Un type a un collègue de bureau gentil mais très рот de colle et qui a une marotte, c’est de raconter des petites histoires drôles (nous le soupçonnons, d’ailleurs, de les prendre sur ce site !). Bref, tout le monde le fuit. À la cantine, un jour, le premier type a le malheur d’être assis en face du raseur et immanquablement celui-ci lui dit :
- Robert, je vais te raconter une histoire belge.
- Écoute, je les connais toutes, les histoires belges.
- Mais celle-là, je suis sûr que tu ne l’as jamais entendue !
- Laisse-moi manger tranquillement. Je te dis que je les connais toutes.
- Tu ne peux pas la connaître, elle est toute nouvelle.
- Je ne veux pas me fâcher, mais je ne veux pas entendre ton histoire belge.
- Bon, bon, je ne te la raconterai pas !
Et les deux types continuent à manger en silence. Mais au bout d’un moment, le blagueur n’y tient plus :
- Alors, je vais te raconter une histoire russe.
Pour avoir la paix, l’autre craque et lui dit :
- Bon, si tu veux. Les histoires russes, je ne les connais pas.
- Alors, voilà. C’est un Russe qui s’adresse à un agent de police et qui lui dit :
- « Je suis bien à Moscou, une fois ? »
Nous sommes en Belgique. Un Français passe devant le tribunal.
- Vous êtes accusé d’avoir traité votre воnnе de conne, accuse le président belge.
- C’est exact, rétorque le français. Mais si j’ai dit cela, c’est que ma воnnе est véritablement conne.
- Prouvez-le, demande le président belge.
- Toi, la воnnе, va voir à la maison pour voir si j’y suis, lance tout haut le français.
À cette demande, la воnnе quitte sa chaise et sort du tribunal.
- Vous voyez bien qu’elle est conne, dit le français.
- C’est vrai, dit le président belge, car moi, à sa place, j’aurais téléphoné.
Un milliardaire américain ne sachant pas quoi faire de son argent convoque un Américain, un Français et un Belge pour leur proposer un jeu stupide :
- J’offre 3 millions de dollars à celui d’entre vous qui me ramènera un maximum de balles de ping-pong, annonce-t-il.
Huit jours plus таrd, le Français revient avec un camion rempli de balles de ping-pong ; quinze jours plus таrd, c’est au tour de l’Américain de se présenter accompagné d’un cargo de balles de ping-pong.
- C’est très bien, fait le milliardaire, mais il faut attendre le Belge pour que le jeu soit juste !
Un an, deux ans, trois ans passent… Le Belge revient enfin, les vêtements déchirés, le corps ensanglanté et annonce fièrement :
- Ça y est, j’ai les balles de King Kong…