Deux curés de campagne avaient l'habitude de se croiser tous les dimanches matins alors qu'ils se rendaient, à vélo, dans leurs églises respectives.
Cependant, à l'aube d'un beau dimanche matin du mois de Mai, un des deux curé est à pied et non plus à vélo. L'autre lui demande:
- Qu'est-ce qui est arrivé à ton vélo?
Et l'autre lui répond:
- Ben, j'ai bien peur qu'une personne de la paroisse l'ait volé...
- Pas possible?! Mais attend, j'ai une idée: Si tu veux connaître ton paroissien indélicat, je vais te donner un truc. En disant ta messe tout à l'heure, tu vas leur faire un sermon bien appuyé sur les Dix Commandements, et quand tu en seras au chapitre "Tu ne voleras point" tu t'arrêteras et tu regarderas fixement ton assemblée pour repérer celui qui se sent coupable.
Le dimanche suivant, les deux curés se croisent à nouveau, cette fois-ci à vélo tous les deux. Le conseilleur dit:
- Ah, je vois que mon conseil a été suivi d'effets
Et l'autre lui répond:
- Oui, enfin on peut voir ça comme ça. J'ai fait comme tu m'as dit le sermon sur les Dix Commandements, et quand j'en suis arrivé à "Tu ne commettras pas le pêché de chair en dehors du mariage", je me suis souvenu de l'endroit où j'avais laissé mon vélo!
C'est un jeune curé qui est invité à dîner par le curé du canton voisin qui est un peu plus vieux que lui. Pendant le dîner, le jeune curé remarque comment la воnnе du curé est vraiment charmante et bien faite de sa personne.
Naturellement, le jeune curé ne peut pas s'empêcher de se demander si il n'existe pas une relation, du genre de celle que l'église réprouve, entre le curé d'âge mûr et la воnnе.
Pendant le repas, le jeune curé fait quelques sous-entendus à ce sujet, ce qui fait qu'à la fin du repas, le curé d'âge mûr lui assure que la воnnе ne s'occupe que du ménage et des repas, et c'est tout!...
Une semaine plus таrd, alors qu'elle sert le repas, la воnnе dit au curé d'âge mûr :
- Mon Père, depuis que le jeune prêtre est venu dîner, je n'arrive plus à mettre la main sur votre magnifique cuiller à sauce. Vous ne pensez pas qu'il aurait pu l'emporter avec lui, quand même?
Le curé d'âge mûr lui répond:
- Oh j'en doute. Mais je vais quand même lui écrire une lettre à ce sujet.
Alors le curé d'âge mûr écrit une lettre qui dit:
"Mon cher Frère, je ne dis pas que vous n'avez pas pris la cuiller à sauce, et je ne dis pas non plus que vous avez pris cette cuiller à sauce. Mais il y a une chose de sûre: cette cuiller a disparu depuis que vous êtes venus dîner"
Trois jours plus таrd, le curé d'âge mûr reçoit une lettre du jeune curé:
"Mon cher Frère, je ne dis pas que vous couchez avec votre воnnе, et je ne dis pas non plus que vous ne couchez pas avec. Mais une chose est sûre: Si vous couchiez dans votre propre lit, vous auriez déjà retrouvé votre cuiller à sauce.