Un photographe, d'un grand quotidien national est affecté sur les lieux d'un grand feu de forêt. La fumée étant trop épaisse pour obtenir de belles images, il décide d'appeler la direction de son journal pour louer un avion.
" Il vous attendra à l'aéroport! " a-t-il été assuré par son éditeur.
Dès qu'il est arrivé au petit aéroport de sa région, un avion l'attendait sur la piste. Il saute dedans avec son matériel et hurle, " Allons y ! Allons y! "
Le pilote décolle et prend rapidement de l'altitude.
" Volez au-dessus du côté nord du feu, " dit le photographe, " Faites au minimum trois ou quatre passages plus bas."
" Pourquoi ? " demande le pilote
" Je vais prendre des photos ! Je suis un photographe, et les photographes prennent des photos ! "
Dit-il avec exaspération et en montrant son matériel. Après un temps de réflexion le pilote se tourne et répond :
" Vous voulez dire que vous n'êtes pas l'instructeur ? "

Un tireur d'élite entre chez son armurier pour acheter une nouvelle lunette de visée. Le gars lui présente un nouveau modèle super performant:
Vous voyez la maison là-bas sur la colline à 3 km, c'est chez moi, utilisez la lunette vous y verrez comme si vous y étiez.
Le tireur prend la lunette et confirme:
Ouais on voit super bien et je vois même un mec et une femme en train de rigoler au 1er étage.
Le vendeur lui arrache la lunette des mains et regarde aussi et devient tout pale. Il ouvre un tiroir, en sort 2 balles et les tend au tireur.
- Si vous mettez une ваllе dans la tête de ma femme et une dans la bite du mec, je vous offre la lunette. Le tireur reprend son observation de la maison et lui rend une ваllе en expliquant:
Si je tire tout de suite, une ваllе devrait suffire...
23 juin 1940. Trois jours après l'instauration de l'occupation nazie, Нiтlеr vient à Paris et se rend dans une école primaire.
Là, il passe les classes en rеvuе et décide de s'arrêter devant Benoît, jeune garçon de CE1.
"Tu me plais bien, petit, dit Нiтlеr. Ce soir, tu dîneras avec moi !"
Le garçonnet devint immobile, comme glacé par l'annonce de sa mort. Lui qui vient de fêter ses 7 ans, le voilà aux portes de l'indicible.
Le soir venu, c'est l'heure du repas.
"Vient petit, approche toi et vient t'asseoir... à côté de moi." dit le führer cyniquement.
L'enfant s'exécute, tel un robot obéissant à une commande.
"Goûte cela, dit Нiтlеr. C'est un repas exceptionnel, préparé juste pour toi"
L'enfant s'exécute encore, complètement abasourdi par la situation.
"Alors, petit, tu es content d'être ici, dis moi ?" L'enfant hoche doucement la tête.
" Et ce repas te plaît, hein ? Excellente viande, n'est-ce pas ?"
Benoît est tellement traumatisé qu'il ne se rend pas compte qu'il hoche la tête en continu.
Puis Нiтlеr se met sournoisement à s'intéresser à lui :
"Tu as des frères et sœurs, petit ?"
Benoît acquiesce.
"Ah ! C'est bien ça, la famille, quand les petits marmots jouent tous ensemble, hein ?
Tu les aimes tes frères et sœurs, petit, hein ? Et tes parents, petit, tu les aimes aussi, dis moi ?"
Le garçonnet est au bord du gouffre. Il ne comprend rien à tout ça et commence à devenir fou. Il sent que tout son être va imploser. Malgré cela, il parvient à répondre à Нiтlеr.
- Oui, je les aime, monsieur.
" Ah ! Mais c'est formidable ça, petit ! Parce que si tu aimes tant tes parents, tes frères et tes sœurs, alors ne te gêne pas, reprends-en !"