En Pologne, bien avant la Perestroïka et toutes ces sortes de choses, un pécheur sort un gigantesque poisson d'une rivière.
Il se dit :
- Si je me fais contrôler, on va croire que je l'ai acheté à l'étranger, ce poisson. Il n'y a rien d'aussi bien nourri en Pologne. Il le reflanque à l'eau et, роuf, le poisson se transforme en bon génie, qui lui propose 3 vœux (comme d'habitude).
Le Polonais réfléchit et dit :
- Je voudrais que les Chinois attaquent la Pologne.
Ce qui fut dit fut fait : cent millions de soldats chinois viennent, pillent, détruisent tout et s'en vont.
Le Génie : Quel est ton deuxième vœu ?
Le Polonais : Je voudrais que les Chinois attaquent la Pologne.
Le Génie : Ah ? Bon... Les Chinois reviennent, détruisent encore en plus la Pologne et repartent.
Le Génie : Quel est ton troisième et dernier vœu ?
Le Polonais : Je voudrais que les Chinois attaquent la Pologne.
Le Génie : ? Bon, les Chinois reviennent et, lorsqu'ils repartent, ils ne restent plus rien en Pologne, même plus de ruines : il n'y a plus une pierre posée sur une autre.
Le Génie : Dis-moi, pourquoi as-tu voulu que les Chinois attaquent 3 fois la Pologne ?
Le Polonais : Parce qu'ils sont passés 6 fois par l'URSS.
Un polonais se promène dans Gdansk. Au détour d'une rue, il aperçoit de nombreuses personnes en train de faire la queue.
Sans plus réfléchir, il se colle derrière et attend... Une heures plus таrd, alors que la queue n'a toujours pas avancé du moindre millimètre, il questionne la dame devant lui :
- Excusez-moi, madame, mais pour quoi faisons-nous la queue ici?
- Ah, ça! Je ne sais pas moi. J'ai juste aperçu des gens qui faisaient la queue, alors je me suis mise derrière.
Alors il ajoute :
- Demandez donc à la personne qui est devant vous pourquoi nous faisons la queue !
La dame demande, mais la personne répond :
- Je ne sais pas J'ai juste aperçu des gens qui faisaient la queue, alors j'y suis allée...
Et ainsi, de proche en proche, on remonte jusqu'à la deuxième personne de la queue qui demande à la première pourquoi elle fait la queue.
La première personne répond alors :
- Ah, mais moi, je me promenais dans la rue, et je me suis arrêté pour refaire mon lacet. Lorsque je me suis relevé, il y avait un monsieur qui attendait derrière moi. Je me suis dit:
"C'est le coup de chance! Pour une fois que je suis le premier à faire la queue, je reste !"
C'est l'histoire d'un Polonais qui a demandé l'asile politique en France, à une époque où la Pologne était aussi penchée vers la démocratie que mon percepteur vers le mécénat. Comme il est plutôt connu, une foule de journalistes l'attendent en bas de l'avion :
- Alors ? Monsieur Daissentaski, que pouvez-vous nous dire des droits de l'homme en Pologne ?
- Lai droa de l'homme ? Of, on ne peut pas se plaindre.
- Ah ? Bon. Et la dureté de la vie quotidienne ? Dites-nous quelques mots sur la dureté de la vie quotidienne.
- La vy cotidiane. Baf, non, on ne peut pas se plaindre.
- !! Mais alors, parlez nous de la répression politique !
- La raipraition politisky ? Non, la non plus, on ne peut pas se plaindre.
- Ben alors, pourquoi avoir demander l'asile politique ?
- ... Ben, justement, c'est qu'en France on peut se plaindre !
C'est un immigré polonais qui travaille sur un chantier de construction juste à côté de l'endroit où il habite.
Un jour, un camarade de travail lui dit :
- Tu n'as jamais remarqué que le contremaître partait vers 11 heures pour déjeuner et ne revenait qu'après 15 heures? Moi j'ai remarqué ça depuis plusieurs semaines, et du coup, j'en ai profité pour rentrer manger chez moi et tirer un coup avec ma femme. Tu devrais essayer !
Du coup, le lendemain, l'immigré polonais surveille le départ du contremaître, et dès qu'il s'en est allé, il rentre chez lui.
Alors qu'il arrive dans l'entrée, il entend la voix de sa femme et celle d'un homme qui émane de la chambre à coucher.
Sans bruit, il ouvre la porte de la chambre, et là, qu'est-ce qu'il voit ? Son contremaître en train de se faire sa femme !
Alors le gars ferme la porte sans bruit, quitte la maison et retourne au chantier.
Le lendemain, alors que son camarade de travail lui demande en lui faisant un clin d'oeil :
- Allez ! Je pense que tu vas rentrer chez toi 'en douce' ce midi encore hein ?!
Le polonais lui répond :
- Tu rigoles, c'est trop risqué ! J'ai failli me faire prendre par le contremaître hier !