne couchez pas avec. Mais une chose est sûre: Si vous couchiez dans votre propre lit, vous auriez déjà retrouvé votre cuiller à sauce.

Perdu dans la montagne, un journaliste se rend en Ouzbékistan pour y faire quelques reportages pour son journal. Dans un village reculé, il rencontre un vieillard et lui demande :
- Vous pouvez me raconter le souvenir le plus mémorable de votre vie ?
Le vieil homme sourit et commence son histoire :
- C'est un jour, il y a très longtemps, ma chèvre s'était égarée dans la montagne. Comme c'est la tradition, tous les hommes du village s'étaient réunis pour boire de la vоdка et partir à la recherche de la chèvre.
Il poursuit :
- Quand on l'a finalement retrouvée au petit matin, on a encore bu de la vоdка et, comme c'est la tradition, tous les hommes du village se sont tapé la chèvre un par un. Qu'est-ce qu'on a pu rigoler !
Le journaliste se dit que cette histoire est difficilement publiable et demande au vieil homme de lui en conter une autre, peut-être un peu moins grossière.
Le vieil homme sourit et dit :
- Un jour, la femme de mon voisin s'est perdue dans la montagne. Comme c'est la tradition, tous les hommes du village se sont réunis pour boire de la vоdка et partir à la recherche de la femme en question. Comme c'est la tradition, quand on l'a finalement retrouvée, tous les hommes du village se sont tapé la femme du voisin. On s'est bien amusés !
Le journaliste n'est pas encore convaincu et interroge le vieil homme :
- Vous n'auriez pas une histoire plus triste ?
Le vieil homme prend un air sombre et commence :
- Un jour, je me suis perdu dans la montagne...