Deux chasseurs avancent dans un bois quand soudain, l’un des deux s’effondre. Il ne bouge plus, ne respire plus. Son compagnon sort son portable, appelle les urgences et hurle :
- Mon copain est tombé, je crois qu’il est mort !!! qu’est-ce que je peux faire ?
Le médecin, à l’autre bout de la ligne, lui répond :
- Calmez-vous, Monsieur ! D’abord, assurez-vous qu’il est bien mort ?!
Après un silence, le médecin entend un coup de feu et le chasseur lui dit :
- Bon, et maintenant, je fais quoi ?
Au moment où il entrevoit l'envers du miroir, où il sent s'approcher l'ultime seconde, il est permis de penser qu'un personnage célèbre délivre un message aux vivants. En voici quelques uns :
Le trappeur belge au canada:
« Bon alors, il sort de son trou cet ours… » tchouk tchouk tchouk…
« Но! le beau pit-bull ! »
« Chérie, t'as bien coupé le disjoncteur ? »
Sur une route de montagne :
« Sur ma voiture, je fais tout, je viens de changer les freins. »
« Papa, j'peux sortir les poubelles ? » (le petit Grégory)
« C'est quoi ce tic-tac ? »
En voiture :
« Меrdе, j'ai fait tomber ma cigar… »
« A tes souhaits »
« Y'a pas une radio qui passe autre chose que de la pub à 12h58 ? »
« ron…flllllllllll ron….. fllllllllllll »
« J'l'ai vu faire à la TV »
« Ne le débranche pas, ça va juste prendre un moment pour le réparer. »
« Prenons ce raccourci, il ne pourra pas nous voir de là-bas. »
« Qu'est-ce qui se passe si ces deux fils se touchent ? »
« Ne t'inquiète pas, il n'est pas chargé. »
Dans la navette Columbia :
« Touche pas à ça, соnnаssе !!!!! »
Toujours dans la navette Columbia :
« Soyez pas vaches, les gars, laissez-la conduire… »
« Ils ont réparé l'ascenseur ? »
« Écoute, je prends des cours de chimie, je sais ce que je fais »
« Pourquoi faire une dоuсhе ? » (Auschwitz)
« Fais-moi confiance. »
« L'élastique est assez solide ? »
Kennedy :
« C'est qui ce mec sur le building qui me regarde ? »
« Mmes et Mrs les passagers, nous entrons dans une zone de turbu… »
« La prochaine fois que tu me demandes quand on arrive, je me retourne pour te coller une baffe »
« Eecule-toi, tu sors du cadre »
« Tu vas voir comment il va le prendre VATANEN, ce virage » (Paris-Dakar)
« Et des comme ça, t'en as vu souvent ? »
« Quel branleur, ce Tyson »
« On fait une Hola ? » (Furiani)
« Moi, l'héro, ça m'fait rien »
« J'te parie qu'on est à Châtelet dans 10 minutes ! »
« Je pense que le Zaïre est dans cette direction »
« Ha ! les falaises Normandes ! »
« Ça fait quoi si on se penche trop dans une montgolfière ? »
« 100m, j'ouvre mon parachute »
« Le commandant du vol 800 de la TWA est heureux de vous acc…. »
« Tiens, un touriste a oublié son sac à dos » (Paris juillet 95)
« T'inquiète pas ! Je sais quand même changer une carte mère ! »
« Je vais leur dire ce que j'en pense moi, à ces C. R. S. »
« Ils font chier ces militaires (ces paras) bourrés dans le train. »
« Les corses, on va les mater. »
« Il faut terroriser les terroristes. »
« Ben évidemment que personne sait où je suis, puisque j'ai fugué ! Z'êtes un peu соn, quand-même, M. Dutroux ? »
« Cloclo, tu mets les infos … »
« On m'a dit que ce plat était excellente. »
« Sans les bras, sans les pieds, sans… »
« Vive Arafat ! » (dans une réunion d'extrémistes juifs à Hebron)
« Vive le Pen ! » (dans un quartier de la banlieue de Marseille)
« Vive Mohammed ! » (dans les tribunes où se trouve le кор du P. S. G.)
