Maman, papa et la petite fille de dix ans s’en vont passer leurs vacances dans un camp de nudistes.
Le jour de l’arrivée, la petite fille va au bord de la plage dans l’espoir de ses faire des copains et des copines.
Lorsqu’elle revient un peu plus таrd, elle dit à sa mère :
- Maman, maman, il y a des femmes sur la plage, elles ont des plus gros nénés que toi !
La maman lui répond :
- C’est vrai chérie, mais tu sais, plus les seins sont gros, moins il y en a dans la tête…
Le lendemain, la petite fille rentre de sa ballade et dit :
- Maman, maman, il y a des monsieurs sur la plage, ils ont des plus gros kikis que papa !
Et la maman :
- Oui c’est vrai aussi. Mais c’est comme pour les femmes : Plus le kiki est gros, moins il y en a dans la tête…
La petite fille s’en va… puis revient en étant toute excitée pour dire :
- Maman, maman, papa est en train de parler à une femme qui a vraiment des gros nénés, et plus il parle, et moins il en a dans la tête…
C’est un monsieur très bien, très chic, qui a plutôt bien réussi dans la vie. Mais il est désespéré, parce qu’il a un fils d’une trentaine d’années qui est resté un vrai benêt. Il est tellement niais sur le plan sexuel qu’il n’y connaît rien, il n’a même jamais vu une femme déshabillée. Alors un jour, ce monsieur très chic se dit :
- Je ne peux vraiment pas laisser mon fils dans cet état-là ! Bon, je prends la Bentley et je l’emmène au claque. Allez viens, mon fils !
- Hum, où c’est qu’on va, papa ?
- Ecoute, suis-moi et ne pose pas de questions !
Cinq minutes après ils arrivent rue Sаinт-Denis, et le monsieur très chic aborde une prostituée:
- Bonjour, mademoiselle ! Vous me reconnaissez ?
- Ouais, c’est pourquoi ?
- Je vous ai amené mon fils parce qu’il a trente ans et qu’il serait temps de faire son initiation. Vous ne pourriez pas vous en charger ? Mais alors soyez gentille avec lui, parce que vous allez voir, il ne sait vraiment pas comment ça se passe…
- On a l’habitude ! Allez suis-moi, toi !
Le fils monte avec elle dans la chambre et elle lui fait :
- Bon, tu as déjà vu une femme de près ? Déshabillée, tout ça ?
- Hum ! Oh oui, à la télé ! Chez Dorothée !
- Bon alors écoute, on va commencer par le tout début: je me déshabille, tu te déshabilles, et on s’allonge sur le lit.
- D’accord !
Le temps de plier ses vêtements, le garçon vient se coucher à côté de la prostituée qui lui demande :
- Alors bon, qu’est-ce que tu en penses ?
- Ben, hum, il fait froid ! On ne pourrait pas se rhabiller ?
- Non, on va rester comme ça ! Comment tu me trouves ? Quel effet ça te fait, une femme à poil, tu trouves ça bien ?
- Hum, bah je sais pas…
- Bon, on va commencer par la bouche… C’est bien, la bouche, parce qu’on peut faire des tas de trucs avec, on peut s’embrasser… Et puis tout, je t’expliquerai. Bon alors maintenant, tu vois, ça c’est mes seins !
- Hum…
- C’est bien, les seins d’une femme, parce que tu vois, c’est chaud, c’est doux. Et on peut faire des tas de choses avec.
- Hum, oui madame !
- Et alors ça, c’est mon nombril…
- Hum, moi aussi j’en ai un !
- Oui, tu en as un aussi. On a tous des nombrils. On peut pas faire grand-chose avec, mais enfin c’est mon nombril. Alors là, c’est le principal, c’est l’essentiel… Là, on peut tout faire, tout ! Alors vas-y, tu peux toucher !
- Je peux ?
- Oui, vas-y ! Tu peux y mettre un doigt, par exemple !
- Hum !
- Bon alors, ça va ? Tu vois, ça ne fait pas mal ! Maintenant, tu peux mettre deux doigts…
- Ah pourquoi, ça siffle ?
C’est un fermier qui trouve qu’une de ses poules n’est plus assez rentable. Tous les matins, lorsqu’il la croise dans la basse-cour, il lui enfonce un doigt dans l’аnus afin de vérifier si elle va pondre.
Le premier jour, la poule, un peu surprise, ne réagit pas. Le deuxième jour, elle est inquiète. Plus les jours passent, plus son inquiétude croît.
Elle se décide enfin à aller voir sa copine la vache, et lui dit :
- Depuis 15 jours, tous les matins, le fermier me met un doigt dans le cul, et puis plus rien. Il s’en va comme si de rien n’était. C’est frustrant à la fin !
- Tu penses, dit la vache, moi, ça fait 5 ans qu’il me caresse les seins, et il ne m’a jamais embrassée !
La belgique entraîne depuis de longs mois un spationaute en vue de sa prochaine mise sur orbite: régime alimentaire, draconien, entraînement physique intense, levé tôt tous les matins, abstinence sexuelle absolue, et cette p#ù%&de$^Û »#de,?*-de fusée qui veut jamais décoller.
Aussi un matin le brave et unique membre d’équipage craque décide de rester au lit mais quand même d’envoyer Janik son épouse à sa place, pas risquer de se faire foutre à la porte de la boite quand même.
- Mais chéri tu n’y pense pas !
- Mais si je t’assure en plus avec le scaphandre personne ne verra que ce n’est pas moi ! de toute façon ça marche jamais.
L’épouse se laisse convaincre et évidemment ce jour-là, la fusée part. Janik fait 70 fois le tour de la terre et amerrit au large d’Ostende, complètement groggie.
Elle se réveille allongée sur une table, la combinaison défaite jusqu’au nombril, avec au-dessus d’elle un type qui lui masse violemment les seins de haut en bas. Elle dit au gars :
- Mais, mais qu’est-ce que vous faîtes ?
- Vous inquiétez pas mon commandant, on va vous les faire redescendre…