Dans un sanatorium spécialisé pour les handicapés physiques, un cul-de-jatte annonce un beau jour à ses amis qu'il s'apprête à les quitter pour aller se marier. Les autres le félicitent et se cotisent pour lui offrir un cadeau (non, pas une montre...),.
Quelques jours plus таrd, le cul-de-jatte s'en revient rendre visite à ses anciens amis. Ils lui demandent comment s'est passé le mariage, et cherchent à en savoir un peu plus :
- Mais enfin, tu ne nous as pas dit, avec qui t'es-tu marié ? Comment est-elle ?
- Eh bien, je me suis trouvé une autre cul-de-jatte ! répond le jeune marié.
Les autres en coeur :
- Mais alors il faut qu'on sache : pour faire l'amour, comment vous faites ?!
- Ah, ça... répond le cul-de-jatte, heureusement que ma belle-mère est-là !
- Comment ça ? demandent les amis du sanatorium.
- Eh bien, elle pose sa fille sur la commode, moi elle me met dans un tiroir... et elle ouvre le tiroir... elle ferme le tiroir... elle ouvre le tiroir... elle ferme...
Un jeune marié en voyage de noces a quitté son épouse pour aller faire une partie de pêche. Sur le bord de la rivière, il rencontre un de ses potes.
- Comment, tu n'es pas avec ta femme ?
- Ben non, tu sais combien j'aime la pêche...
- Tout de même, tu aurais pu rester consommer un peu ton mariage...
- Ben non, elle a une infection vaginale... Et tu sais combien j'aime la pêche.
- D'accord, mais à ce moment là tu pouvais tout de même l'embrasser un peu ?
- Ben non, elle a des abcès dentaires et toutes ses dents sont gâtées... Et tu sais combien j'aime la pêche.
- Bon, mais alors pourquoi tu ne l'as pas emmenée faire une promenade ?
- Impossible, elle a un pied bot. Et tu sais combien j'aime la pêche.
- Excuse-moi, mon pote, mais si elle a autant de problèmes, pourquoi l'as-tu épousée ?
- Ben c'est qu'en plus elle a des vers. Et tu sais combien j'aime la pêche...
Après avoir fréquenté ma fiancée pendant un an, nous avons décidé de nous marier le mois prochain. Ma future belle-mère est géniale et en plus terriblement sеxy. Elle s'est occupée toute seule de tous les préparatifs : mariage, église, musique, photographe, dîner, fleurs, etc. Hier elle m'a demandé de passer chez elle pour revoir la liste des invités.
Arrivé chez elle, elle me dit qu'elle me trouve être un homme très attirant, que dans un mois je serais marié et que plus rien ne sera possible après ça, et donc qu'elle souhaiterait qu'on fasse l'amour comme des bêtes. Ensuite elle se lève et se dirige sensuellement vers la chambre à coucher.
Je suis resté debout, surpris et finalement je me suis dirigé en courant vers la porte de sortie.
Arrivé dehors, appuyé contre le capot de ma voiture son mari souriant m'explique qu'ils avaient simplement voulu s'assurer que leur chère fille allait bien épouser un homme honnête et fidèle, en me testant de cette façon et me félicite donc de ma réaction.
Conclusion : heureusement que j'avais mes capotes dans la voiture ...
La beauté de la mariée
« Après quelques années de vie commune , un jeune homme décide de se marier avec sa petite amie . Comme il n' est pas du tout au courant des traditions, à la fin de la messe , il s'approche du curé et lui demande:
- Excusez moi mon père , je sais qu'il est dans la tradition que les jeunes mariés fassent une offrande au prêtre qui a célébré le mariage , mais je ne sais pas ce que les gens donnent en général.
Le prêtre lui répond dans le creux de l'oreille:
- En général, c'est en fonction de la beauté de la mariée. Plus elle est belle , plus la somme est élevée.
À ces mots, le jeune marié se tourne vers sa femme . Il hésite quelques instants, plonge la main dans sa poche et tend une pièce d'un euro au curé.
Le prêtre, compatissant, lui dit:
- Ne bougez pas, je vais vous rendre la monnaie.. »
À trois heures du matin, un gendarme arrête un automobiliste et lui dit :
- Vous roulez bizarrement, monsieur. N'auriez-vous pas un peu bu ?
- Un peu bu ? Vous voulez rire, mon général! J'ai pas arrêté de picoler de la soirée! J'étais au mariage de mon copain Mimile. À l'apéro, j'ai descendu au moins 10 coupes de champagne. Pour l'entrée, j'ai dû écluser une bouteille et demie de blanc, et ensuite j'ai bien avalé deux bouteilles de bordeaux. A la fin, Mimile à sorti un magnum de cognac réservé à ses meilleurs potes et, sans me vanter, mon adjudant, je crois bien avoir fait descendre le niveau de moitié à moi tout seul!
- Très bien, dit le gendarme. Pour commencer, vous allez souffler dans ce ballon, puis on vous fera une prise de sang!
- Eh ben pourquoi ? Vous me croyez pas ?
Le lendemain de la nuit de noces, la jeune mariée dit à son époux :
- Chéri, j'espère que nous serons heureux ensemble, toute notre vie!
- Ah, mais ce n'est pas très compliqué! Je vais te dire ce qu'il faut faire. Ne me demande jamais où je vais quand je sors, et jamais d'où je viens, quand je rentre. Pour moi, le sommeil c'est sасré, alors ne me réveille jamais, même si tu es malade. Et puis, ne me demande jamais de faire la vaisselle ou le ménage. Ainsi, nous serons heureux!