« Vive le capitalisme ! » (dans une réunion de la Ligue marxiste révolutionnaire)
« Gaffe au platane…Braque, chéri ! mais вrа… »
« A moi ! je ne sais pas nagegluglu… »
« Ils sont bons, vos champignons, Marie-Henriette… »
« Kessta, Rambo, vous cherchez la bagarre, toi et tes sbires ? »
« Regarde, chérie, le panneau signale qu'un train peut en cacher un autre, quelle воnnе blague ! »
« Dis, papa, ça fait quoi si je mets mes doigts sur les deux fils, là ? »
« T'y crois toi a la Vache Folle ? » (Oui, je sais la VF ça tue pas comme ça, mais bon..)
« Chéri t'as ferme le gaz ? »
« Elles sont méchantes vos abeilles ? »
« T'as eu combien à ce contrôle ? » (du père au fils)
« C'est quoi ce bouton ? » (Tchernobyl)
« Chérie, t'as bien coupé le disjoncteur ? »
« en les amis, je suis rudement content d'y goûter enfin, à votre spécialité exotique. Bon appétit ! »
« Santoni, je l’emmerde ! » (dans le maquis corse)
« Fini pour aujourd'hui les enfants, vous pouvez sortie en rang et sans bruit… »
« C'est avec joie que je me rends a l'école. Et vous ? »
« Ben dis donc ! Qu'est ce que tu conduis vite toi ! »
« Pourquoi t'as le vertige depuis ici ? »
« C'est l'histoire d'un belge arabe… »
« Pas de problème : ça tourne sous Windows 95 »
« Mais bien sur, que je sais changer une ampoule… »
« M'en fous, ma bagnole a de la reprise… »
« Comment ça tu veux aller a Lyon ? on est en pleine brousse ! »
« Qui a mis la bouteille de sirop pour la toux avec les détergents ?
« Laisse ! je vais de montrer comment on recharge un fusil de chasse. »
« Et toi, le mec de Carpentras, tu m'files l'adresse de ton coiffeur, vous avez eu un prix de groupe ? »
« Les mecs du Tour de France, ils descendent cette pente à plus de 100 à l'heure… »
« Range-moi ce sèche-cheveux, tu vois bien que je suis dans mon bain… et puis tes yeux sont tous rouges… tuas bu ? »
« Je parie que tu peux pas lancer ton javelot aussi lоin, bouge pas je vais chercher le mien… »
« Il a l'air vraiment calme ce lion dans sa cage… »
« Chérie, tu n'as pas pris un peu des hanches ? »
« Ah ! M. Kissinger, Dallas c'est vraiment une belle ville… »
Lors d'une Apple Expo :
« Vive Bill Gates ! »
« Ah bon, tu l'avais pas sauvegardé sur disquette, ce rapport de 500 pages ? »
« Si, si, il est solide le plancher ! »
« Si Jesus l'a fait, pourquoi pas moi ? (gloub, gloub, glb -) »
« Chérie, tu vas rire, j'ai marché sur le chien. »
« Mais je te jure chérie je ne sais pas comment cette culotte est arrivée dans ma poche »
« Écoute, tu m'as demandé de coller la moquette, pas de surveiller le bébé. »
« Les Неll's Angels c'est tous des tapettes. »
« CRS = SS »
« Tiens chérie prend le volant. »
« Y’a pas à chier, le matin au réveil tu ressembles vraiment à ta mère. »
« Je suis juste venu vous prévenir qu'on faisait une petite fête ce soir. »
« Tiens regarde, ça marche comme ça l'ABS. »
« Les yeux fermés je le double un boeuf pareil. »
« Et après Chateauvallon, vous comptez faire quoi ? »
« Tu es sure d'avoir coupé le courant. »
« Chérie, ça sent le gaz, allume. »
« Mais non, il n'y a pas de requins sur cette plage. »
« Mais tu ne vas quand même pas faire la gueule parce que ta femme est partie avec les meubles ? »
« Dis donc, tu sais que ta femme a rajeunie de dix ans depuis votre divorce ? »
« Comment fais tu pour entrer encore la dedans avec les kilos que tu as pris ? »
« Chéri, je t'ai dit que maman passait les vacances avec nous ? »
« Ben quoi, fallait préciser. Moi tu m'a dit de descendre le chien, je l'ai descendu. »
En Belgique :
« Bonjour Monsieur Dutroux. Ils sont bons vos bonbons. »
