C’est un Belge qui se marie, une fois… Alors tous ses copains vont dans une petite auberge pour faire la fête avec lui et puis, le soir, il quitte le repas un petit peu plus tôt, c’est normal, avec sa femme. Le lendemain à six heures du matin il est déjà au bar, il prend son café et il y a un de ses copains qui lui fait :
- Alors, ta nuit de noces ?
Et il lui répond :
- Ah, eh bien dis, si j’avais voulu, une fois, j’aurais pu l’avoir !
C’est un explorateur belge qui veut traverser le désert de la mort. Alors il s’équipe, achète un chameau, un fusil et de la nourriture pour un mois, tout ça, Et puis avant de partir, quand même, il se renseigne un tout petit peu. Il va voir un indigène du coin et lui demande :
- Dites-moi, mon brave, le désert, à part la chaleur qui règne dans la journée et le froid qu’il fait le soir, on ne risque rien ?
L’autre lui fait :
- Ah si ! Ah si ! Il y a un grand danger, c’est un oiseau qui vit dans le désert… Il s’appelle le pic-tête. C’est un oiseau qui plane comme ça, et quand il voit un homme qui marche dans le désert, il pique droit dessus le bec en avant et lui cogne la tête. Croyez-moi, ça fait très mal…
- Il y en a beaucoup ?
- On ne sait pas combien, mais en tout cas il y en a bien assez… Et il faut faire attention le jour comme la nuit, car on ne l’entend pas venir !
Alors l’explorateur part dans le désert, et toute la journée, obsédé par le danger que représente le pic-tête, il reste sur ses gardes. Dès qu’il entend le moindre vent, il se dit:
- « Ça y est, c’est le pic-tête » et il se met à marcher avec les mains sur la tête. Bref, ça devient une vraie fixation.
Quand vient le soir, l’explorateur décide de s’arrêter pour dormir et se dit :
- « Ah non, non ! Ce n’est pas prudent : si je m’endors comme ça, sans protection, le pic-tête peut surgir dans la nuit et me tomber dessus. Alors voyons, qu’est-ce que je pourrais faire ? »
Tout à coup, le belge décide de faire comme les autruches : il creuse un trou dans le sable, se met la tête dedans et s’endort comme ça.
Cinq minutes plus таrd, un Bédouin passe par là, voit les fesses du mec et se dit :
- Mais qu’est-ce que c’est qu’ça ? Ça fait des mois que j’en ai pas vu, je n’vais pas laisser passer une occasion pareille !
Et hop, ni vu ni connu, le Bédouin se place derrière le mec et crac-crac… A ce moment-là l’explorateur se réveille, et du fond de son trou on l’entend dire :
- Je m’en fous, continue à piquer, tu n’es pas prêt d’avoir ma tête !
La belgique entraîne depuis de longs mois un spationaute en vue de sa prochaine mise sur orbite: régime alimentaire, draconien, entraînement physique intense, levé tôt tous les matins, abstinence sexuelle absolue, et cette p#ù%&de$^Û »#de,?*-de fusée qui veut jamais décoller.
Aussi un matin le brave et unique membre d’équipage craque décide de rester au lit mais quand même d’envoyer Janik son épouse à sa place, pas risquer de se faire foutre à la porte de la boite quand même.
- Mais chéri tu n’y pense pas !
- Mais si je t’assure en plus avec le scaphandre personne ne verra que ce n’est pas moi ! de toute façon ça marche jamais.
L’épouse se laisse convaincre et évidemment ce jour-là, la fusée part. Janik fait 70 fois le tour de la terre et amerrit au large d’Ostende, complètement groggie.
Elle se réveille allongée sur une table, la combinaison défaite jusqu’au nombril, avec au-dessus d’elle un type qui lui masse violemment les seins de haut en bas. Elle dit au gars :
- Mais, mais qu’est-ce que vous faîtes ?
- Vous inquiétez pas mon commandant, on va vous les faire redescendre…
L’histoire se passe dans un petit village de Belgique.
La femme du boucher du village est enceinte depuis 8 mois et le boucher, bon vivant, décide d’organiser un concours :
- « Le client qui devine le poids que le bébé à la sortie de la maternité gagnera son propre poids en viande de premier choix. » Tous les clients participent et on attend la naissance impatiemment.
Le bébé naît, et cinq jours plus таrd il sort de la maternité avec maman, tout le monde est en pleine forme.
Le boucher fait venir son commis et lui confie le chérubin pour la pesée publique. Une heure passe et pas de nouvelles du concours…
Le boucher, excédé, appelle la boucherie :
- Bon,mais alors, qu’est-ce que tu fabriques ? tu en mets du temps pour peser ce bébé ! Il y a des ex-aequo ou quoi ?
- Ben non, patron, mais il fallait le temps de le désosser !