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Blagues mort

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Tenant une vingtaine de feuillets à la main, le notaire dit aux héritiers d‘un homme très riche qu’il a convoqués à son étude :
- Je vais vous donner lecture du testament, en négligeant, bien sûr, les insultes, les lazzis, les mots d’еsрriт vengeurs, les ricanements et les invectives dont il accable ceux qui ont toujours été dans l’attente de son héritage… Eh bien, voilà : j’en ai terminé.
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Un corbillard passe dans la rue, suivi de quelques personnes qui traînent les pieds.
- Pourquoi avez-vous tous des chaussures trop grandes ? demande un curieux.
- C’est le défunt, sa maladie l’avait rendu bizarre, il disait tout le temps qu’il voulait un enterrement en grandes pompes.
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Un milliardaire mourant donne les derniers conseils à ses fils :
- Soyez honnêtes et corrects ! Travaillez sans cesse et ne convoitez jamais le gain.
Les enfants se regardent interloqués. L’aîné dit :
- Rassurez-vous. Il est en train de délirer.
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Deux connaissances discutent lors de l’enterrement de leur ami commun :
- Il a vraiment a eu de la chance jusqu’au bout. Tu t’imagines, il a été opéré pour l’extraction d’une perle qu’il avait avalée par mégarde en mangeant des huîtres. Lorsque la perle a été examinée, elle s’est révélée avoir assez de valeur pour payer à la fois l’opération et les funérailles.
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Un condamné à mort monte sur l’échafaud. Son avocat lui demande :
- Est-ce que vous voulez un petit verre de rhum ou une cigarette ?
- Non… Mais je voudrais bien garder mon foulard… J’ai la gorge fragile.
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Un homme agonise, étalé sur le trottoir, une ваllе dans le bras, une hache dans l’oreille et un poignard dans le ventre. Un passant s’arrête:
- Mon pauvre vieux! Ça vous fait mal?
- Oui! Quand je rigole!
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Un quidam va voir un de ses amis qui est hospitalisé. Sa famille est devant la porte de la chambre et met en garde le visiteur :
- Faites très attention… C’est certainement la fin… Il n’y a plus d’espoir de le sauver mais il ne le sait pas. Alors, pas un mot…
- Vous pouvez compter sur moi. Je ferai très attention… D’ailleurs, je n’ai jamais fait de gaffes de ma vie entière…
Le type ouvre la porte de la chambre, trébuche en entrant… tombe la tête la première, ce qui provoque un saignement de nez très abondant et il se met à hurler :
- Меrdе alors, je vais crever moi aussi !
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Un monsieur entre dans le bureau des pompes funèbres et se renseigne sur les divers prix des cercueils.
- Vous avez ce modèle haut de gamme à 5.000 euros, dit l’employé.
- Ah non, c’est beaucoup trop cher. Surtout pour sa destination finale.
- Vous avez alors un modèle plus courant à 3.000 euros.
- Non, c’est encore trop cher.
L’employé commence à s’énerver un peu.
- Alors, cher monsieur, nous avons ce modèle à 1.500 euros.
- C’est encore trop cher pour moi.
Alors l’employé, qui commence à en avoir assez.
- Le décès remonte à quand, monsieur ?
- Il y a cinq jours, maintenant.
- Bon. Le corps est raide. Donc, je vous conseille d’acheter seulement 4 poignées et vous en aurez pour 40 euros seulement. Voilà, monsieur.
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Cette pièce connaît un grand succès. Pour obtenir une place au théâtre, il faut s’y prendre des semaines à l’avance. Pourtant, ce jour-là, près d’une femme, un fauteuil est vide…
- Pardon, madame, demande un monsieur à l’entracte, la place auprès de vous n’est pas occupée ? C’est tout à fait étonnant…
- C’est la place de mon pauvre mari. Il est mort.
- Oh ! Toutes mes condoléances, madame. Mais, cette place, n’auriez- vous pu en faire profiter un de vos amis ?
- Impossible, monsieur. Ils sont tous à l’enterrement.
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Un ouvrier est bien embêté : il doit aller annoncer à la femme d’un de ses collègues que celui-ci est tombé dans une énorme machine à faire du chewing-gum où il a été complètement broyé.
- Madame Dupont ?
- Oui.
- Bonjour, madame. Dites-moi, votre mari il était bien grand, brun et il faisait toujours des ronds avec la fumée de sa cigarette ?
- Oui.
- Eh bien maintenant, il est petit, rose et il fait des bulles…
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Le fossoyeur rentre chez lui épuisé.
- Tu as eu une journée fatigante ? lui demande tendrement sa femme.
- Ne m’en parle pas. J’ai enterré un comédien.
- Et alors ? Ces gens-là ne sont pas plus lourds que les autres…
- Non, mais quand il a été au fond de la fosse, toute l’assistance, pour lui rendre hommage, s’est mise à applaudir comme au théâtre.
- Et alors ? C’est pas les bravos qui t’ont mis sur les genoux ?
- Si… Car ils l’ont rappelé huit fois et il a fallu que je le remonte autant !
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Mon emploi de croque-mort me plaisait beaucoup. Du temps que je l’exerçais, je me souviens qu’un jour, en conduisant mon fourgon mortuaire, j’ai failli renverser un piéton. Mes collègues m’ont dit :
- Alors ? Tu maraudes ?
