Ce sont deux explorateurs belges qui se croisent dans le Sahara. Ils se sont perdus..
- On va mourir ici, dit le premier. Ça fait quinze jours que je n’ai pas bu un verre.
- Moi non plus, une fois…
- Tiens, vous êtes Belge ? Moi aussi ! C’est drôle de se rencontrer en plein désert ! Vous êtes d’où ?
- De Bruxelles.
- Ah ça, une fois, c’est incroyable, moi aussi je suis de Bruxelles ! Et vous habitiez où, à Bruxelles ?
- J’habitais place de Bruges.
- Oh c’est pas possible, moi aussi j’habitais place de Bruges ! A quel numéro ?
- J’habitais 3, place de Bruges.
- Oh, moi j’habitais le 2 ! C’est соn, on aurait pu rentrer ensemble !
C’est deux truands belges qui décident de faire un cambriolage de nuit dans une banque.
Ils ont tellement bien préparé leur coup, que la nuit venue, ils déjouent tous les systèmes d’alarmes et arrivent dans la salle des coffres.
Le premier des gangsters parvient à ouvrir un des coffres, mais quelle déception quand il s’aperçoit que le coffre ne contient pas d’argent mais seulement des pots de yaourt.
Le second gars ouvre lui aussi un coffre et trouve la même situation. Ils finissent par ouvrir tous les coffres mais ne trouvent que des pots de yaourts. Des yaourts et rien que des yaourts.
Le premier dit :
- « Je suis sur que c’est un sale coup des flics, tiens, pour les emmerder, on va bouffer tous les yaourts, tu verras la tête qu’ils tireront au journal télévisé. »
Et aussitôt, les deux gars de mettent à gober tous les yaourts, un par un, et ils finissent à l’aube avec le ventre plein.
Le lendemain matin, à la une du journal local on pouvait lire :
- « Hold-up incroyable à la banque du sperme ! »
Eddy et Willy se retrouvent pour vider leur vessie dans les urinoirs d’un café de Bruxelles.
Eddy ne peut s’empêcher de remarquer que son voisin a la bite spiralée comme un tire-bouchon..
- Waow, dis-donc, c’est incroyable ça : t’as la bite toute tire-bouchonnée ! On dirait une queue de cochon !
Willy :
- Ben oui. Pourquoi, la tienne n’est pas comme ça ?
- Ah non, la mienne est normale, droite quoi, tiens regarde…
- Ben moi je pensais que la mienne était normale jusqu’à ce que je vois la tienne.
Là-dessus, les deux gars finissent leur petite affaire, et Eddy se secoue la nouille pour faire tomber la dernière goutte avant de remballer le paquet dans le caleçon.
Willy qui voit la scène demande :
- Ben pourquoi tu fais ça ?
- Je fais tomber la dernière goutte, c’est tout, répond Eddy.
- Incroyable ! Et moi qui l’ai essorée pendant toutes ces années…
Un Belge rentre dans un bar à Paris. Il s’assied au comptoir.
Le garçon s’approche :
- Qu’est-ce que vous prenez, Monsieur ?
Le Belge :
- Un whisky avec deux glaçons, une fois. Il boit son verre et se dirige vers la sortie.
Le garçon l’appelle :
- Monsieur, vous n’avez pas payé votre consommation…
Le Belge répond :
- Vous m’avez proposé de prendre quelque chose. Je n’ai rien demandé, donc je ne dois pas payer !
Et il sort, laissant le garçon complètement éberlué…. Le garçon raconte l’affaire à ses patrons le soir:
- J’ai deviné à son accent que c’était un Belge. Il est parti sans payer sous prétexte que c’est moi qui lui a demandé à boire !
- Ce n’est pas grave, dit le patron, Demain je tiendrai le bar. S’il revient, il verra à qui il a affaire !
Le lendemain, le patron est au bar. Le belge entre, s’assied au bar et attend. Le patron lui demande ce qu’il désire boire :
- Un whisky avec deux glaçons, une fois, répond le Belge.
Le patron reconnaît l’accent et lui sert son verre. Après avoir bu, le Belge s’en va sans payer. Le patron lui dit :
- Eh, vous, vous n’avez pas payé votre verre !
Le Belge répond :
- Non, c’est vous qui me l’avez proposé. Quand on offre un verre, on ne réclame pas d’argent !
Et il sort, trop rapidement pour que le patron réagisse. Le soir, le patron raconte son infortune à sa femme :
- Ça ne fait rien, dit-elle, Demain, je m’en occupe et je ne me laisserai pas faire…
Le lendemain, la dame est au bar, le belge entre dans l’établissement.
- BONJOUR, fait la dame.
- BONJOUR, une fois, répond le Belge.
La patronne reconnaît le belge en question et décide de se méfier. Elle attend un bon moment, le Belge ne réagit pas. Au bout d’une demi-heure, la patronne n’y tient plus mais fait preuve de finesse :
- Monsieur, désirez-vous passer commande ?, demande-t-elle.
