Blague Vulgaire, Blagues Vulgaires
Un jeune légionnaire arrive dans sa nouvelle caserne, en plein désert. Une fois installé, il demande à ses nouveaux camarades :
- Dites, les gars, on fait comment pour les filles, ici ? On va au bordel de la ville d'à côté ?
- Non, y en a pas. Heureusement, un berger vient ici tous les mois avec ses chèvres. Et il nous laisse nous les faire. Mais t'as pas de bol, il est passé hier, il va te falloir attendre trente jours !
Les jours passent, lentement, et le jeune légionnaire est de plus en plus en manque. Le jour J arrive, le légionnaire aperçoit le berger s'approcher du campement avec ses chèvres et, n'y tenant plus, se précipite sur le troupeau, attrape la première bête qu'il trouve et se la fait !
Au bout de quelques secondes, il lève le nez et voit tous ses camarades en rond, autour de lui, morts de rire. Il réalise alors qu'ils se sont moqués de lui :
- Ah, bande de salauds, vous m'avez bien eu ! En fait, y a un bordel pas lоin et vous y allez de temps en temps, c'est ça ?
- Non, c'est pas ça ! C'est que tu as choisi la plus moche...
Suite à une soirée arrosée et un pari perdu, je lance ma campagne pour devenir maire de loos-en-gohelle.
Contre toute attente, après un discours enflammé sur "NOOOOTRRE PROOOOJEEEET !!! " je finis par l'emporter.
J'apprends alors à connaître mes concitoyens et fais la rencontre de josianne.
Si son corps semble tout droit sorti de los angeles, elle est bien de loos-en-gohelle, son intellect ayant fait les frais d'une certaine consanguinité.
Je décide alors de l'emmener en balade en forêt... Une fois sûr que personne ne pourrait nous surprendre, je séduis la simplette :
- Dis josianne... Ça te dirait une petite levrette ?
- Ah bah vii monsieu mair
Ni une ni deux, c'est parti au milieu des bois.
Soudain je l'entends :
"Y a kekun qui vient ! "
Pas question qu'on me surprenne avec la niaise, le nouveau maire a une image a défendre ! Je remonte mon pantalon vite fait et regarde partout... Rien.
"Mais non josianne, tout va bien ! Il n'y a personne"
Et hop c'est reparti !
"Y a kakun ki vient ! "
Remontage de pantalon, observation attentive... Personne... Commence à me saouler la begueuloude...
"Y a personne josianne ! Arrête un peu..."
Je reprends.
Soudain, je me prends une giclée de меrdе partout...
Je reste là, pétrifié, bouche ouverte quand j'entends :
"Avais di y a kaka qui vient..."
Steevy & Jean-Guitou veulent un enfant. Ils font appel à une mère porteuse, et celle-ci se fait inséminer avec un mélange de leurs spermes pour laisser le hasard opérer. Neuf mois plus таrd, elle accouche d'un joli petit garçon. Les deux amoureux vont à la maternité découvrir leur bébé, et arrivent à la nurserie. Là, ils font face à une grande salle, pleine de nourrissons qui braillent. L'infirmière-puéricultrice les emmène vers leur petit, aux travers des pleurs. Arrivés devant le berceau, ils voir leur bébé. Il est tout mignon, ils sont trop fiers ! Jean-Guitou s'extasie :
- T'as vu comme il est beau ? Et en plus, tous les bébés ont une tétine dans la bouche et ils chialent tous ! Et nous, il a pas de tétine, et il pleure même pas !
L'infirmière intervient :
- Si, si, il en a une... mais pas dans la bouche !
Le Grand Maître convoque le Petit Scarabée :
- Tu as à présent presque terminé ta formation. Il te reste une ultime épreuve : celle de l'énigme, pour démontrer ton intelligence.
- Bien, Grand Maître.
- Quelle est la différence entre une femme et une perle ?
Le Petit Scarabée réfléchit, réfléchit, mais ne trouve rien à répondre. Le Grand Maître lui donne la solution :
- Une perle s'enfile par les deux bouts, Petit Scarabée !
- Oh, c'est vrai, Grand Maître, je n'y avais pas pensé.
Un temps passe. Puis le Petit Scarabée reprend :
- Mais, j'y songe, Grand Maître : certaines femmes aussi.
- Dans ce cas, Petit Scarabée, ce sont des perles !
Un rabbin ayant une envie très pressante rentre dans un bar pour la satisfaire. Au moment où il rentre dans le bar, le brouhaha et la musique ambiants disparaissent pour laisser la place à un silence très lourd. Le rabbin s'avance vers le barman et demande :
- Pourrai-je utiliser vos toilettes ?
Le barman lui répond :
- C'est que... je ne sais pas si c'est un endroit pour vous !
Mais le rabbin insiste :
- Je vous en prie, il s'agit d'une envie pressante. Ne me laissez pas dans le besoin (sic).
Alors le barman :
- C'est que Monsieur le rabbin, nous avons dans les toilettes de ce bar la statue d'une femme qui mis à part une feuille de vigne est complètement nue, et je ne voudrais pas que vous soyez gêné par cela.
Le rabbin lui dit alors en se dirigeant vers la porte des toilettes :
- Ne craignez rien. Je suis tout à fait capable de supporter la vue de ce genre d'objet païen.
Au bout de quelques minutes, le rabbin est de retour dans le bar, mais cette fois-ci, la musique bat son plein et le brouhaha montre que tout le monde discute de bon coeur.
En s'approchant du barman, le rabbin demande :
- Je ne comprends pas très bien... Tout à l'heure quand je suis rentré, il n'y avait pas de musique, personne ne parlait, et maintenant, c'est tout le contraire.
Le barman répond :
- C'est que maintenant on sait que vous êtes des nôtres. Et d'ailleurs, pour fêter ça, je vous offre un coup à boire !
- Et pourquoi me considérez-vous comme 'un des vôtres' ? Parce que j'ai utilisé les toilettes du bar ?
Alors le barman lui répond avec un grand sourire :
- Non, pas tout à fait. Il faut vous expliquer qu'à chaque fois que quelqu'un va aux toilettes et soulève la feuille de vigne, alors toutes les lumières s'éteignent et se rallument dans le bar... Alors vous le prenez ce verre ?