Pendant la guerre, deux espions belges décident d’assassiner Нiтlеr. Ils font une enquête et découvrent que le Führer se rend chaque jour chez une prostituée, à onze heures trente précises. Le lendemain, à onze heures trente, les deux Belges se postent au coin de la rue, près de la maison close, un revolver à la main, et attendent Нiтlеr. Onze heures trente, rien. Midi, rien. Midi trente, toujours personne. Une heure, toujours rien. Alors l’un des deux Belges dit à l’autre :
- Ben dis donc, pourvu qu’il ne lui soit rien arrivé, une fois ?
Un Belge arrive chez le médecin :
- Ouh là là docteur, qu’est ce que j’ai mal à l’oeil gauche…
- Comment vous êtes vous fait ça ? demande le médecin.
- Je ne comprend pas mais je bois tranquillement mon café et soudain, ça ne manque pas, je ressens une violente douleur dans l’oeil gauche.
- C’est vraiment bizarre, je ne vois pas, s’interroge le médecin. Ecoutez, allez y, buvez un café devant moi, on verra bien.
Le pauvre Belge obtempère et bien sûr :
- Ouille, ouille, vous voyez bien Docteur !
- … Oh je vois… Je vous conseille simplement d’enlever la cuillère de la tasse quand vous buvez !
Ce sont deux Belges qui discutent :
- Tu sais, le week-end dernier, une fois, dans ma voiture je promenais une nana au bord de la mer ; le soleil brillait, c’était super, formidable… Mais à un moment donné, elle m’a demandé d’ouvrir la capote ; tu me croiras si tu veux, j’ai mis deux heures et demie pour l’ouvrir !
- C’est curieux, moi je mets trente secondes, pas plus…
- Oui, mais toi, tu as une décapotable !
Ça se passe au moyen âge. Pour célébrer sa prise de trône, un roi organise la plus grande compétition de tir à l’arc du monde.
Les concurrents se départagent un par un, chacun prouvant son habileté et sa précision de tir en réussissant des prodiges.
Voici par exemple cet homme qui arrive sur le pas de tir en tenant un enfant par la main. Il va le poster contre un arbre situé à près de 25 mètres, et il lui place une pomme sur la tête. Il regagne alors le pas de tir, épaule et décoche sa flèche qui va se planter en plein milieu de la pomme pour la couper en deux, laissant l’enfant en pleine santé.
L’homme va ensuite saluer le roi :
- « Je viens de Suisse. Je suis Guillaume Tell ».
Voici maintenant un autre tireur qui va placer un enfant contre un arbre situé à près de 50 mètres. Lorsque l’enfant est en place, il dépose une noix sur sa tête. Puis il reprend sa place sur le pas de tir, et décoche une flèche qui s’en va directement fendre la noix placée sur le crâne de l’enfant sans toucher un seul de ses cheveux.
La foule exulte ! Le tireur va ensuite saluer le roi :
- « Je viens d’Angleterre. Je suis Robin des Bois. »
Vient enfin un autre homme qui tient un enfant par la main. Il va le placer devant un arbre situé à 5 mètres du pas de tir. Il lui dépose ensuite une pastèque sur la tête. Il retourne au pas de tir, épaule en tremblant tel Jean-Pierre Coffe en train de présenter un plat de tranches de jambon polyphosphatés, et finalement, décoche sa flèche qui – quelle horreur – va se planter en plein dans l’oeil gauche de l’enfant, en le tuant sur le coup.
Un grand « Ohhh » de stupeur secoue la foule qui ne comprend pas. Le tireur s’avance alors vers le roi et dit :
- « Je viens de Belgique. Je suis… vraiment désolé ! »
Le père d’un citoyen belge exilé en Australie vient de mourir. Malheureusement, des obligations dans ce pays vont l’empêcher de prendre l’avion pour assister aux obsèques (sa femme est à l’hôpital). Alors il appelle son frère cadet en Belgique, et il lui dit :
- Ecoute, fais quelque chose de bien pour papa de ma part. Je te laisse choisir. Tu n’auras qu’à m’envoyer la facture.
Un mois plus таrd, il reçoit une facture de 200 euros, provenant d’un tailleur bruxellois. Il paie cette facture. Le mois suivant, il reçoit à nouveau une facture de 200 euros qu’il ne paie pas, pensant qu’il s’agit d’une erreur. Mais les mois suivants, de nouvelles factures de 200 euros, ainsi que des rappels pour les factures précédentes non payées arrivent…
À ce moment, l’australien passe un coup de fil à son frère cadet et il lui demande :
- Dis-moi, qu’est-ce que tu as fait quand je t’ai demandé de faire quelque chose pour papa lors de ses obsèques ? Je n’arrête pas de recevoir des factures d’un tailleur !
Et le frérot répond :
- Ben tu m’avais dit de trouver quelque chose de bien pour papa, et tu sais comme ça lui plaisait de toujours être bien habillé… Alors je lui ai loué un smoking.