- Très bien. C'est entendu! Mais je peux aussi exprimer une condition ?
- Mais bien sûr!
- Moi, je fais l'amour tous les soirs à 21 h 30, que tu sois là, ou pas!
Un mâcho veut se marier. Le soir après le mariage, il dit à sa nouvelle femme :
- Écoute, premièrement je vais te dire comment sa marche avec moi.
Le lundi, on va jouer au bowling moi et mes amis, à 3 heures, que tu sois là ou pas.
Le mardi, on va dans les bars et on joue au billard à 5 heures, que tu sois là ou pas.
Le vendredi, on va au cinéma voir le film de la semaine, que tu sois là ou pas.
La femme répond :
- Écoute, ici y'a qu'une règle : On baise tous les soirs à 7 heures. Que tu sois là ou pas !
Le jeune roi Arthur tomba un jour dans une embuscade et fut fait prisonnier par le monarque d’un royaume voisin. Le monarque aurait pu le tuer mais il fut ému de la jeunesse et de la joie de vivre d’Arthur.
Il lui offrit alors la liberté contre la réponse à une question très très difficile. Arthur aurait une année pour en deviner la réponse et, s’il ne pouvait la fournir au bout de ce délai, il serait tué.
La question était la suivante :
- « Que veulent réellement les femmes ? »
Une telle question ne manquerait pas de laisser perplexes les hommes les plus savants. Pour le jeune Arthur, cette quête risquait de s’avérer plus que difficile. Mais il valait tout même mieux la tenter que de subir une exécution immédiate. Il accepta la proposition du monarque de lui rapporter la réponse au bout d’une année…
Il retourna dans son royaume pour questionner tout le monde, depuis les princesses jusqu’aux putains, les prêtres, les sages et même le bouffon. Il interrogea chacun, mais personne ne put lui donner une réponse satisfaisante.
La plupart des gens lui suggérèrent d’aller consulter une vieille sorcière qui était la seule à pouvoir connaître la réponse à cette question. Le prix en serait élevé, car la sorcière était connue dans tout le royaume pour exiger des prix exorbitants en échange de ses services.
Le dernier jour de l’année arriva et Arthur n’avait d’autre choix que d’aller voir la sorcière. Elle accepta de répondre à sa question, mais le jeune roi devait d’abord accepter son prix : la vieille sorcière désirait épouser Gauvain, le plus noble des Chevaliers de la Table Ronde et le plus cher ami d’Arthur.
Le jeune Arthur en fut horrifié : la vieille sorcière était bossue et terriblement laide, elle n’avait qu’une dent, sa bouche exhalait en permanence une odeur de cloaque et elle produisait toutes sortes de bruits obscènes. Il n’avait jamais rencontré de créature aussi répugnante. Arthur refusait de soumettre son ami à une telle épreuve en l’obligeant à épouser une engeance aussi monstrueuse.
Gauvain, qui eut vent de cette proposition, s’adressa à Arthur en lui déclarant que si l’enjeu consistait à sauver la vie d’Arthur et à préserver la Table Ronde, alors, ce n’était pas un si terrible sасrifiсе que cela.
Ainsi, le mariage eut lieu et la sorcière répondît à la question :
- « ce qu’une femme veut vraiment, c’est pouvoir décider de sa propre vie. »
Chacun sut à l’instant que la sorcière venait de dire une grande vérité et que la vie d’Arthur serait épargnée.
Et ce fut le cas. Le monarque voisin épargna la vie d’Arthur et lui garantit une liberté totale. Quel mariage ! Arthur était partagé entre angoisse et soulagement…
Gauvain fut comme toujours agréable, charmant et courtois. La vieille sorcière, au contraire, fit montre de ses plus mauvaises manières. Elle mangea avec les doigts, rota et péta et mit tous les convives mal à l’aise. La nuit de noces approchait, Gauvain se préparait psychologiquement pour celle-ci et entra dans la chambre nuptiale. Mais quelle ne fut pas sa surprise ! La plus belle femme qu’il ait jamais vue se tenait devant lui ; Gauvain était éberlué et demanda à cette dernière ce qui se passait. La beauté répondît que puisqu’il avait été gentil avec elle quand elle était une sorcière, elle serait la moitié du temps horrible et déformée et l’autre moitié une magnifique jeune fille…
Quelle forme voulait-il qu’elle prenne le jour et quelle forme la nuit ? Choix cruel !
Gauvain se trouvait devant ce dilemme : avoir affaire pendant la journée à une femme superbe qu’il pourrait exhiber devant ses amis, mais ensuite, dans l’intimité de la nuit, subir une vieille et horrible sorcière ? Ou bien, dans la journée, faire face à une hideuse sorcière, mais retrouver la nuit une belle et séduisante femme et jouir de moments sublimes ?
Vous-même, que feriez-vous ?
Ce que choisit Gauvain est écrit ci-dessous, mais ne le lisez pas avant d’avoir fait votre propre choix.
Le noble Gauvain répondît à la sorcière qu’il la laisserait choisir elle-même. En entendant cela, elle annonça qu’elle serait belle tout le temps parce qu’il l’avait respectée et l’avait laissée décider elle-même de sa vie.
La morale de l’histoire est la suivante :
Quelle que soit son apparence, belle ou laide, votre femme est, fondamentalement, toujours une sorcière !