Pourquoi j'ai viré ma secrétaire:
Je me suis réveillé et ce jour-là j'avais 40 ans.
Je ne me sentais pas très bien mais j'espérais que ma femme me souhaiterait un Joyeux Anniversaire. A ma grande déception, elle ne m'a même pas dit bonjour. Et au petit-déjeuner, mes enfants ne m'ont pas parlé.
Au bureau, ma secrétaire m'a dit:
"Joyeux Anniversaire!"
J'étais heureux, car au moins elle s'était souvenue de moi. Mais à ma grande tristesse, mes collègues m'avaient oublié. A midi, elle m'a proposé:
"Pourquoi ne pas déjeuner ensemble?"
Je me suis dit que c'était la plus belle chose qu'on m'avait proposée aujourd'hui. Nous sommes alors partis prendre un verre et manger ensemble.
Sur le chemin du bureau, elle m'a dit:
"Pourquoi retourner au boulot si tôt un tel jour? On peut passer chez moi."
Arrivés chez elle, elle m'a offert un verre et m'a dit:
"Cela ne te dérange pas que je me mette à l'aise?"
J'ai répondu:
"Quelle question!" Et dans ma tête je me disais que ça pouvait être une expérience intéressante.
Elle est partie dans sa chambre et est revenue avec un énorme gâteau suivie de ma femme, de mes enfants, de mon patron et de tous mes collègues.
Et moi j'étais comme un соn, à poil dans le salon...
Aux jeux paralympiques, il n'y a que trois concurrents pour la natation. Chacun est présenté par son manager.
- Mon nageur, dit le premier, n'a pas de jambes. Mais il a des bras très puissants, c'est une bombe!
- Le mien, dit le deuxième, n'a pas de bras. Mais ses cuisses le propulsent comme une torpille!
- Quant au mien, dit le troisième, il n'a ni jambes ni bras, mais il a de grandes oreilles très souples qui lui permettent de nager le crawl plus vite que les autres nageurs.
- Très bien, dit un des organisateurs. Nous allons procéder à des essais. Mettez vos nageurs à l'eau afin qu'ils nous montrent leurs capacités!
Les trois managers descendent leur nageur dans la piscine. Les deux premiers nageurs commencent à nager très vite, tandis que celui qui n'a ni jambes ni bras coule à pic. Son manager le repêche rapidement et lui demande :
- Mais pourquoi n'as-tu pas nagé comme tu le fais d'habitude ?
- T'es соn ou quoi ?Je t'avais bien dit de ne pas m'inscrire dans une compétition où le bonnet est obligatoire!
Un douanier, tout près de la retraite, prend en charge deux jeunes recrues qu'il doit instruire. Il les emmène à un poste frontière sensible et leur dit :
- Jeunes gens, souvenez-vous bien de ce que je vais vous dire. Le maître-mot de notre métier est : le FLAIR!
Ils arrêtent un camion et le chef demande :
- Que transportez-vous dans votre véhicule ?
- Des épices, rien que des épices!
- C'est ce qu'on va voir.
Il sort au hasard trois sacs du camion, les renifle, les soupèse et dit à ses élèves :
- Noubliez pas... le FLAIR... Rien que le FLAIR! Qu'y a-t-il dans ce sac ?
Les deux jeunes reniflent et soupèsent le sac. Ils déclarent en chœur :
- Des épices, chef ! Peut-être du thym ?
- Bien. Qu'y a-t-il dans ce deuxième sac ?
- Des épices, chef ! Peut-être du laurier ? répondent-ils en chœur, après avoir reniflé et soupesé le sac.
- Très bien. Maintenant, dites-moi ce qu'il y a dans ce troisième sac.
Ils reniflent et soupèsent le sac plusieurs fois. Puis ils disent, dubitatifs :
- Ce sont sûrement des épices, chef ! Mais nous ne savons pas quoi.
- Eh bien, c'est là qu'interviennent l'expérience et le FLAIR, jeunes gens. Je vais vous le dire, moi, ce qu'il y a dans ce sac. Ce ne sont pas des épices, comme monsieur veut nous le faire croire. C'est... De la quincaillerie !
Oh, chef, vous êtes formidable ! Comment avez-vous deviné ?
- Ce n'est pas bien compliqué pour un homme chevronné comme moi. Il suffit de lire. C'est écrit sur le sac : Clous de girofle!
Michael le Maître Dragon était un officiel à la cour du roi Arthur. Il était obsédé par un fantasme, fourrer son nez dans la voluptueuse poitrine de la jolie reine mais il savait que la sanction serait la mort. Un jour il révéla son désir secret à son collègue Horatio, lequel était le médecin-chef du roi.
