Blagues sur les policiers
C’est un couple en voiture avec un enfant de trois ans. Ils roulent un petit peu vite, alors il y a un motard qui les serre et qui dit :
- Dites donc, là, vous êtes en état d’ébriété ! Soufflez un peu là dans le ballon, Monsieur, s’il vous plaît.
Le mec souffle, le ballon est violet. Le motard fait :
- C’est bien ce que je pensais, vous êtes en état d’ébriété.
Le mec lui répond :
- Ah non, non, pas du tout, je regrette, c’est votre ballon qui ne marche pas. Tenez, regardez, faites souffler ma femme, vous allez voir.
- Bon, je veux bien…
La femme souffle…
- Eh bien le ballon est violet, votre femme aussi elle est bourrée, je vous inculpe tous les deux.
- Non, non, non, c’est votre ballon qui ne marche pas. Tenez, faites soufflez le petit, il a trois ans, vous n’allez pas me dire quand même que…
- Bon, on va voir.
Alors le gamin souffle. Le motard regarde et le ballon est violet. Et le motard fait :
- Ah, c’est peut-être le truc qui ne marche pas. Effectivement. Vous pouvez y aller.
Alors, la voiture redémarre et le mari dit à sa femme :
- Ben, dis-donc, on a bien fait de refiler trois pastis au môme avant de repartir, hein !
André venait tout juste de baisser le toit de sa corvette et se promenait, cheveux au vent, sur l’autoroute. Grisé par l’air pur, il écrase le champignon et monte à 170 km/h. C’est alors qu’il aperçoit dans le rétroviseur les gyrophares en action d’un auto patrouille de la police qui tente de le rattraper. Il se dit alors :
- « Pas question que je laisse rattraper une corvette par la police »
Il appuie à fond sur l’accélérateur et, rendu à 210, il réfléchit à ce qu’il est en train de faire et décide, après tout, de ralentir et de se laisser rattraper. Le policier s’approche, prend ses papiers sans dire un mot, les examine, jette un œil sur la voiture et dit :
- « Écoutez, je termine mon quart et je suis fatigué. Je n’ai pas envie de rédiger une autre contravention. Alors, si vous me donnez une excuse que je n’ai pas encore entendue, je vous laisse aller. »
André hésite un moment et lui répond:
- « La semaine dernière, un policier est parti avec ma femme… »
- « Et alors ? » de rétorquer le policier.
- « Eh bien, je croyais que c’était lui qui tentait de me la ramener »
- « Conduisez prudemment, et воnnе fin de semaine ! »
(Récitation pour adulte, à lire à haute voix, de préférence avec un accent marseillais ou du Gers)
Un gendarme part en permission et il va voir son adjudant dans son bureau.
L’adjudant :
- Bites-moi Pandore, vous êtes bien vaginal ce matin. Où couillez-vous pédérastement en testiculant de la sorte ?
Le gendarme :
- Bite brigadier, le tampax et je dois m’en aller en sperme.
L’adjudant :
- Vous vous en allez en sperme un jour d’érection lorsque tout le monde va aux burnes, mais vous allez jeter la маsтurватiоn dans le service ! Bites-moi, où allez-vous en sperme ?
Le gendarme :
- Je m’en vais en sperme au-delà des foutrifications de la Bite Montmartre. On y jouit d’un point de vulve très clitoresque sur les copulations laborieuses. Ensuite, j’irai sur les verges fleuries de la Seine où se déroulent actuellement les fêtes Vénériennes, et je poursuivrai à travers les chancres fleuris vers les Putes Chaumont voir les jeunes filles qui jouent au pénis avec leurs craquettes.
L’adjudant :
- Bites-moi, Pandore, enculeur comptez-vous rentrer ?
Le gendarme :
- Eh bien, j’accrocherai le vagin de queue de l’automatrice et je serai là sur les couilles de baiseur-baiseur et demi.
L’adjudant :
- Très bien gendarme, alors воnnе sperme et anussez-vous bien.
Un couple fait un voyage de pêche. Le mari aime pêcher pendant des heures alors que la femme aime lire dans le bateau.
Un matin, l’homme fait la sieste quand la femme décide de prendre le bateau, sans savoir trop où aller, pour lire son livre sur le lac. Après une heure, un garde-pêche arrive.
- Bonjour madame, que faites-vous ?
- Je lis, c’est évident !
- Ok, mais vous êtes dans une zone où la pêche est interdite.
- Mais je ne fais que lire mon livre, je ne pêche même pas !
- Peut-être, mais vous avez tout l’équipement pour le faire. Je n’ai d’autre choix que de saisir votre bateau et de vous donner une contravention.
- Alors si vous faites cela, je vous poursuivrai en justice pour agression sexuelle.
- Mais madame, je ne vous ai même pas touché !
- Peut-être, mais vous avez tout l’équipement pour le faire.