Sur frh :
« Dis, Serge. Je peux raconter une blague raciste ? »
« Hey, les gars ! Je vous parie 5$ qu'il est pas chargé. » Kurt Kobain
« T'es sûre que le médecin avait dit quatre pilules par prise ? »
« Excuse moi de t'avoir mordu l'oreille, Mike. »
« J'vous avais bien dit que j'étais malade »
« Vous êtes sûr que l'ascenseur est réparé ? »
« Alexandrie… Alexandra… » (celui qui chante dans son bain)
C’est l’histoire de Ben Laden qui arrive en Enfer. Tout de suite après être entré, il aperçoit deux personnes en grande discussion et qu’il reconnaît tout de suite. Ce sont Нiтlеr et Staline.
Ben Laden s’approche :
« Bonjour, je suis Ben Laden ».
Ils continuent à discuter comme si de rien n’était.
« J’ai été le grand terroriste international du début du 21ème siècle. »
Ils continuent à discuter de plus belle.
« Avant de mourir, j’étais le pire ennemi des Américains et des Juifs. »
Les deux s’arrêtent et se retournent.
« Le pire ennemi des Juifs, hmm », fait Нiтlеr.
« Le pire ennemi des Américains, hmm », fait Staline.
Ben Laden qui voit qu’il les intéresse enfin dit encore :
« À une époque, j’avais des milliers de gens à mes ordres qui étaient prêts à se sacrifier pour moi. Pour mieux les convaincre, je leur avais même dit que s’ils mourraient en martyrs, ils iraient droit au paradis où ils seraient accueillis par des dizaines de jeunes vierges. »
Hitler dit :
« Moi, j’avais des millions d’hommes qui étaient prêts à mourir sur un mot de moi, et je ne leur avais rien promis en échange. »
Staline dit :
« Moi aussi, des millions de gens sont même morts en me remerciant, et je ne leur avais rien promis non plus. »
Ben Laden continue :
« J’ai quand même fait tuer 3000 américains en moins de deux heures à New York et Washington. En plus, j’ai failli faire tomber un avion sur une centrale nucléaire, ce qui aurait tué au moins plusieurs dizaines de milliers de personnes supplémentaires et contaminé la région de Washington pendant plusieurs dizaines d’années. »
Hitler n’a pas l’air convaincu :
« Moi, en 5 ans, j’ai fait tuer 6 millions de juifs, des centaines de milliers d’homosexuels et de tziganes. »
Staline continue :
« Moi, en 30 ans, j’ai fait tuer 20 millions de personnes, j’ai aussi fait irradier une воnnе partie de la Sibérie avec des essais atomiques sur des zones habitées. »
Ben Laden essaie de continuer :
« Quand même, pendant plusieurs mois, j’ai été l’ennemi public numéro un du monde entier ! »
Hitler répond :
« Petit, moi j’ai été l’ennemi du reste de la planète pendant 5 ans. J’ai même failli être maître du monde. »
Staline dit :
« Moi, pendant 10 ans, j’ai été maître absolu du monde communiste, soit un tiers de la population mondiale. »
Ben Laden fond en larmes :
« Moi aussi je suis un génie du mal, vous n’avez pas à me mépriser comme ça. »
Hitler s’approche et le prend par l’épaule :
« Allons, allons. Tu sais, tu nous as amusé. On t’aime bien finalement... La preuve, d’ailleurs, avec Staline, on discutait pour savoir qui allait faire la femme ce soir, et bien on a trouvé ! »
Lorsque le vieux Monsieur Bronstzki est mort, Madame Bronstzki alla voir le croque-mort pour lui dire :
- Monsieur Bronstzki, mon mari, portait une moumoute. Personne d'autre que lui et moi n'était au courant. Il faudra vous assurer que, lors de la présentation du corps, personne ne puisse se douter qu'il était chauve. Si j'insiste sur ce fait, c'est parce que chez nous en Moldavie, les proches du défunt ont l'habitude de lui serrer les mains et de lui caresser les cheveux en guise d'adieu.