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Une pauvre femme qui vient de perdre son mari se rend chez l’ordonnateur des pompes funèbres pour la cérémonie d’inhumation.
- Monsieur, combien cela va-t-il me coûter ?
- Tout dépend de ce que vous voulez, madame. Pour un cercueil en chêne doublé de satin violet et avec de magnifiques poignées en argent, c’est 3000 euros. Pour 1500 euros, je peux vous proposer un cercueil en bois verni mais avec des poignées en cuivre. Mais évidemment, avec un cercueil en pin non verni et non doublé à l’intérieur, vous ne payerez que 1000 euros.
- Bon… Eh bien, je crois que je vais prendre la dernière solution, c’est-à-dire le cercueil en pin.
- Comme vous voudrez, madame, mais cela fera moins gаi !
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En remplissant un formulaire pour l’administration, un homme est bien embarrassé. En effet, on lui pose la question :
- « Votre père est-il toujours en vie ? Sinon, de quelle façon est-il mort ? » Et son père est effectivement mort : il a été guillotiné.
Il cherche comment contourner le problème et finit par écrire :
- « Père mort par un objet tranchant qui lui est tombé sur le cou au cours d’une cérémonie publique. »
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Deux badauds regardent passer un enterrement. Derrière le corbillard, une limousine noire, s’étire une longue file de voitures roulant au pas.
- Qui est-ce qu’on enterre ? demande l’un des badauds.
- Celui qui est à l’arrière de la première voiture, je crois…
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Juste avant d’emmener le cercueil de feu monsieur le maire jusqu’à l’église, pour la messe d’enterrement, le croque-mort local s’aperçoit que la perruque du défunt ne tient pas en place. Rien à faire pour qu’elle tienne droit… Il en parle au curé, et ils vont tous les deux chercher un peu de colle. Quand ils reviennent, la perruque semble solidement plantée sur le crâne du mort.
- Mais comment avez-vous fait ? demande le curé à ses enfants de chœur, restés près du cadavre.
- C’est tout simple, monsieur l’abbé. On a mis un clou…
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Une petite vieille sans famille est morte en plein hiver dans sa misérable masure. Elle ne laisse rien, si ce n’est un testament dans lequel elle demande à être incinérée, puis enterrée dans son village natal. La mairie se charge de faire appliquer ses dernières volontés et, après l’incinération, un corbillard des pompes funèbres municipales est chargé de convoyer les cendres de la malheureuse jusqu’à son village.
Mais il fait un froid terrible, les routes sont gelées et le corbillard ne cesse de déraper dangereusement. Alors le chauffeur s’arrête et se tourne vers l’employé des pompes funèbres qui l’accompagne :
- Va chercher la vieille. On va cendrer…
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Du bist der Nächste Като съм на сватба Per 15 anni ho continuato a sentire le mie zie ai matrimoni dei parenti dire: Damals als KLEINER JUNGE auf diversen HOCHZEITSFEIERN: Die Bekannten sagten immer zu mir und mit einem breiten Grinsen: Deux potes discutent : I've 3 aunts and 4 uncles in any ceremony of wedding they mention me : "oh Cómo hacer que la gente deje de molestarte con: "¿Cuándo te vas a casar?" Mis tías solían acercarse a mí en las bodas Dois amigos conversam: — Cara Wspomnienia kolesia: - Jak byłem kawalerem Wie habe ich das gehasst: Als ich jung war und zu einer Hochzeit eingeladen wurde I used to hate weddings Jag har tröttnat på att gå på begravning Før i tiden hatet jeg å gå i bryllup. Hver gang jeg var i ét Cuando voy a una boda todas mis tías mayores se me acercan para picarme entre risas Bestemor dunket barnebarnet i ryggen i et brylup og sa: – Neste gang er det din tur. Hun sluttet med det når jeg sa det samme i til henne i en begravelse. Vroeger had ik een hekel aan trouwfeesten met familie. Elke keer weer kwamen er ooms en tantes op me af die me een por in m'n zij gaven en dan zeiden: "En nu jij nog hé!" Ze zijn ermee opgehouden... Mes tantes avaient toujours l’habitude de s’approcher de moi lors des mariages et de me dire en me pinçant les hanches : « Tu seras le prochain ». Elles arrêtèrent après que j’ai commencé à leur... Immer wenn ich auf Hochzeiten ging Ich hasse Hochzeiten. Da kommen immer alle Tanten und Omas und sagen du bist der Nächste. Seit ich das auf Beerdigungen mach When I was single I had this old aunt that use to come up to me at family weddings and poke me in the ribs and say Бабці на весіллях часто говорили мені "ти наступна". Вони перестали так казати після того Холостяк розповідає: — Раніше на весіллях бабульки штрикали мене пальцем під ребра і питали: "Ти наступний?" Вони перестали це робити “I hate going to weddings Kad biju jaunāka
Quand j’étais plus jeune, je détestais aller aux mariages parce que mes vieilles tantes et mes grands parents venaient près de moi, me donnaient une grande claque amicale dans le dos en lançant un joyeux :
- T’es l’prochain, gamin !
- Ils ont arrêté cette stupide blague quand j’ai commencé à la leur faire aux enterrements !
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