Dans une petite paroisse de campagne, un abbé vient d’être nommé pour aider le curé. Le jour de son arrivé, il est accueilli par son supérieur qui le met tout de suite au courant de ses activités :
- Ici, les journées sont simples, elles se déroulent toujours de la même manière. Vous vous lèverez à quatre heures et demie. À cinq heures, vous vous occupez du jardin du presbytère, vous ouvrez l’église et vous y faites un peu de ménage. À six heures et demie, vous dites la première messe. À sept heures quarante-cinq, vous allez au couvent des sœurs de Sаinт- Vincent-de-Paul pour la confession. Vous en avez pour un moment, là-bas. Vers neuf heures, vous revenez ici faire le catéchisme aux enfants. À dix heure trente, vous allez visiter les malades à l’hôpital. À midi, vous revenez préparer le déjeuner, faire un peu de ménage et mettre la table. Après le repas, vous devrez me lire mon bréviaire car ma vue baisse et, pendant que je me repose, vous vous occuperez des linges sacerdotaux : lavage et repassage. À trois heures, visite de l’hospice des vieillards. À cinq heures, c’est l’heure de la confession pour les paroissiens. À sept heures, vous dites la messe du soir. À huit heures, vous revenez préparer le dîner. À neuf heures, vous faites la vaisselle et vous rangez le presbytère. À dix heures, vous préparez mon sermon pour le dimanche suivant. Je pense que ce programme vous convient. Des questions ?
- Oui. Dites-moi, est-ce que vous avez de la farine ?
- Oui, bien sûr ! Mais pourquoi me posez-vous cette question ?
- Eh bien parce que, entre onze heures et quatre heures et demie du matin, j’aurais peut-être pu faire du pain !
Nous sommes en Belgique. Un Français passe devant le tribunal.
- Vous êtes accusé d’avoir traité votre воnnе de conne, accuse le président belge.
- C’est exact, rétorque le français. Mais si j’ai dit cela, c’est que ma воnnе est véritablement conne.
- Prouvez-le, demande le président belge.
- Toi, la воnnе, va voir à la maison pour voir si j’y suis, lance tout haut le français.
À cette demande, la воnnе quitte sa chaise et sort du tribunal.
- Vous voyez bien qu’elle est conne, dit le français.
- C’est vrai, dit le président belge, car moi, à sa place, j’aurais téléphoné.
C’est un couple de paysans, les Martin, qui donne une réception pour fêter le retour de leur fils, qui vient de réussir sa thèse de doctorat en médecine.
Le père Martin discute avec son fils :
- Tu sais, fiston, ta mère a un furoncle juste sur le trou du cul.
- Mais non, papa, on ne dit pas « trou du cul » on dit « аnus ».
- Ah ! bon.
Vers le milieu de la soirée, le père Martin explique à un groupe d’amis ce dont souffre sa femme.
- Vous savez, elle a un furoncle juste sur le….
Là, il a oublié l’explication de son fils. Alors, il se tourne vers lui et à haute voix :
- Dis-moi, fiston, comment appelles-tu le cul de ta mère ?