Alors le directeur des pompes funèbres la rassure :
- Vous inquiétez pas Madame Bronstzki, sa moumoute sera tellement bien fixée qu'elle ne risquera pas de bouger d'un poil.
La présentation du mort et la bénédiction ont lieu. Tout se passe très bien malgré les traditionnelles effusions moldaves. Tellement bien que le soir, lorsque tout est terminé, Madame Bronstzki dit au croque-mort :
- Vous avez fait un formidable travail. Merci encore pour avoir permis de garder le secret de la moumoute de mon mari. Pour cela, je vous donnerai un supplément de 100 euros sur les frais d'obsèques !
Le croque-mort lui répond :
- Oh Madame Bronstzki, je ne peux pas accepter. Vous savez, ça n'était jamais que quelques clous.
Deux skins de Carpentras sortant d'une boite de nuit un peu éméchés, décident de repasser par le cimetière histoire de rire un peu. Arrivés au beau milieu du cimetière, leur attention est attirée par un bruit répétitif, comme celui fait par un marteau sur de la pierre.
Tremblant de peur mais seulement intérieurement (ce sont des skins), ils avancent pour savoir ce qui est à l'origine du bruit.
Et 30 secondes plus таrd, ils voient ce vieillard, armé d'un marteau et d'un burin, en train de taper sur une pierre tombale.
Un des skins soupire de soulagement :
- Ah ben vous alors, vous pouvez vous vanter de nous avoir foutu la trouille. Et pourtant, il nous en faut déjà une воnnе dose, hein Dédé ! On vous avait pris pour un fantôme... Mais dites hein peu, qu'est-ce que vous faîtes ici à cette heure-ci ?
Et le vieux répond :
- Ces abrutis ! Ils ont fait une faute d'orthographe à mon nom !
Cela fait bientôt quatre ans que Germaine a perdu son mari, et encore maintenant, elle déprime ; elle porte le deuil et elle pleure comme si il était mort hier. Pourtant sa fille l'appelle souvent au téléphone et lui conseille de se changer les idées, de revoir du monde, etc.
Un beau jour quand même, Germaine se décide à sortir, mais problème, elle connaît très peu de monde. Sa fille saute sur l'occasion et lui dit tout de suite :
- Maman, je connais quelqu'un que tu dois à tout prix rencontrer. Il est parfait.
Alors rendez-vous est pris entre Germaine et le monsieur. Et coup de chance, les deux se plaisent et décident de se revoir. Au bout de six semaines de sorties ensemble, ils décident de partir en week-end à deux à la mer...
Lorsqu'ils se retrouvent tous les deux dans la chambre de l'hôtel, Germaine se déshabille et se retrouve toute nue, sauf qu'elle garde une petite culotte de dentelle noire. Elle dit alors à son amoureux :
- Tu peux me caresser les seins et tout mon corps, mais sache qu'ici bas (pointant son рuвis) je suis toujours en deuil.
