Ce sont deux français dans ce bar de Belgique. Et il y en a un des deux qui est bien imbibé d’alcool et qui raconte à haute voix des histoires belges (et pas les plus fines).
Celui qui est clair essaie bien de le dissuader de continuer, mais rien n’y fait, l’autre continue à raconter ses blagues toujours en parlant plus fort. Naturellement, la patience des hommes du cru ayant ses limites, un des clients belges de l’établissement vient aborder les français en disant que « Si ce malotru continue à se moquer de nous les belges une fois, ça va mal se terminer ». Et le belge s’en va.. Mais le français bourré ne se calme pas pour autant, et pendant 5 minutes encore, les histoires belges continuent à pleuvoir.
Finalement, sentant qu’il valait mieux disparaître, le français pas bourré paie et entraîne son ami vers la sortie. Sur le parking, alors qu’il cherche ses clés de voiture, il entend une voix derrière lui qui dit :
- Je vous ai attendu espèces de sales français. Vous allez payer pour toutes les médisances que l’aut fieu a dit
Et là le français encore clair se retourne, voit le belge qui brandit un rasoir… et constate avec soulagement qu’il n’y a aucune prise électrique pour le brancher.
Un Belge et sa femme ont deux filles jumelles : Léonide et Léontine. Un jour, il y a le Léon qui se marie avec Léonide. Mais les sœurs jumelles sont farceuses, comme toutes les belges, et le soir de ses noces Léontine dit à Léonide :
- Ce soir, je me cache dans ta salle de bains. A un moment tu viendras, je prendrai ta place et il n’y verra rien du tout ! T’en penses quoi ?
- Oh ben si tu veux !
Le lendemain matin, le Léon descend voir son beau-père et lui fait :
- Oh bah ça ! Oh, il y a un truc’, alors là… Ah non, je ne comprends pas ! Votre fille…
- Ben quoi, ma fille ?
- Ah j’ comprends pas… Oh рuтаin, je suis crevé. Votre fille avait deux pucelages !
Et d’un air philosophe, le Belge de lui répondre :
- Ah ben sa mère en avait pas, ça doit sauter une génération !
C’est l’histoire de deux immigrants belges en plein Ouest américain, au temps de la ruée vers l’or.
Il fait chaud, et ils se retrouvent à mendier une bière dans un saloon. Au même moment, un gars entre dans le bar en tenant une tête d’indien par les cheveux. Le gars s’approche du barman et il lui tend la tête. En contrepartie, le barman donne à ce gars une pépite d’or.
Les deux Belges demandent au barman des explications. Il leur répond :
- Vous savez les gars, j’peux pas blairer les indiens, et je donne une pépite d’or à celui qui peut m’apporter une tête des ces enfants de p…
Sans attendre la fin de la phrase, Willy et son copain Eddy prennent leurs colts et se mettent en selle.
Quelques temps plus таrd, ils dénichent un indien isolé et le tuent. Eddy entreprend alors de lui couper la tête pendant que Willy fait le guet.
Rapidement, Willy vient taper sur l’épaule de son complice :
- Hé Eddy, je pense que tu devrais venir voir ça…
- Tu vois pas que je suis occupé.
- Non, vraiment, je t’assure que tu devrais venir voir !
Alors Eddy se relève, et regarde ce que son copain vient de lui indiquer du doigt: un bon millier d’indiens portant les peintures de guerre et tout le toutim, et se dirigeant dans leur direction !
Alors Eddy fait un clin d’œil à son pote :
- Ah la vache, pince-moi ! On va pas tarder à être millionnaires !
Ce sont deux explorateurs belges qui se croisent dans le Sahara. Ils se sont perdus..
- On va mourir ici, dit le premier. Ça fait quinze jours que je n’ai pas bu un verre.
- Moi non plus, une fois…
- Tiens, vous êtes Belge ? Moi aussi ! C’est drôle de se rencontrer en plein désert ! Vous êtes d’où ?
- De Bruxelles.
- Ah ça, une fois, c’est incroyable, moi aussi je suis de Bruxelles ! Et vous habitiez où, à Bruxelles ?
- J’habitais place de Bruges.
- Oh c’est pas possible, moi aussi j’habitais place de Bruges ! A quel numéro ?
- J’habitais 3, place de Bruges.
- Oh, moi j’habitais le 2 ! C’est соn, on aurait pu rentrer ensemble !
C’est deux truands belges qui décident de faire un cambriolage de nuit dans une banque.
Ils ont tellement bien préparé leur coup, que la nuit venue, ils déjouent tous les systèmes d’alarmes et arrivent dans la salle des coffres.
Le premier des gangsters parvient à ouvrir un des coffres, mais quelle déception quand il s’aperçoit que le coffre ne contient pas d’argent mais seulement des pots de yaourt.
Le second gars ouvre lui aussi un coffre et trouve la même situation. Ils finissent par ouvrir tous les coffres mais ne trouvent que des pots de yaourts. Des yaourts et rien que des yaourts.
Le premier dit :
- « Je suis sur que c’est un sale coup des flics, tiens, pour les emmerder, on va bouffer tous les yaourts, tu verras la tête qu’ils tireront au journal télévisé. »
Et aussitôt, les deux gars de mettent à gober tous les yaourts, un par un, et ils finissent à l’aube avec le ventre plein.
Le lendemain matin, à la une du journal local on pouvait lire :
- « Hold-up incroyable à la banque du sperme ! »