C’est un camionneur qui passe par New York et qui s’arrête pour manger dans un « routier ». A peine est-il entré dans le restaurant qu’un autre gars portant un costume, un nœud papillon et un attaché-case entre lui aussi dans le restaurant.
Le patron demande au deuxième gars :
- Vous ne seriez pas avocat par hasard ?
Le gars répond :
- Vous êtes physionomiste vous alors ! En effet, je suis avocat.
Alors sans hésiter, le patron prend un fusil de chasse et descend l’avocat !
Le routier, témoin de la scène est effaré et demande une explication au patron qui lui répond aussi sec :
- Depuis dimanche, la saison de la chasse à l’avocat est ouverte à New York. Vous n’avez même pas besoin de permis pour ça. C’est fun, non ?
Le routier est emballé :
- Ouais, c’est super tu veux dire !
Et le routier explique qu’il vient tout juste de perdre jusqu’à sa chemise dans un divorce. Sur ce, le routier dîne, paie et reprend la route.
Il n’a pas parcouru un kilomètre qu’il se prend un énorme nid de poule, éclate un pneu et percute un des lampadaires de la chaussée. Alors qu’il tente de s’extraire de la cabine, une meute d’hommes et de femmes, portant costume et attaché case se précipite auprès de lui et tous brandissent leur carte de visite sous son nez en criant « prenez-moi prenez-moi on va attaquer les ponts-et-chaussées etc… »
À ce moment, le chauffeur sort un pistolet de sa boite à gants et commence à tirer dans le tas des avocats, faisant pas mal de ravages. Un peu plus таrd, la police et les ambulances arrivent. Le policier lui dit de lâcher son arme ; il lui passe les menottes et commence à lui lire ses droits après l’avoir informé qu’il était en état d’arrestation.
Le routier ne comprend pas :
- Mais ? Je pensais que la chasse aux avocats était ouverte ?!
- C’est exact, répond le policier, mais le piégeage est interdit.
Un patron d'une soixantaine d'années éclate de fureur en voyant sa secrétaire arriver vêtue d'un jean délavé et d'un tee-shirt multicolore.
- Vous croyez, hurle-t-il, que c'est une tenue pour venir au bureau ?
- Bien sûr que non, monsieur le directeur, répond la jeune femme, mais mon déshabillé de dentelle transparente, que j'ai lavé hier soir, n'était pas encore sec, quand je suis partie de chez moi, ce matin. Et si vous voulez bien m'accompagner, ce soir, jusqu'à mon petit studio, vous pourrez constater qu'il est toujours sur le séchoir et me le passer vous-même sur les épaules.
Le Président Donald Trump est réveillé en pleine nuit par un appel urgent du Pentagone :
- Monsieur le Président, lui dit le général en chef, à peine capable de se contenir, j’ai de bonnes et de mauvaises nouvelles de la plus haute importance à vous soumettre.
- Oh, non… gémit Trump, eh bien, allez-y, donnez-moi les mauvaises nouvelles d’abord.
- Les mauvaises nouvelles, monsieur, sont que nous avons été envahis par des créatures d’une autre planète.
- Ça alors ! et les bonnes nouvelles ?
- Les bonnes nouvelles, monsieur, sont qu’ils mangent des journalistes et qu’ils urinent du pétrole.
Un mari, terriblement jaloux, regarde sa jeune femme secrétaire se dévêtir.
Soudain, il bondit, en voyant qu'elle a des marques très nettes de doigts sur ses fesses rebondies.
- Qui est-ce, hurle-t-il, qui t'a pelotée ainsi ?
- Mon patron, répond-elle, avant de m'accorder mon augmentation.
- Ah ! bon ! fait le jaloux, apaisé. J'avais peur que ce ne soit un voyou qui t'ait manqué de respect, dans le métro.
C'est un gars qui est affublé d'un tic très marqué: il cligne des yeux tout le temps. Ce gars est justement en train de postuler pour une place de commercial, et en ce moment, il passe son entretien d’embauche.
L’employeur lui dit :
- C'est incroyable. Vous êtes diplômé des meilleures écoles de commerce, vos recommandations sont excellentes, et votre expérience est sans commune mesure par rapport à celle des autres candidats... Normalement, je vous embaucherais sans réfléchir... Pourtant, je pense qu'un commercial affublé d'un tic comme le votre aurait tendance à perdre des clients en leur faisant peur. Je suis désolé, mais je ne peux pas vous embaucher.
Le gars répond :
- Attendez, mon tic disparaît si je prends deux aspirines. Je vous assure !
- Vraiment ? Je ne demande qu'à vous croire. Montrez-moi !
Alors le gars fourre les mains dans ses poches et commence à en sortir toutes sortes de préservatifs des rouges, des bleus, des fluorescents, des parfumés.... et finalement, il sort une boite d'aspirine. Il l'ouvre, prend deux comprimés, les avale, et hop, les clignements d'yeux cessent peu à peu.
Le patron est assez surpris :
- Eh bien, vous avez dit vrai. Cependant, je suis le patron d'une compagnie respectable, et je n'ai pas l'intention d’employer quelqu'un qui court les filles parmi tout le pays !
- Courir les filles ? Que voulez-vous dire ? Je suis marié et très heureux en ménage !
- Alors comment expliquez-vous tous ces préservatifs ?
- Ah ça ?! Vous êtes déjà entrés dans une pharmacie, en clignant des yeux, et en demandant de l'aspirine ?