Le Belge répond :
- Un oeuf cuit dur, s’il vous plaît une fois.
Intriguée, la patronne lui donne son oeuf. Le Belge enlève la coquille, prend un couteau et commence à découper l’oeuf en petits cubes, devant les yeux médusés de la patronne.
- Que faites-vous, Monsieur ?, dit-elle très curieuse.
- Eh bien, je suis un fana de pêche, et j’ai mes recettes secrètes… Je mets ces cubes sur l’hameçon à la place d’asticots ou de mouches, répond d’un air entendu le Belge.
- Ah bon, dit la patronne perplexe, Et qu’est-ce que vous prenez avec ça ?
- Un whisky avec deux glaçons, s’il vous plaît !, répond le Belge avec un sourire aux lèvres…
Un jeune couple belge vient de se marier et les tourtereaux ont décidé de passer leur lune de miel aux Antilles. Au petit matin, ils laissent les invités et hop, décollage de Zaventem, arrivée Pointe-à-Pitre.
Une petite sieste de récupération suite au voyage, et voilà la nuit de noces. Le jeune homme fait l’amour à sa femme, mais aucune réaction de sa part : elle semble totalement frigide !
La nuit suivante, les amoureux réessaient, et la nuit d’après encore, mais rien n’y fait : quels que soient les efforts déployés par l’amoureux, sa belle reste de marbre.
Après en avoir discuté ensemble, les jeunes mariés décident de consulter un marabout-sexologue local. L’autochtone leur dit :
- « Bon écoutez, je vois ce que c’est et je peux vous dire qu’on va résoudre le problème de votre dame très rapidement. C’est une technique locale et ça ne va pas vous coûter cher. Tout ce qu’il faut, c’est que vous fassiez l’amour à votre femme pendant que moi je suis à vos côtés en train de brasser l’air avec une feuille de palmier. Vous allez voir, avec une воnnе ventilation naturelle, on parvient à faire des miracles. »
Tout d’abord sceptiques, le couple belge finit par accepter.
Voilà donc le marabout et le couple qui se ramènent dans la piaule de l’hôtel et les amoureux se mettent rapidement en route avec le marabout au-dessus d’eux qui secoue la feuille de palmier de temps en temps pour faire courant d’air. Mais toujours aucune réaction de la jeune épouse !
A ce moment là, le marabout dit :
- « C’est pas grave, j’ai une autre solution : On va inverser les rôles tous les deux, moi je fais l’amour à votre femme, et vous, vous remuez la feuille de palmier. »
Le Belge rechigne un peu puis finit par accepter…
Mais là, la fille prend un panard pas possible avec multiples orgasmes et tout et tout !
Voyant ça, le jeune gars avec sa feuille de palmier s’exclame :
- « C’est pas pour être raciste, mais les Antillais, pour remuer les feuilles de palmiers, c’est vraiment des incapables ! »
Un allemand, un français et un belge sont sur une plage, installé dans leur transat, il sont tous les trois fin bourré…
L’allemand, pour faire le malin dit :
- Moi, hips, je suis propriétaire de 22 Mercedes.
- Et moi dit le français, je suis, hips, propriétaire de la plage sur laquelle nous sommes.
- Et bien moi, dit le belge, j’habite à Liège et j’en ai une de 50 cm…
Le Lendemain matin, nos trois compères se retrouvent au bar, et l’allemand de confesser :
- Hier, je vous ai un peu menti, je n’ai pas 22 Mercedes, mais je n’en ai qu’une.
- Ben moi aussi dit le français, j’ai menti, la plage ne m’appartient pas, je loue juste un transat.
- Et moi aussi dit le belge, je vous ai menti, je n’habite pas Liège mais Verviers…
Ça se passe au bord des falaises de la côte bretonne. Il y a deux types au bord d’une falaise, quand un Belge arrive :
- Bonjour, vous êtes de la région, une fois ?
- Ah bah oui, on est du coin et de temps en temps on vient prendre l’air au bord de la falaise, et puis c’est sympa parce que vous allez voir, on peut faire des trucs très drôles.
Et l’un des types saute carrément dans le vide et, arrivé en bas, il remonte et il revient se poser près de son copain. Alors le Belge :
- Alors ça ! Je rêve, ce n’est pas possible !
- Non, non, vous allez voir, c’est spécifique à la région, vous savez, il y a des courants telluriques, vous pouvez vous jeter en bas tranquillement, le vent vous ramène en haut, vous savez on fait ça depuis que l’on est tout gamin.
Le Belge :
- Non, mais vraiment, ce n’est pas possible !
Alors le deuxième mec saute et effectivement, arrivé en bas, hop ! Il remonte et il se repose sur la falaise. Le Belge :
- Ah ! Je peux essayer, une fois ?
- Mais allez-y, bien sûr !
Et le Belge saute; et évidemment, arrivé en bas, il se fracasse contre les rochers. Et là, il y a un des deux mecs qui dit à l’autre :
- Quand même, pour des anges on est salauds, hein !