Blagues sur les policiers
Le commissaire de police, venu acheter un quotidien à la librairie-tabac-journaux de son quartier, fronce les sourcils en voyant un gamin d’une huitaine d’années emporter un magazine danois particulièrement gratiné.
- Vous n’avez pas honte, dit le policier à la commerçante, de vendre à cet enfant des revues pornographiques ?
- Mais, proteste-t-elle, c’est pour son bien.
- Comment cela ?
- Vous pensez bien que les galipettes de ce genre-là, à son âge, ça ne l’intéresse pas. Par contre, elles lui évitent, chaque semaine, une воnnе correction, depuis qu’il a trouvé l’astuce de glisser un de ces magazines dans son bulletin de notes, au moment de le faire signer par son père.
Un C. R. S. se fait sévèrement réprimander par son chef pour ses rapports incompréhensibles, rapport à son orthographe désastreuse :
- « Si vous me faites encore un rapport avec la moindre faute d’orthographe, je vous fais muter à Roubaix ! »
Le policier se jure de faire attention lors de la rédaction de ses prochains rapports.
Le lendemain, alors qu’il est en patrouille sur l’autoroute, il arrive le premier sur les lieux d’un très grave accident auto contre moto.
Après avoir constaté que les conducteurs de la moto et de la voiture sont morts, il prend son carnet et commence à noter en s’appliquant du mieux qu’il peut :
- « Une U-N-E, Fiat F-I-A-T, Uno U-N-O, dans le fossé F-O-S-S-É. »
- « C’est bon » se dit-il. « Je ne dois pas avoir fait d’erreur sur cette phrase. »
Et il se dirige vers la moto. « Une moto de marque Honda, H-O-N-D-A dans le fossé, F-O-S-S-É. »
- « Ma foi, ce n’est pas mal, » se dit le flic. Et il se dirige en confiance vers l’autre côté de la voie, où il découvre une tête décapitée.
- « Une tête T-Ê-T-E sous la glissière de sécurité, G-L-I-C-I-A-I … G-L-I-S-S-I-A-I … G-L-I-C-I-È … »
Finalement, il voit bien qu’il n’y arrivera pas et POF, il donne un bon coup de pied dans la tête puis écrit :
- « Une tête dans le fossé, F-O-S-S-É. »