Une femme de ménage désire une augmentation de 500 euros.
La Maîtresse de maison agacée par cette requête lui demande:
"-Et pourquoi voulez-vous une augmentation?"
La femme de ménage :
"-Ah ! Madame pour 3 bonnes raisons ! La première c’est parce que je repasse mieux que Madame.
- Pardon ? Et qui vous dit ça ?
- C’est votre mari qui me dit ça.
- Oh!
- La seconde, c’est que je fais mieux la cuisine que Madame !
- N’importe quoi ! Et qui a dit que vous faisiez mieux la cuisine que moi ?
- Monsieur votre mari chère madame !
- Oh !
- Enfin, la troisième raison, c’est que je fais mieux l’amour que Madame !"
La maîtresse de maison, hors d’elle se met à hurler :
"-Quoi ?!! Et c’est Monsieur qui vous dit que vous faites mieux l’amour que moi ?
- Non, Madame. C’est le jardinier, Madame !"

Un vieux corse sur son lit de mort, parle à sa fille:
- Je dois léguer mon héritage mais je le donnerai au plus feignant de mes petits fils, car c'est la tradition de notre famille qui a toujours été la plus feignante de toutes les familles corses, j'espère que tes enfants seront à la hauteur.
- Ne t'inquiète pas papa, je les ai bien éduqué, dans la vraie tradition corse.
Le vieux appelle le premier:
- Alessandro !
- Oui papi !
- Monte !
- Oui papi !
- Tu es dans le désert, à 100m il y a un supermarché et tu meurs de soif, que fais tu ?
- Mmmh... Les portes elles sont comment ?
- ... Euh... Les portes... Euh... Je sais pas, pourquoi ?
- Beh, si elles sont automatiques je rentre mais si je dois pousser, tant pis je meurs de soif.
- Bien pensé petit, tu peux descendre.
- Paulo !
- Oui papi !
- Monte !
- Oui papi !
- Tu es dans le désert, à 100m il y a un supermarché et tu meurs de soif, que fais tu ?
- Mmmh... J'ai pas d'argent sur moi, je mourrai de soif quand même.
- Ah ! Euh... Il y a un billet par terre.
- Alors j'attends que le vent se lève pour qu'il dépose le billet dans ma main sinon tant pis je meurs de soif.
- C'est bien petit, tu peux descendre.
A sa fille:
- Tu as bien éduqué tes enfants je suis fier de toi, cela va être difficile pour moi de les départager.
- Oui, papa je sais, mais tu n'as pas encore appelé l'aîné, c'est mon préféré, je suis sûre que tu vas l'adorer.
Le vieux appelle le troisième:
- Doumé !
- Oui papi !
- Monte !
- Non papi, toi descends.
Préambule:
En voici une qui a couru dans notre bon Canton de Vaud, à la suite des fortes restrictions budgétaires des frais de la Santé (je crois que c'est le cas dans tous les pays européens...!),. Chez nous, ce plan d'économie dans les hôpitaux portait le doux nom de Plan Orchidée. Alors voici l'histoire:
À l'Hôpital, le CHU de Lausanne, un jeune homme bien baraqué se morfond dans son lit depuis six semaines avec les deux bras dans le plâtre, suite à un accident de ski.
Vient le jour où les toubibs décident d'enlever les plâtres. Enfin seul dans sa chambre et débarrassé de ses plâtres, notre jeune gars enfile avec délectation ses deux mains sous les draps et va vérifier si sa zigounette est toujours en état de marche. Il commence ainsi à faire joujou avec, quand une infirmière entre inopinément dans sa chambre!
Celle-ci comprend immédiatement la situation et pousse un grand cri:
- NON! malheureux! ne faites surtout pas ça!
Notre gars, un peu embêté, ressort ses mains de dessous les draps. Mais, alors qu'il pensait se faire engueuler, il voit l'infirmière retrousser ses manches, enlever son bonnet, retirer les draps, attraper la zigounette de notre gaillard et commencer à lui tailler une pipe de derrière les fаgотs!
Bien entendu, il se laisse faire sans se faire prier... Une fois la 'chose' terminée, notre gars, qui n'en revient toujours pas, ose demander :
- C'est génial ! Mais pourquoi faites-vous ça ?
- Ce sont les ordres de l'Hôpital : depuis le Plan Orchidée, la Direction a réalisé que ça revient moins cher de se rincer la bouche que de nettoyer une paire de draps...!!!