Horatio lui dit :
- Je peux arranger ça mais j'ai besoin de 1000 pièces d'or pour soudoyer.
Michael le Maître Dragon accepta volontiers. Le jour suivant, Horatio le médecin fabriqua une lotion grattante et en versa un peu dans le soutien-gorge de la reine pendant qu'elle prenait un bain. Peu après s'être rhabillée, la démangeaison commença et augmenta en intensité. Après avoir été appelé à la chambre royale, Horatio dit au roi que seule une salive spéciale, si appliquée pendant quatre heures, pourrait guérir ce type de démangeaison, et les tests avaient montré qu'une telle salive ne pouvait être trouvée que dans la bouche du Maître Dragon.
Le roi Arthur convoqua Michael le Maître Dragon. Celui-ci se mit l'antidote que lui avait donnée Horatio, dans la bouche et pendant les quatre heures suivantes, il travailla passionnément sur les seins magnifiques de la reine.
Satisfait, il retourna dans sa chambre et y trouva Horatio qui demandait son paiement. Toutefois, il refusa de payer Horatio et l'envoya paître sachant qu'il ne pourrait jamais rien dire au roi sur cette affaire. Le jour suivant, Horatio mit une dose massive de la lotion grattante dans le caleçon du roi Arthur.
Le roi Arthur convoqua Michael le Maître Dragon.
La morale de l'histoire : il faut payer ses dettes.
De retour de son voyage au Canada, le Zé cherche à se faire embaucher dans une scierie du coté de la Capelette.
Le patron lui demande : - Tu y connais quelque chose, en bois?
- Sûr, les yeux fermés je reconnais toutes les essences! Rien qu'avec le nez ! Parole ! Et même des fois, je peux dire d'où vient le bois !
Le patron de la scierie qui n'y croit pas trop décide de lui faire passer un petit test.
Il rassemble tout le personnel. On bande les yeux du Zé.
Le premier échantillon est posé sur la table.
Zé le renifle et dit : - Ça, c'est du chêne, et même du jeune chêne….
Il vient de la Sаinте Baume… Coupé il y a au moins deux ans !
Sifflements admiratifs.
Le patron pose un deuxième échantillon sur la table:
Ça c'est du hêtre, dit le Zé… du hêtre qui vient de Fontainebleau…
Murmures approbateurs et respectueux dans la salle.
Le patron pose un troisième échantillon sur la table et dit : - Allez un peu plus dur !
- Ça, c'est du cèdre du Liban… Il a voyagé sur le pont d'un tanker, il sent encore l'essence.
Le patron est très impressionné.
Mais comme il est très joueur, il veut tenter une dernière expérience:
Il demande à la vieille secrétaire de mettre sa culotte sur la table et dit au Zé :
- Si tu me dis ce que c'est que celui là, je te donne le boulot !
- Le Zé renifle un coup, un deuxième, hésite… et puis subitement il a un grand sourire :
"Ah! C'était un piège!!! Ce n'est pas du bois qu'on utilise normalement dans une scierie...
C'est un bois qui a déjà été travaillé... C'est la porte des chiottes d'un bateau de pêche !
Un Basque et un Béarnais veulent sortir un samedi soir à Bayonne, mais ils sont fauchés et ont en tout et pour tout 1 euro. Le Basque dit :
- Attends, j'ai un bon plan, tu vas voir, et il achète une saucisse de Strasbourg à 1 euro.
- T'es соn dit le Béarnais, on n'a plus un rond, qu'est-ce qu'on va faire maintenant ?
- T'occupes, tu vas voir ...
Ils entrent dans un bar du petit Bayonne, commandent 2 Ricard et les boivent ... Après l'avoir bu, le Basque dit au Béarnais :
- Voilà mon truc, j'ouvre ma braguette et j'y glisse discrètement la saucisse. Tu t'agenouilles devant moi et tu suces la saucisse, ça ne rate jamais, on va se faire jeter .
Le premier fait donc sortir la saucisse de son pantalon, le second s'agenouille et commence à sucer la saucisse ... Ça ne rate pas, le patron les interpelle :
- Pas de ça ici messieurs, vous sortez tout de suite !
Comme ça marche, ils remettent ça dans un autre bar, y boivent un 2ème Ricard, hop, saucisse, expulsion ... et même manège de bar en bar. Mais au bout du 20ème bar et autant de Ricard, le Béarnais fait au Basque :
- Écoute, on arrête, je n'en peux plus, j'ai trop mal aux genoux à force de m'agenouiller .
Et le Basque répond :
- Et moi alors, c'est pas mieux, j 'ai perdu la saucisse entre le 3ème et le 4ème bar ...... !!!!