Et naturellement, pour le prétendant, cette phrase fait l'effet d'une dоuсhе froide.
La nuit suivante, c'est le même scénario. Germaine se retrouve en petite culotte de deuil devant son amoureux qui lui est en tenue d'Adam... avec une érection du tonnerre de Zeus, laquelle est couverte par un préservatif noir !
Germaine le regarde alors, étonnée, et demande :
- Dis-moi, qu'est-ce que c'est que ça ? Un préservatif noir ?!
Le gars :
- Ben oui, je viens présenter mes condoléances...
C’est une femme qui va jouer au bridge tous les jeudis après-midi avec ses copines. Un certain jeudi, elle se retrouve avec un tellement bon jeu qu’elle ne voit plus le temps passer et continue à jouer bien plus longtemps que d’habitude.
Lorsqu’elle s’aperçoit de l’heure avancée, elle s’écrie :
- « Oh, non ! Je dois vite rentrer faire à manger à mon mari ! Il sera très en colère si il rentre et que son repas n’est pas prêt. »
Elle quitte le cercle de jeu et rentre chez elle; elle réalise très vite qu’elle n’aura pas le temps de faire des courses, et comme il ne lui reste plus que de la laitue, un œuf et une boite d’aliment pour chat, elle tente le tout pour le tout : Elle ouvre la boite à chat, mélange ça à l’œuf qui lui restait, et garnit le tout dans une assiette avec des feuilles de salade.
C’est à ce moment que son mari rentre à la maison… Il s’installe à table, goûte et ô surprise, il dit :
- « Mmmh, chérie, c’est le meilleur plat que tu m’as préparé en 30 ans de mariage. Tu peux recommencer tous les jours, mmmh ! »
Et pour fêter ça dignement, le soir, ils firent l’amour alors que ça ne leur était pas arrivé depuis plusieurs mois !
Évidemment, à partir de ce moment, tous les jeudis elle refaisait le même dîner à son mari, et puis ensuite, elle ne tarda pas à lui faire le même tous les jours.
Lorsqu’elle raconta cela à ses copines du club de bridge, elle lui dirent horrifiées :
- « Tu vas le tuer ; Il ne pourra pas manger de la bouffe pour chat tout le reste de sa vie ! »
Deux mois plus таrd, le mari meurt. Aux funérailles, les copines du club de bridge attaquent la nouvelle veuve :
- « Tu l’as tué. On t’avait pourtant prévenue ! Comment peux-tu rester aussi calme et sans montrer l’ombre d’un remords ? »
La veuve répond alors :
- « Ah, ce n’est pas moi qui l’ai tué ! Il est tombé du haut de l’armoire alors qu’il était en train de se lécher le trou du cul. »
Un monsieur très riche a appelé son notaire sur son lit de mort car au dernier moment, il veut changer ses dernières volontés…
- Je veux laisser tout ce que je possède, actions, titres de propriétés, immeubles et tableaux de maîtres, je veux tout laisser à ma femme, mais avec une condition…
- Et quelle est elle ? demande le notaire.
- Si elle veut tout hériter de moi, ma femme doit se remarier dans les six mois qui suivent ma mort !
Le notaire est assez désabusé par la condition demandée par son client, et il demande :
- C’est assez inhabituel comme condition. Vous avez une explication pour cela ?
- Oh oui ! C’est parce que de cette façon, je suis sûr qu’au moins une personne regrettera ma mort.
Alors le notaire commence à rédiger le nouvel acte… Et puis le mourant l’interrompt pour lui faire une recommandation de plus :
- Dans mes dernières volontés, ajoutez que je veux être incinéré et qu’ensuite mes cendres soient dispersées dans la mer.
Le notaire à qui on ne la fait pas demande tout de suite pourquoi, et le vieux répond :
- C’est juste pour le cas où ma femme voudrait faire ce qu’elle a toujours dit qu’elle ferait à ma mort… danser sur ma tombe.